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| Violets - vers 1917 Elbridge Ayer Burbank (1858-1949) Collection privée |
Violette odorante, Viola odorata (nom scientifique) Violette de Mars, autres noms de la violette parfumée, à ne pas confondre avec la Violette des bois qui n'a pas d'odeur.
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| Le Réveil - 1878 Eva Gonzalès (1849-1883) Kunsthalle de Brême |
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| La Marchande de Violettes - 1900 Henri Tenré (1854-1926) Collection privée |
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| Jeune marchande de Violettes Artiste anonyme, XIXe siècle Collection privée, lire la notice |
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| Violets in a vase Ronald Dukesill Moore (1899-1985) Collection privée |
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| La marchande de violettes Paul Prouho (1849–1931) Musée du Pays rabastinois |
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| Marchande de violettes, place de la Concorde à Paris Victor Gilbert (1847-1933) Collection privée |
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| Le Marchand de violettes - vers 1885 Fernand Pelez (1848-1913) Musée du Petit Palais - lire les informations sur ce tableau |
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| Violettes - 1896 Paul De Longpré (1855-1911) Collection privée |
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| La Marchande de violettes Victor Gilbert (1847-1933) Œuvres de Victor Gilbert |
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| La Vendeuse de Violettes Georges Picard (1857-1943) Collection Privée |
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| Carte postale ancienne (crédit image) |
Une amie de blog a publié une photos de ses violettes :
elles ont une couleur vraiment superbe, allez les voir !
ÉDIT DU JEUDI 13 MARS 2025 :
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| Violettes sur une pelouse des Grandes Terres à Marly-le-Roi |
©VesperTilia, échos-de-mon-grenier 2025
C'est une fleur qui me rappelle ma maman ...elle achetait ces violettes et je revois le petit vase boule dans lequel elle les mettaient !
RépondreSupprimerUne madeleine de Proust en quelque sorte
Merci Tilia avec ce rayon de soleil -Pourvu que ça dure-
Bises solidaires
Merci à toi Josette pour ce joli souvenir.
SupprimerSortie cet après-midi pour aller aux provisions, le petit vent du nord soufflant dans mon coin m'a surprise, j'ai bien regretté de ne pas avoir mis un caleçon sous mon pantalon, et surtout d'avoir négligé de prendre mes gants de laine !
Bises, de nouveau bien frisquettes
Ah mais j'ignorais qu'une violette des bois n'avait pas d'odeur et cela m'étonne. N'ai-je rencontré dans les bois que des violettes de mars sans le savoir ? En tout cas voilà qui finalement ne m'étonne pas. Mars est un mois extraordinaire. 💜
RépondreSupprimerEt quid de la violette du Cap ?
Incroyables violettes qui, selon le peintre, vont de parme à mauve, quand ce n'est pas bordeaux... c'est le bouquet !
En tout cas, à part pour trois natures mortes et une carte parfumée, les sujets des peintures ne sont manifestement pas les violettes. Forcément.
Sur le net, ça ne sent pas, la violette.
😂
"Mars est un mois extraordinaire" mais Mars est le dieu de la guerre.. Alors oui, il y a une mauvaise odeur dans l'air : ça sent la poudre 😟
SupprimerLa violette du Cap n'en est pas une :
"Le saintpaulia fut découvert en 1892, par le baron Walter von Saint Paul-Illaire dans les monts Usambara en Tanzanie3. C'est à ce moment que le nom de violette africaine ou violette du Cap lui fut donné, à cause de sa ressemblance avec la violette (Viola)." Dixit Wikipédia.
Coucou. Que de violettes chez toi ce matin. Le petit vendeur n'a pas l'air très en forme contrairement aux autres vendeuses toutes plus belles les unes que les autres. Ici, pas encore de violettes, un froid mordant le matin mais il y a quand même un petit air de printemps qui s'installe. Bises alpines.
RépondreSupprimerHello Dédé, ces marchandes de violettes des années 1900, bien que jolies, avaient toutes l'air un peu mélancolique, la clientèle étant plutôt clairsemée.
SupprimerIci aussi le froid est revenu, mais le soleil luit, c'est déjà ça !
