Mercredi 16 janvier au matin, un léger voile blanc couvre les toits.
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| Fine pellicule sur les toits |
Enfin, le ciel est bleu !
Il fait froid, mais le soleil invite à la promenade.
Il fait froid, mais le soleil invite à la promenade.
L'après-midi, chaudement couverts, nous partons pour notre habituelle promenade en bordure de Seine.
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| Le chemin de halage en Juin |
Été comme hiver, une promenade toujours aussi agréable !
Sur le trajet, non loin du viaduc de l'autoroute dont j'ai parlé l'an passé, se trouve l'entrée du parc.
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| Le panneau d'information (cliquer pour le lire) |
Peu d'oiseaux ce jour-là autour de l'étang de l'Épinoche.
Le cygne, sommeillant au loin parmi les roseaux, demeurait hors de portée de mon petit appareil numérique.
Ne cherchez pas le cygne dans la photo ci-dessus, il n'y est pas.
La dernière fois que je l'ai vu de près, c'était à Pâques et il était occupé à téléphoner
Le cygne, sommeillant au loin parmi les roseaux, demeurait hors de portée de mon petit appareil numérique.
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| Aucun signe du cygne ! |
Ne cherchez pas le cygne dans la photo ci-dessus, il n'y est pas.
La dernière fois que je l'ai vu de près, c'était à Pâques et il était occupé à téléphoner
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| Allo ! ma puce ?.. |
La semaine dernière, seuls quelques canards étaient visibles, dormant au loin sur l'étang.
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| Sieste hivernale |
Pas d'oiseaux non plus dans les arbres du parc silencieux.
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| Au gui l'an neuf |
Le soleil était déjà bien bas sur l'horizon...
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| Le soleil couchant, derrière l'autoroute |
...il était temps de songer à rentrer.
Sur le chemin du retour, j'ai découvert ce qui m'a semblé être un château de contes de fée...
Serait-ce le château de La Belle au Bois Dormant, se détachant ainsi sur le ciel vespéral ?
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| Un château de légende le château de Saint-Germain-en-Laye |
Un château féérique à la tombée de la nuit, le premier quartier de lune trônant dans le ciel... l'atmosphère était propice à une rencontre extraordinaire...
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| Au clair de lune, l'Oiseau Bleu ! |
Ce fut comme dans un rêve heureux.
Au bout du chemin, en levant les yeux nous avons découvert L'Oiseau Bleu des contes !
Que ce soit chez les frères Grimm, ou dans le conte de Charles Perrault, Florine n'apparait pas dans La Belle Au Bois Dormant.
Dans le ballet, l'histoire de La Belle au Bois dormant diffère sensiblement de celle du conte. Lors du mariage final, des personnages d'autres contes, tels le Chat botté ou Cendrillon, sont invités.
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| L'Oiseau Bleu illustration pour le conte de Mme d'Aulnoy imagerie d'Épinal |
L'origine du personnage de Florine se touve dans L'Oiseau Bleu, l'un des Contes de Fées de Madame d'Aulnoy.
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| Le sommeil de l'Oiseau Bleu |
La nuit était tombée, l'oiseau sommeillait, doucement nous sommes rentrés chez nous.
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Dans la pièce de Maurice Maeterlinck, l'Oiseau Bleu est sans cesse changeant, sans cesse s'échappant. Il représente le Bonheur et la pièce se termine sur cette phrase « Nous en avons besoin pour être heureux plus tard. »
Dans la chanson d'Eddie Constantine L'homme et l'Enfant, reprise récemment par son fils Lemmy et Chloé Stéfani, « l'Oiseau Bleu c'est l'Amour »
Enregistrement studio de "L'homme et l'enfant"
interprété par Lemmy Constantine et Chloé Stéfani
Extrait de l'album In Différence
interprété par Lemmy Constantine et Chloé Stéfani
Extrait de l'album In Différence
Edit du dimanche 27
Arlette m'a envoyé un si beau cadeau que je ne peux le conserver en cage pour moi toute seule
Merci Arlette, ton oiseau est un véritable oiseau de paradis !
©VesperTilia, échos-de-mon-grenier 2013
L'oiseau bleu... J'ai justement réécouté la version d'Eddie Constantine il y a quelques jours! Dutronc l'a aussi reprise il y a quelques années.
RépondreSupprimerBonne journée
Belle coïncidence !
SupprimerJ'aime bien aussi la version de Dutronc, mais la seule vidéo disponible n'est vraiment pas terrible.
Bonne fin de semaine, Cathy
Parc de l' Épinoche ... un mot pour un petit poisson qu'enfants nous attrapions à la main au pied du déversoir. À cette époque, la rivière était claire et belle. Aujourd'hui, bien vainement chercherait-on à trouver l'ombre d'une épinoche : la rivière est devenue cloaque nauséabond ! Déjà, ce matin, ta note m'entraîne vers la nostalgie des temps anciens. rares sont les espaces remarquables : on se doit de les protéger.
