Voici quelques pianos, pour accompagner musicalement la dégustation des crêpes à la lueur des chandelles d'autrefois...
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| Die Störung - La Visite inattendue Adolph von Menzel - 1846 Staatliche Kunsthalle Karlsruhe (Allemagne) 2 |
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| L'Absence Alfred Stevens (1823-1906) Collection privée 3 |
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| Au piano Viggo Pedersen - 1903 Collection privée 4 |
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| Femme au piano Auguste Renoir - 1876 Art Institute of Chicago 5 |
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| Femme au piano Jules-Adolphe Goupil (1839-1883) Collection privée 6 |
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| Intérieur avec le piano de l'Artiste Bertha Wegmann (1847–1926) Collection privée 7 |
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| "Vid pianot" (Au piano) - Titre d'origine : L’Accord Albert Edelfelt - 1884 Göteborgs konstmuseum (Suède) 8 |
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| La leçon de piano Henriëtte Ronner-Knip - 1885 Collection privée 9 |
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| « Дети у пианино » Enfants au piano Carl Lemoch - 1886 Musée régional des Beaux-Arts d'Arkhangelsk (Russie) 10 |
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| Anna Ancher au piano Michael Peter Ancher - 1887 Skagens Kunstmuseer, Danemark 11 |
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| Femme au piano Giovanni Boldini - 1870 Collection privée 12 |
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| The Minuet Elizabeth Forbes - 1892 Penlee House Gallery and Museum, Penzance (U.K.) 13 |
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| Singing to the reverend Edmund Leighton - 1896 Collection privée 14 |
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| The Evening Song Francis Day (1863-1942) Collection privée 15 |
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| Edvard Grieg accompagnant son épouse (et cousine) Nina Hagerup Peder Severin Krøyer - 1898 National museum, Stockholm 16 |
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| A bed time melody Francis Day (1863-1942) Collection privée 17 |
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| Dame am piano Oskar Michaelis - 1914 Collection privée 18 |
Franz Schubert Sérénade (Ständchen, en allemand)
extrait du recueil "Le Chant du cygne".
Franz Liszt : transcription musicale pour piano seul.
extrait du recueil "Le Chant du cygne".
Franz Liszt : transcription musicale pour piano seul.
©VesperTilia, échos-de-mon-grenier 2021
Il y a des tableaux qui me plaisent beaucoup mais je n'ai pas le temps ce matin de te dire lesquels, mais je suis sûre que tu peux deviner mes choix ; je repasse demain.
RépondreSupprimerBises !
Coucou. Mon cher et tendre a décidé de me faire des crêpes ce soir. :-)) Je vais devoir nettoyer le plafond après? :-))
RépondreSupprimerC'est une belle collection de piano que tu nous livres ce jour. Je vais choisir le tableau de Renoir pour sa belle douceur et ses teintes bleutées. Petit coup de coeur également pour la coiffure de Grieg. ;-) et pour la belle complicité du couple dans le tableau de Albert Edelfelt. Et comme j'aime les chats, je vais compléter avec les petits minets mélomanes. Bonne Chandeleur à toi et ton homme. Bises alpines.
Le look du compositeur Edvard Grieg (1843-1907) m'a fait penser à celui du scientifique Albert Einstein (1879-1955).
SupprimerCe comparatif phtographique donne raison à ma première impression. Et cette vidéo la confirme pleinement.
Curieuse coïncidence, parallèlement à leur ressemblance physique, un détail de leurs vies respectives uni les deux hommes. Tous les deux ont épousé leur cousine.
Grieg épouse, en première (et unique) noce, sa cousine Nina Hagerup, pianiste et célèbre cantatrice.
Quant à Einstein, il se remarie avec sa cousine Elsa au lendemain de son divorce d'avec Mileva, sa première femme.
Il ne reste rien des crêpes de la Chandeleur, elles ont fondu dans nos estomacs aussi vite que les bougies. Je parie qu'il en est de même pour toi et ton cher et tendre :-)
Bises (bien humides !) des Yvelines
Mais oui, j'ai aussi pensé à Einstein! Quelle troublante ressemblance! Allez, du coup, je vais me refaire Peer Gynt. Quant aux crêpes, elles étaient délicieuses, j'ai même eu droit au lancer de la crêpe. Un grand moment. :-)Bises alpines
SupprimerCoucou Tilia.
RépondreSupprimerToujours de belles decouverte dans ton grenier...
De quoi nous enflammer tous!
Il va me falloire faire des crêpes, où donc est mon Louis? (Il dore)...
Très bonne journée, A +
Coucou Daniel,
SupprimerTon louis dort et moi je veille ;-)
Bises nocturnes
Jolie galerie de confinés quand on pense aux processions aux flambeaux des chandeleurs anciennes...
RépondreSupprimerRevenu de la promenade
Éclairé de mon seul bougeoir
J'écouterai la sérénade
Avec un masque en crêpe noir
Et n'oubliez pas : sans huile de palme la pâte à tartiner.