Bises des Yvelines
Ce qui frappe c'est la mélancolie des visages des marchandes de violettes, sans parler de l'épuisement du jeune vendeur. Il y a aussi une ombre peu rassurante, à gauche de l'arbre, sur le deuxième tableau de Victor Gilbert ?
RépondreSupprimerEst-ce la symbolique de cette petite fleur modeste qui influence la tonalité des portraits féminins qui les accompagnent ?
Ou bien simplement, la vie modeste, plutôt la pauvreté des marchandes et marchands de bouquets qui est signifiée ?
La pauvreté oblige à la modestie, la mélancolie accompagne la vie difficile.
Coup de coeur tout particulier pour la marchande de la Place de la Concorde ; pour ce contraste saisissant entre le regard désespéré de la jeune femme et l'opulence du panier de violettes.Et pour les bouquets un et cinq, vivacité pour le premier, douceur pour le second.
Merci pour ton grenier en ce début du mois de mars, à la gloire de cette modeste ♥♥♥
Je t'embrasse chère Tilia.
Coucou Fifi, bien d'accord avec toi : le manque d’entrain de ces marchandes de violettes est évident. Et le demi sourire peint sur le visage de la marchande de Paul Prouho et de la vendeuse de Georges Picard sonne faux, démenti par l'expression de lassitude dans leurs yeux.
SupprimerQuant au jeune "Marchand de Violettes" de Fernand Pelez (1848-1913), il existe un tableau quasiment identique à celui de Pelez, son titre est "Straßenjunge" (garçon des rues en français) la pose de l'enfant est identique, mais à la place des violettes il y a des objets dans son plateau... Le peintre est un artiste néerlandais né à Utrecht en 1825 et décédé en 1903 à Amsterdam, son nom est Adriaan van Doorn (ou Adrianus van Doorn). Il avait 23 ans à la naissance de Pelez et il est mort dix avant lui. Il est possible que "Straßenjunge" ait été réalisé bien avant le "Marchand de Violettes" de Pelez (peint en 1885) et que ce soit Pelez le copieur. Malheureusement si "Straßenjunge" porte bien la signature de van Doorn, ce tableau n'étant pas daté il est impossible de savoir qui a copié sur qui !...
Il fallait que je raconte cette découverte à quelqu'un(e) et c'est tombé sur toi, chère Fifi ! J'espère que cet imbroglio ne t'a pas trop retardée dans tes activités.
Bises et bonne soirée dominicale
Tous ces tableaux sont intéressants et beaux.
RépondreSupprimerCertains suggèrent ou montrent clairement la vie précaire, voire misérable, de ces marchandes (et plus rarement marchands) de fleurs exposées aux rigueurs et aux dangers de la rue.(deuxième tableau de V.Gilbert)
Le regard de la petite vendeuse de Prouho me semble inquiétant, ambigu, suppliant et aguicheur à la fois, celui d'une enfant vieillie (pervertie?) avant l'âge.
Je pense aux romans naturalistes du XIX ème siècle (Mirbeau, Huysmans, Zola, les Goncourt)
Mon tableau préféré est celui de Picard ; quelles lumières scintillantes dans la chevelure de la jeune fille au doux regard et sur l'eau !
Tout-à- fait Miss-Yves, La Vendeuse de Violettes de
SupprimerGeorges Picard est un joli tableau, bien que l'expression du visage de la jeune marchande me semble légèrement désabusée.
C'était le fleur préférée de ma Mémé. Elle avait conservé un petit bouquet que lui avait offert mon Pépé, elle avait voulu l'emporter pour son dernier voyage, voeu exhaussé. J'aime beaucoup tes choix de tableaux. J'aime beaucoup le premier et l'avant avant dernier. C'est une petite fleur que j'aime beaucoup aussi. Malheureusement, je n'en ai pas qui poussent chez moi.
RépondreSupprimerBelle journée et bises toutes blanches ce matin. Brrrr !
Anonyme.. je crois reconnaître le style de notre chère amie, Claude aux mains d'or.
SupprimerTa Mémé, Claude, avait de la chance d'avoir un mari aussi attentionné.
Pour avoir des violettes dans son jardin, il faut déjà que le terrain s'y prête, qu'il n'y ait pas de pollution aux pesticides dans les proches environs (gros soupir !) et qu'il y ait dans le jardin des endroits bien frais et surtout bien ombragés...