RépondreSupprimerLe panneau d'information du parc précise que l'épinoche mâle chasse la femelle une fois qu'elle à pondu ses œufs.
SupprimerJ'ai lu sur cette page l'explication de ce comportement. C'est pour féconder les œufs et assurer seul leur surveillance en veillant à leur ventilation jusqu'à l'éclosion, qui a lieu de 1 à 3 semaines plus tard, que le mâle chasse la femelle du nid. Après la naissance, le mâle continue à ventiler les jeunes et ramène au nid les alevins trop aventureux en les prenant dans sa bouche.
L'épinoche mâle, modèle de "papa poule" !
Très poétique ton billet Tilia. C'est une belle promenade avec des surprises qui font basculer dans l'univers des contes. Merci.
RépondreSupprimerL'univers des contes, un refuge contre les insanités du monde actuel. Même si tout n'y est pas toujours tout rose, ou tout bleu comme l'oiseau...
SupprimerTon cygne qui téléphone me fait rire.
RépondreSupprimerMon parrain habitait à St-Germain en Laye, J'y suis allée souvent mais n'ai pas de souvenirs du Château. J'y passe aussi quand je vais voir ma Marraine à Sartrouville.
Ton oiseau bleu m'interpelle, Je connais le blue bird américain.
J'ai écouté la chanson et des frissons m'ont traversé le corps. Que l'ai-je souvent écouté cette chanson dans mon enfance et combien de fois l'ai-je chantée ! Dans la voix de Lemmy on retrouve des intonations de son père. J'aime beaucoup cette version.
Mince j'ai oublé de regarder le ballet. Je reviens.
Les oiseaux bleus américains sont magnifiques, le Merlebleu azuré en particulier !
SupprimerComme toi j'aime beaucoup la chanson "L'homme et l'enfant". Surtout la version de Lemmy, parce que l'interprétation de la jeune et talentueuse Chloé Stefani est vraiment émouvante par sa grande sensibilité.
C'est magnifique, Tilia ! Les Danseurs sont sublimes, ; ça c'est de la danse comme j'aime !
RépondreSupprimerJ'aime bien le tutu bleu.
Merci pour ces deux merveilleux moments.
Sourire, jusqu'aux oreilles :)
SupprimerBisous
une balade quotidienne qui se prolonge romantiquement...je suis une fada des contes je me cache pour en relire ! c'est dire le plaisir de voir la belle au bois dormant et de retrouver l'oiseau bleu de Constantine.
RépondreSupprimerLe château pour moi je j'ai toujours vu comme le musée de la préhistoire, des visites avec Andrée Thénot qui m'ont marquées en leurs temps, Saint Germain c'était aussi la terrasse où ma nourrice n’emmenais "prendre l'air" le dimanche parce que d'accès facile et direct de Saint Lazare !
tu me fais régresser avec ce beau billet Tilia
je t'embrasse
Un petit coup d'œil dans le rétro ne fait pas forcément "régresser". Pour ma part, je ne risque pas de "retomber" en enfance (comme disent certains) vu que je ne l'ai jamais vraiment quittée :)
SupprimerEt comme toi, je suis une fada de contes.
Fada, un mot typiquement provençal, signifiant à l'origine "envoûté par les fées".
Tu ne pouvais pas mieux dire !
Une présence inattendue en contrebas de la terrasse de Saint-Germain avait suscité ce billet.
Bises ravies en retour
j'ai encore du chemin à faire avec "ma" vache !
SupprimerBelle sortie poétique...Merci bien! Et belle journée avec bises
RépondreSupprimerMerci à toi pour ta fidélité,
SupprimerBises et bon dimanche
Tu n'habites ou ne fréquentes pas des lieux si loin de chez moi finalement... La forêt de St Germain (que mon maraîcher d'Eragny appelait "forêt d'Achères")...
RépondreSupprimer"L'oiseau bleu", souvenirs de mon enfance avec une boutique de ce nom que je voyais de la fenêtre de ma chambre à Epinal et où nos enfants aimaient aller rêver et acquérir de menues merveilles.
Les oiseaux aussi dans la musique classique, hier j'écoutais "carrefour de l'Odéon" et l'air des clochettes de Lakmé et aussi l'oiseleur Papageno...
"Mercredi 16 janvier c'était la parenthèse enchantée durant laquelle j'ai photographié l'étoile solaire)
SupprimerPour toi L'Oiseau Bleu en images d'Épinal.
SupprimerIl existe toujours une boutique de ce nom, place St Goery à Épinal. Sans doute est-ce celle dont tu parles...
Les images d'Epinal sont des pochoirs, quelles modernité et ressemblance avec l'art de rue !