Pas vraiment de souvenirs de processions aux flambeaux pour la Chandeleur, sais pas pourquoi... Par contre, les cierges de Pâques allumés à partir du grand cierge pascal et transmis par l'intermédiaire des enfants de chœur au fidèles, oui.
SupprimerSouvenir d'autant plus net que le bain de pied du grand cierge dans l'eau qui doit servir aux baptêmes est resté dans ma mémoire.
Pas de netula chez nous, personne n'aime ça :D
Coucou
RépondreSupprimerVoilà une très belle série de tableau
Si je devais choisir , je prendrais "la leçon de piano "
Merci pour cette belle page
Bises
Coucou Claudine,
SupprimerLes chats d'Henriëtte Ronner-Knip ont toujours beaucoup de succès ! Un hommage bien mérité au grand talent de cette artiste.
Merci à toi pour ta fidélité au grenier
Bises itou
ahhh si je savais jouer du piano...je dois me contenter de regarder tes tableaux choisi.. mais c'est formidable!
RépondreSupprimerTu es déjà une virtuose des pinceaux !.. le piano demandant énormément de travail, il serait difficile de concilier les touches de peinture et les touches de piano.
SupprimerC'est comme ça, Elfi, dans la vie on est toujours obligé de faire des choix ;-)
Coucou Tilia, contente de ton retour !
RépondreSupprimerJe fais des crêpes tous les dimanches soirs mais c'est moins festif que dans ton grenier. Je ne sais pas jouer du piano mais ma recette est sympa :-)
Je reviens tout de suite...
Coucou Fifi, ravie de ta visite ♥
SupprimerMoi non plus je ne sais pas jouer du piano (sauf en rêve !). Gamine je pianotais, mais j'ai tout oublié.
Question recette, mes crêpes sont obligatoirement sans œufs ni lait, les matières grasses animales étant fortement déconseillées par notre cardiologue.
Par ailleurs, notre fille et ses enfants étant végétariens, c'est elle qui m'a indiqué cette recette.
Je vais tenter la recette de ta fille, faut juste mettre du lait d'avoine dans la liste des prochaines courses.
SupprimerSuperbe compilation, ah! ce délicieux Renoir !!
RépondreSupprimerRenoir aurait dû s'appeler Recouleurs ;-)
SupprimerAlors, mes coups de coeur :
RépondreSupprimer- "la visite inattendue" pour le mouvement
- "au piano" pour la complicité et la joie
- "intérieur avec le piano de l'artiste" me donne envie de chanter
- "la leçon de piano" pour aller secourir le coincé que semble ignorer la mère
- "femme au piano" de Boldini pour la jubilation,
- "Edvard Grieg accompagnant son épouse" pour la noble présence de ce vieux couple et la puissante lumière qui fait revivre les fleurs coupées.
- "A bed time melody" pour la fillette boudeuse et la main tendre qui la console.
Il y aurait encore tant à dire.
Merci Tilia pour cette lumineuse et musicale fête de la Chandeleur qui m'enchante.
Excellent choix ! Fifi, auquel j’adhère parfaitement. Il démontre ta fine observation de ces peintures.
SupprimerPetite remarque à propos de "A bedtime melody" : je me demande pourquoi la pianiste lève ainsi la tête. Sa bouche est fermée, ce n'est donc pas pour chanter. À moins qu'elle se contente de fredonner "An old song" second titre de ce tableau...
Bisous et merci pour tes échos toujours si perspicaces.
Cette jolie jeune maman est sûrement en train de fredonne "An old song". Ce serait en tout cas de quoi compléter le tendre spectacle de cette jolie jeune maman et de sa fillette.
SupprimerBises ensoleillées et bonne après-midi, chère Tilia.
merci pour toute cette sérénade Tilia... je trouve une concordance entre le tableau 4 et le tableau 16... sur le premier l'homme est debout et chante et sur l'autre c'est l'inverse !
RépondreSupprimerJe te souhaite de belles crêpes toutes dorées pour ce jour de Chandeleur.
Bises mi soleil mi grisaille
Merci à toi, Josette, pour ton écho et pour tes souhaits chaleureux.
SupprimerNos crêpes sont déjà loin ! le temps file si vite...
J'espère que le vôtres furent douces et sereines.
Bises et à bientôt dans ta cachette
J'étais contente de venir voir ton billet hier pour accompagner d'une musique intérieure la confection des crêpes (à la frangipane de noix pour changer).
RépondreSupprimerUn faible pour le doux tableau "intérieur avec le piano de l'artiste" de Bertha Wegmann où l'on peut imaginer la personne de son choix au piano...
Reste t'il des crêpes dans ton logis? Chez nous, oui.
Hello Thérèse,
SupprimerLes crêpes à la frangipane de noix, ce doit être délicieux et chez nous il n'en resterait pas !
Moi aussi j'apprécie particulièrement le tableau de Bertha Wegmann. Déjà parce qu'il fait partie de ce que j'appelle les "intérieurs silencieux" c'est-à-dire vides de toute présence humaine, ou animale. Ensuite c'est sa douce luminosité qui me charme.