Bises un peu plus chaleureuses que ces jours derniers
Coucou
RépondreSupprimerC'etait la fleur préférée de ma Belle-mère , on en trouve de moins en moins dans nos campagnes et c'est bien dommage
Tes tableaux choisis sont un bel hommage à cette petite fleur
Bises
Coucou Claudine,
SupprimerPlus beaucoup de violettes par chez toi ? peut-être un effet des pesticides répandus dans l'air par l'agriculture...
Ici, dans les forêts du voisinage, des promeneurs ont photographié des violettes. Il faut dire que les forêts sont des endroits protégés. Tout comme les pelouses de notre résidence où (aux endroits situés au nord) il y a des violettes chaque année. Mais je ne me suis jamais permise d'en cueillir pour savoir si elles embaument, ou non !
Bises printanières (avant l'heure ;-))
Bonjour Tilia ! Je ne suis aps allée voir mes coussins de violettes dans le jardin, pourtant je viens d'aller étendre mon linge. Les premiers pieds me viennent du jardin de ma grand-mère et ont été délicat à installer, puis ce sont les fourmis qui se sont chargées de les propager partout, même dans les pots, au point qu'elles sont envahissantes ! Je n'ai jamais prêté attention à l'odeur des violettes, dans le film "Prête moi ta main", Alain Chabat qui joue le rôle d'un "nez" nous apprend que les violettes ne se font pas sentir longtemps ; sans doute qu'en parfumerie leur senteur est artificielle !
RépondreSupprimerLa marchande d'Henri Tenré est somptueuse tant par la matière de son habillement, par le fond sur lequel elle se détache et les bouquets énormes qu'elle propose, qui ont la taille de tête de fleurs d'hortensia. Mais les autres, toutes les autres sont assez pathétiques, surtout le jeune garçon à qui revient la palme... Autrefois il fallait courir les bois pour les ramasser, puis les vendre. Un maigre pactole à la clef... Je me souviens d'une vendeuse de roses à Nancy qui les proposait dans les cafés, notamment ceux de la place Stanislas. Elle était vielle maigre et chenue
SupprimerJe me souviens aussi du parrain de notre fille que nous avions invité à dîner. Il était arrivé avec un beau bouquet pour moi et un petit bouquet de violettes pour notre fille de quatre ans...
Et d'un petit vase que j'ai toujours, en cristal offert par mon père et que j'avais peint à la gouache avec des perce-neige...
Merci Tilia pour ce message qui ne laisse pas indifférent
Bises ensoleillées !
Bonjour Cergie, ou plutôt bonsoir !
SupprimerLes fourmis qui se chargent de propager les violettes partout "même dans les pots" comment font-elles pour transporter les graines ? elles n'ont pas de pelage pour les retenir. Faut m'expliquer...
Oui, la marchande d'Henri Tenré a du chic. Le style de ce tableau me fait penser à celui de James Tissot.
Merci à toi Cergie, pour ton passage ici et tes échos toujours plaisants et donc bienvenus.
Oh ! Superbes toutes ces toiles, par les matières les textures et la lumière !
RépondreSupprimerLes tites fourmis transportent les graines dans leurs mandibules >
https://www.francebleu.fr/emissions/le-monde-merveilleux-du-vivant/pour-se-repandre-la-violette-odorante-utilise-les-fourmis-9618800
Comme elles transportent leurs larves lorsqu'elles doivent être déplacées, ou les oeufs
Bonsoir Tilia !
Merci Cergie, pour cette éclaircissement. Si j'ai bien compris, les fourmis font comme les chiens, elles transportent tout entre leurs dents :-)
SupprimerMerci pour ces très belles images. J'aime tant les violettes...
RépondreSupprimerQuelle belle page , il ne manque plus que le parfum de cette jolie petite fleur
RépondreSupprimerTrès bon choix de tableaux ..
Merci pour ce doux partage
Bises
J'ai fait des photos de violettes dans mon coin, j'en ai ajouté une au bas de mon billet, malheureusement la technologie pour transmettre les parfums par informatique n'a pas encore été inventée (que je sache !)
SupprimerBises et merci pour ta visite
Merci pour le rajout printanier, Tilia ♥♥ J'aurais peut-être le courage de les guetter à mon tour. Le soleil est là mais un petit air frisquet toujours :-)
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