SupprimerMerci pour ce conte....
Et oui l'Oiseau Bleu de la place St Goéry était face à ma fenêtre, notre maison donnait sur deux rues et cette même place...
Bonne fin d'AM, Tilia....
J’ai dans mon cœur un oiseau bleu,
RépondreSupprimerUne charmante créature,
Si mignonne que sa ceinture
N’a pas l’épaisseur d’un cheveu
Il lui faut du sang pour pâture.
Bien longtemps, je me fis un jeu
De lui donner sa nourriture :
Les petits oiseaux mangent peu.
Mais, sans en rien laisser paraître,
Dans mon cœur il a fait, le traître,
Un trou large comme la main,
Et son bec, fin comme une lame,
En continuant son chemin,
M’est entré jusqu’au fond de l’âme !…
Alphonse Daudet
C'est à quoi ton billet m'a fait penser !
Une vision magnifique qui t'est apparue dans les branches du ciel bleu!!!
Je rêve de ciel bleu...
Bonne fin de semaine
Bises
Merci Enitram pour le poème de Daudet. Bien dans la veine désenchantée du dix-neuvième siècle, il lui a peut-être été inspiré par la maladie qui l'a rongé durant plus de quinze ans.
SupprimerCelui-ci est plus gai :
Mon oiseau bleu a le ventre tout bleu
Sa tête est d'un vert mordoré
Il a une tache noire sous la gorge
Ses ailes sont bleues avec des touffes de petites plumes jaune doré
Au bout de la queue il y a des traces de vermillon
Son dos est zébré de noir et de vert
Il a le bec noir les pattes incarnat et deux petits yeux de jais
Il adore faire trempette se nourrit de bananes et pousse un petit cri qui ressemble
au sifflement d'un tout petit jet de vapeur
On le nomme le septicolore
L'Oiseau Bleu, Blaise Cendrars, Feuilles de route (1947)
Tout comme toi, je rêve de ciel bleu, mais on nous annonce de la pluie !
Bon dimanche, Enitram, bisous versicolores
J'aime bien votre oiseau bleu, Tilia, et j'ai eu plaisir à revoir ce gui que l'on ne trouve pas ici. Par contre, je vous avoue qu'étant donné ce que nous avons eu comme température ici toute la semaine, j'ai passé un plus long moment à contempler les photographies des jours plus chauds, regorgeant de mûres, histoire de remettre le sang en circulation dans des veines qui commencent à congeler!
RépondreSupprimerVous me faites aussi découvrir madame d'Aulnoy que je ne connaissais pas : je garde en réserve pour explorer plus avant.
Très douce fin de semaine chez vous dans le bleu retrouvé!
Hélas, trois fois hélas, Marie-Josée ! le bleu du ciel n'a pas duré : dès le surlendemain de notre promenade, la grisaille était de retour. Puis ce fut la "grosse" chute de neige (ridicule à votre échelle, j'en conviens) suivie, depuis lundi dernier, d'un temps gris et brouillasseux sur toute l'Île-de-France.
SupprimerJ'espère que le redoux est en marche sur vos contrées enneigées et que vous allez arrêter de grelotter.
Que la chaleur du soleil vienne vite vous revigorer et enlumine votre dimanche !
C'est l'histoire chinoise merveilleuse de l'oiseau immortel qui laisse tomber une plume bleue , si belle que les autres oiseaux décident de le retrouver là haut dans la montagne des 7 monts
RépondreSupprimerLes uns prennent peur , le rossignol pense à son amour pour la rose , le perroquet si beau dans sa cage estime ne pas en sortir ,la perdrix reste dans ses collines , la chouette dans ses ruines certains dépassent les 7 vallées , les uns meurent , d'autres désertent , une trentaine arrivent à la montagne du Sirmourgh et le contemplent enfin
Alors ils s'aperçoivent que l'oiseau bleu des montagnes du Sirmough ....est en chacun d'eux
Ce qui rejoint effectivement toutes les interprétations je t'envoie un oiseau peint à cette occasion
Merci Tilia
Tu as raison, Arlette, la philosophie du conte dont tu parles est dans le même esprit que celle qui anime L'Oiseau Bleu de Maeterlinck.
SupprimerJ'ai rangé dans mes marque-pages (à l'intention de mes petits-enfants) une vidéo de l'histoire que tu évoques. C'est un dessin animé qui, sous le titre (erroné) "Le Langage des Oiseaux", raconte "La Conférence des Oiseaux" du poète soufi Farid Attar.
Mille mercis pour l'envoi de ton dessin de l'Oiseau Bleu. C'est un très beau cadeau.
Dis-moi si tu m'autorises à le publier pour clore en beauté mon billet...
Là c'est bien, il n'y en a qu'un et il alimente les rêveries des promeneuses. Mais du côté de chez nous, quand il y a du mistral, avec toutes ces zones commerciales autour, les arbres et les haies en sont pleins !
