La semaine dernière, le jeudi 12 mars précisément, il faisait un temps splendide. Et comme il n'y avait pas encore d'alerte à la pollution, nous en avons profité pour aller nous dégourdir les jambes. Nous sommes partis de chez nous à quinze heures, l'heure idéale pour faire des photos sur le chemin que j'avais choisi comme lieu de promenade.
Vous avez sans doute déjà deviné quel chemin nous avons suivi pour marcher au soleil en ce début d'après-midi. Vous n'allez donc pas être étonnés en constatant à quelle sorte d'habitations cette maison appartient.
Et oui ! il s'agit bien d'une ancienne barge déguisée en maison. Je dis bien maison, pas maisonnette. La surface habitable étant sensiblement la même que celle d'une villa.
Ces ancres de marine font partie de la décoration disposée sur le terrain qui borde le bateau dont vous allez voir quelques photos ci-dessous. Il s'agit d'un bateau à voiles, non d'une péniche. C'est un ancien clipper, démâté et transformé en maison de location pour vacanciers aisés.
Idéalement située, entre Versailles et Saint-Germain-en-Laye, cette demeure de charme offre un vaste appartement pour six personnes, avec une terrasse sur le toit, dans un cadre calme et agréable à une demi-heure de Paris par le RER.
N'allez surtout pas croire que je fais de la réclame pour cette location de vacances. Quand j'ai pris mes photos, je pensais simplement voir là une une habitation flottante, juste un peu plus belle que toutes les péniches amarrées le long de ce chemin de hallage.
Situé le long du bras mort de la Seine, face à l’île de la Loge, le chemin de halage de Le Port-Marly offre une belle promenade ombragée, bordée d'un côté par des résidences et de l'autre par des péniches habitées.
Sans connaître son propriétaire, je pense qu'il faut être un brin poète pour avoir baptisé cet ancien voilier Vagues à Lames.
À mon tour je n'ai pas résisté au plaisir de "faire des vagues" !
La plupart des habitants des péniches ont renoncé à fleurir leur petit terrain d'accès, par lassitude de le voir piétiné (euphémisme) par les chiens des gens qui utilisent le chemin de halage pour la promenade digestive de leur(s) toutou(s).
En faction devant le ponton du club d'aviron, ce couple de canard m'a laissé les approcher à moins d'un mètre pour leur tirer le portrait.
Les pneus amarrés là (pour je ne sais quel usage) semblent se couvrir de végétation...
Pour ma part, toute à ma prise de vues, je n'avais pas remarqué l'indice et j'ai failli le couper en cadrant ce détail de l'entrée !
Après avoir terminé de présenter mes photos, en ayant recadrées quelques unes et ajouté bordures et signatures à toutes, avant de commencer à rédiger mon texte j'ai fait quelques recherches. Quelle n'a pas été ma surprise en découvrant l'activité du propriétaire habitant de cette péniche, dont la teinte turquoise ornée de jaune me plaît énormément.
Si vous n'avez pas encore deviné sa profession, il y a un lien en fin de billet qui vous amènera sur son site.
Tout le monde a entendu parler de E=mc2.
Mais de quoi s'agit-il au juste ?
Pour faire simple, il faut se souvenir que la célèbre formule utilisée par Albert Einstein correspond à :
E : Énergie exprimée en joules
m : masse d’un corps exprimée en kilogrammes
c : célérité (vitesse de la lumière dans le vide) exprimée en m/s
En multipliant la masse d’un corps par le carré de la vitesse de la lumière, on obtient de l'énergie. Cette formule est à l’origine de l’énergie nucléaire.
Le nom de cette péniche est l'occasion pour ceux qui (comme moi) n'y sont jamais allés, de découvrir l'île de Wallis, ce lointain petit territoire français qui fait partie des Collectivités d'Outre-Mer.
Ici, comme en Outre-Mer, Wallis et Futuna sont indissociables
Ci-dessus, la Futuna vue dans toute sa longueur.. ou presque.
Depuis une vingtaine d'années que nous fréquentons cette promenade, nous avons toujours vu des oies à cet endroit.