Coucou Tilia, me revoilà !
RépondreSupprimerJ'ai regardé à nouveau tous ces tableaux en musique et c'est bien agréable.
Mes préférences vont à :
Auguste Renoir (j'ai une photo dans un petite cadre)
Bertha Vegmann
Albert Edelfelt
Henriette Ronner-Knip
Giovani Boldini (j'aime beaucoup ce tableau (il transpire une certaine joie de vivre et j'adore le style)
J'aime aussi celui d'Elisabeth Fprbes et je trouve que le tableau d'Alfred Stevens ressemble à une photo.
Je ferai des crêpes probablement cette semaine.
Bises mouillées !
Contente de voir que tu aimes le Boldini pour les mêmes raisons que moi. Ce peintre eut de son vivant beaucoup de succès et une renommée bien méritée.
SupprimerBises (ensoleillées sur ta contrée) et bonne crêpes !
Coucou Tilia, il y aurait à dire sur chaque toile chacun offre un petit moment de vie différent. Edvard Grieg communie avec son épouse, sur la 4 et la 12 on s'amuse comme des petits fous, certaines interprètes (11 14 18) sont appliquées. On ne prend pas toujours du plaisir, parfois on enseigne, on étudie. J'aime beaucoup le piano de l'artiste ! Il me fait penser au piano droit que nous avions dans le salon sur lequel nous ne faisons que pianoter et qui avait appartenu à je ne sais qui (peut-être à une de mes tantes qui s'était ensuite acheté un piano à queue et qui jouait sur le notre lorsqu'elle venait déjeuner chez nous)
RépondreSupprimerConcernant Edvard Grieg, je pense que ma réponse à Dédé (deuxième écho) devrait t'intéresser, toi qui (comme moi) aimes bien aller voir ce qui se cache derrière les images.
SupprimerSur la 4e peinture, il s'agit visiblement d'un portrait de Anna Ancher adolescente, sauf que le peintre l'a signé et daté de 1903. Or, 1903 étant l'année du 44e anniversaire d'Anna, il y a quelque chose qui ne colle pas. Pourtant c'est bien d'elle qu'il s'agit : le nez de Anna Ancher est facilement reconnaissable. On le voit bien sur la peinture n°11 (son portrait peint par son mari).
Voilà une énigme dont je n'ai pas réussi à trouver la clef :-/
La toile de Renoir est hors concours, peut être parce que c'est lui et que les joues roses de la pianiste sont sa signature ainsi que le traitement des fonds (souvent très pointilleux chez certains, cf 101 avec le tableau de guingois). Le menuet c'est une page d'un roman de Jane Austen, Orgueil et Préjugé plus précisément
RépondreSupprimerMa préférée c'est la piano de l'artiste peut-être parce qu'elle ne montre pas, elle suggère et on est libre de rêver
La demoiselle à la galette a les cheveux couleur de blé...
Bon appétit, Tilia ! J'espère que tout va bien !
Bises
À propos de fond, celui du "Minuet" (n°13) montre les reflets de la bougie du piano, à la fois dans le miroir au-dessus de l'instrument et dans la vitrine se trouvant au fond, à côté de la fenêtre.
SupprimerCes reflets, surtout ceux dans la vitrine, sont d'une grande virtuosité. On peut mieux les observer en cliquant ici.
Chez nous tout va bien (à défaut d'aller pour le mieux, vu la situation sanitaire) et j'espère qu'il en est de même chez vous.
Bises et bonne journée, Cergie.
Merci pour tes échos, j'aime beaucoup ta manière de voir les choses.
Merci pour cette belle série de tableaux. Ils savaient peindre et reproduire la lumière d'une bougie, ce n'est pas évident.
RépondreSupprimerBelle semaine à toi , je t'embrasse et Boris te salue :)
Chère Nadezda, pour moi peindre la flamme d'une bougie c'est plus facile que de la reproduire en la photographiant ;-)
SupprimerBises et bonne fin de semaine à vous deux
Merci, à toi aussi!
RépondreSupprimerUn titre bien choisi, et avec humour .
Il y en a pour tous les goûts: salons bourgeois, leçons sévères ou fantaisistes!
7,9, 12, 17 me plaisent particulièrement.
Tu ne l'a sans doute pas remarqué, mais à toi Miss Yves, je peux bien l'avouer : je me suis permise une petite liberté sur l'un de ces tableaux. Lequel ? je suis sûre que tu vas facilement trouver :-)
SupprimerIl faut que je les revoie tous en détail!
RépondreSupprimerLes crêpes du dernier tableau qui d’ailleurs débordent du cadre? non! trop visible !
RépondreSupprimerAprès les avoir fait défiler, j’admire une fois de plus les drapés .
RépondreSupprimerIndice : les chandelles, sujet de ce billet...
SupprimerSi tu ne trouves toujours pas ma petite fantaisie sur l'un des tableaux, clique ici