RépondreSupprimer:D)
Enfin quelqu'un qui ose dire que le roi et nu !
SupprimerJe me demandais qui allait poser la question et je pensais bien que ce serait toi :)
Le vent et l'arbre se sont unis pour créer là un petit miracle d'art poétique, qui fait vraiment illusion. En l'apercevant, mon mari et moi en sommes restés bouche bée.
C'est une échappée pour un petit monde féerique dans un royaume reculé, voilà à quoi ressemble ton billet. Par contre ton parc pour la promenade, je ne sais toujours pas où il se trouve :D
RépondreSupprimerCela a dû t'échapper : il fallait cliquer sur "l'étang de l'Épinoche" (lien au début du billet) et tu saurais où se trouve le parc :)
SupprimerQuelquefois la féérie se produit là où on ne l'attend pas et c'est d'autant plus merveilleux !
Ta balade aux bords de Seine me rappellent mon enfance... bords de Seine entre Sartrouville et Maisons-Laffitte, avec l'odeur de l'eau caractéristique !
RépondreSupprimerJe ne sais pas si l'oiseau bleu était au rendez-vous à l'époque, mais moi, j'aimais bien regarder les vagues créées par les péniches sur les berges.
Le château de St Germain apparaît ici dans toute son étrangeté !
Biseeeeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeeeeeeeeee
Tu as passé ton enfance en Seine-et-Oise ? je l'ignorais !
SupprimerÀ propos de vagues, tu serais sans doute étonnée par celles que soulèvent les trains de péniches porte-conteneurs qui sillonnent régulièrement la Seine de nos jours.
L'oiseau bleu que nous avons rencontré était une belle surprise, qui a enchanté la fin de notre promenade par la magie de son apparence vue d'en bas.
Bisouuuuuus, Christineeeee et bon dimanche
Et oui... Sartrouvilloise pendant de 0 à 15 ans !!!
SupprimerQuel joli et poétique billet, presque féerique ! Quelle merveille cet Oiseau bleu (à la fois celui du ballet et celui de ta photo !)
RépondreSupprimerMerci pour ce moment enchanteur,
Bisous Tilia et bon dimanche, une autre promenade tout aussi magique peut-être ?
La présence de la lune dans les branches de l'arbre ajoute à la magie de cet heureux concours de circonstance qui m'a permis de faire une photo extraordinaire. Un instant enchanteur pour nous aussi :)
SupprimerMerci, Nathanaëlle, d'être passée au grenier malgré ta grippe. J'espère que tu vas mieux.
Bisous et belle journée de dimanche chez toi
(pas de sortie prévue, tout dépendra de la météo, mais en principe nous évitons l'affluence des promeneurs du dimanche)
C´est comme si je t´accompagnais. Merci Tilia.
RépondreSupprimerHeureuse de marcher avec toi sur les chemins du rêve, Alba, je t'embrasse
SupprimerBonjour Tilia
RépondreSupprimerDis moi, le cadeau d'Arlette est très beau. Quel talent !
Il y a beaucoup de maisons troglodytes par ici et aux environs, même dans le 41. Ce que j'ai photographié sont plutôt des caves creusées dans la pierre de tuffeau.
Un de mes Beauf en avait une très grande et belle dont il s'est séparé. Ces caves servent aussi à faire la fête.
Hic !
Arlette à un très joli coup de patte.
SupprimerJe trinque à ta santé, Claude, avec les crêpes un bon coup de cidre s'impose :)
Lorsque mes beaux-parents vivaient encore habitant La Celle Saint Cloud j'amenais souvent nos enfants se promener en bordure de cet étang
RépondreSupprimerQuant au château de St Germain ils aimaient beaucoup y aller car comme nous habitons à côté de Fontainebleau ils se prenaient un peu pour François 1er ....
Bonne soirée
La plupart du temps les souvenirs de promenades sont des souvenirs heureux :)
SupprimerBelle journée de Chandeleur, Aloïs
Pellicule blanche, pellicule bleue, pellicule ... Toutes sensibles a la lumiere et aux ames. Place aux reves.
RépondreSupprimerIl est beau cet arbre a l'oiseau bleu.
L'arbre est beau. Quant à l'oiseau, c'est un pur miracle dû à la luminosité magique de l'heure bleue.
SupprimerMerci Tilia pour cette promenade champêtre commentée ici avec ce plaisir de la porte ouverte sur le rêve et la féerie de l'instant.
RépondreSupprimerUn instant vraiment féérique que je me suis empressée d'immortaliser :)
SupprimerMerci de ta visite, Cheminez, je file voir les nouveautés sur tes toits
Neige, château féérique, oiseau bleu, l'univers des contes est vraiment bien illustré!
RépondreSupprimer