Tout à mon affaire pour photographier les bernaches, je n'ai pas vraiment remarqué le tableau exposé sur la péniche se trouvant en arrière plan des tondeuses. Sans doute la demeure d'un peintre, professionnel ou amateur, je ne sais...
Ces oies sont issues du croisement entre nos oies domestiques et l'Oie Cygnoïde. Elles sont répertoriées sous l’appellation Oie de Guinée ou Oie de Chine.
Pas trouvé (mais je n'ai guère cherché) d'informations sur la bosse frontale, colorée ou non, de ces oies. Je sais juste qu'elle porte le curieux nom de caroncule.
À la réflexion, l'oie à la caroncule orange me semble être le mâle de ce couple qui ne se quitte pas d'un pas (ou pas plus de trois).
Madame se remplit le jabot pendant que Monsieur joue les gardes du corps auprès de sa compagne.
Message reçu 5 sur 5 ! j'arrête de les mitrailler et je les laisse continuer à tondre en paix.
Le dernier bateau au bout du chemin m'a tout l'air d'une belle vedette... Approchons nous un peu pour la voir de plus près...
Pas de doute, c'est une belle vedette habitable. Ah si j'étais riche ! (air connu).
Nous sommes arrivés au bout de ce chemin de halage, il nous faut faire demi-tour.
En rebroussant chemin, on découvre de nouvelles choses intéressantes. Comme le panneau ci-dessous, dont l'objet n'est visible que dans un seul sens.
Camille Pissarro, Alfred Sisley et Maurice de Vlaminck ont tous les trois posé leurs chevalets à Le Port-Marly
Il y a un bel article de Wikipédia sur ce tableau, en voici le lien.
À la fin du XIXe siècle la cheminée d'usine, visible à la fois sur le tableau de Pissarro et sur la carte postale ci-dessus, était celle d'une usine à papier. D'autres vues de la Seine à cet endroit et à cette période en cliquant ici.
Ce coup de zoom a été pris depuis l'escalier qui mène au square Louis Bourgeois. On voit au premier plan la passerelle et une partie de la Fledermauss. Amarrées à gauche, on devine à travers les branches Emc2 suivie de Vagues à Lames, puis plus nettement, la maison barge.
Fledermauss
En tant que résidente d'un grenier, toutes les chauve-souris sont mes amies.
Pas remarquée lors de mes photos, je n'ai découvert cette décoration qu'en examinant mes photos. Serait-ce un capteur de rêves ?
Si vous avez une idée concernant la nature de la décoration ci-dessus, faites m'en part dans les échos au bas de ce billet. Pour ma part j'ignore ce dont il s'agit. Elle me fait vaguement penser au logo de Kokopelli...
Cette Liberté là a de bien belles couleurs.
Comme promis, voici le lien vers le site de l'artisan ébéniste, propriétaire de la péniche ci-contre. Ce site semble avoir eu un problème. S'il ne fonctionne pas cliquez sur ce lien.
20 MARS 2015 - EDIT DE MIDI
Grisaille persistante en région parisienne, comme en janvier 2011, l'éclipse s'est éclipsée derrière les nuages !
EDIT du 23 MARS au soir :
Le mystère demeure concernant l'objet qui orne le portail de l'une des péniches. Pour celles ou ceux qui seraient intéressé(e)s par la question, voici la partie concernée de ma photo d'origine dans sa pleine résolution :
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| 12 mars 2015 |
Ce fut notre balade d'avant-printemps!
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| Maison originale |
Vous avez sans doute déjà deviné quel chemin nous avons suivi pour marcher au soleil en ce début d'après-midi. Vous n'allez donc pas être étonnés en constatant à quelle sorte d'habitations cette maison appartient.
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| Un peu barge, cette maison sur Seine |
Et oui ! il s'agit bien d'une ancienne barge déguisée en maison. Je dis bien maison, pas maisonnette. La surface habitable étant sensiblement la même que celle d'une villa.
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| Curieux outils de jardinage... |
Ces ancres de marine font partie de la décoration disposée sur le terrain qui borde le bateau dont vous allez voir quelques photos ci-dessous. Il s'agit d'un bateau à voiles, non d'une péniche. C'est un ancien clipper, démâté et transformé en maison de location pour vacanciers aisés.
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| Une demeure bien protégée et joliment éclairée |
Idéalement située, entre Versailles et Saint-Germain-en-Laye, cette demeure de charme offre un vaste appartement pour six personnes, avec une terrasse sur le toit, dans un cadre calme et agréable à une demi-heure de Paris par le RER.
N'allez surtout pas croire que je fais de la réclame pour cette location de vacances. Quand j'ai pris mes photos, je pensais simplement voir là une une habitation flottante, juste un peu plus belle que toutes les péniches amarrées le long de ce chemin de hallage.
Situé le long du bras mort de la Seine, face à l’île de la Loge, le chemin de halage de Le Port-Marly offre une belle promenade ombragée, bordée d'un côté par des résidences et de l'autre par des péniches habitées.
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| Hormis quelques rares hors-bords, il n'y a pas de vagues sur ce bras de Seine |
Sans connaître son propriétaire, je pense qu'il faut être un brin poète pour avoir baptisé cet ancien voilier Vagues à Lames.
À mon tour je n'ai pas résisté au plaisir de "faire des vagues" !
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| Une entrée agréablement fleurie |
La plupart des habitants des péniches ont renoncé à fleurir leur petit terrain d'accès, par lassitude de le voir piétiné (euphémisme) par les chiens des gens qui utilisent le chemin de halage pour la promenade digestive de leur(s) toutou(s).
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| Une belle terrasse ombragée |
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| Un couple peu farouche |
En faction devant le ponton du club d'aviron, ce couple de canard m'a laissé les approcher à moins d'un mètre pour leur tirer le portrait.
Les pneus amarrés là (pour je ne sais quel usage) semblent se couvrir de végétation...
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| Une autre belle entrée fleurie |
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| Le propriétaire de cette jolie péniche exerce un beau métier... |
Avez-vous deviné lequel ?
Pour ma part, toute à ma prise de vues, je n'avais pas remarqué l'indice et j'ai failli le couper en cadrant ce détail de l'entrée !
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| La demeure d'un artisan... |
Après avoir terminé de présenter mes photos, en ayant recadrées quelques unes et ajouté bordures et signatures à toutes, avant de commencer à rédiger mon texte j'ai fait quelques recherches. Quelle n'a pas été ma surprise en découvrant l'activité du propriétaire habitant de cette péniche, dont la teinte turquoise ornée de jaune me plaît énormément.
Si vous n'avez pas encore deviné sa profession, il y a un lien en fin de billet qui vous amènera sur son site.
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| EMC2 ... un nom explosif ! |
Tout le monde a entendu parler de E=mc2.
Mais de quoi s'agit-il au juste ?
Pour faire simple, il faut se souvenir que la célèbre formule utilisée par Albert Einstein correspond à :
E : Énergie exprimée en joules
m : masse d’un corps exprimée en kilogrammes
c : célérité (vitesse de la lumière dans le vide) exprimée en m/s
En multipliant la masse d’un corps par le carré de la vitesse de la lumière, on obtient de l'énergie. Cette formule est à l’origine de l’énergie nucléaire.
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| Et vogue la galère... |
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| Un nom à rêver dehors |
Le nom de cette péniche est l'occasion pour ceux qui (comme moi) n'y sont jamais allés, de découvrir l'île de Wallis, ce lointain petit territoire français qui fait partie des Collectivités d'Outre-Mer.
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| Pour visiter Wallis, appuyer sur la sonnette ! |
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| Entrée engageante, sans herse autour du portillon |
Ici, comme en Outre-Mer, Wallis et Futuna sont indissociables
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| Beau voisinage de couleurs |
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| D'ici peu les feuillages masqueront totalement cette perspective |
Ci-dessus, la Futuna vue dans toute sa longueur.. ou presque.
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| Autre perspective sur la Seine |
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| Tondeuse à gazon écologique |
Depuis une vingtaine d'années que nous fréquentons cette promenade, nous avons toujours vu des oies à cet endroit.
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| Batterie de tondeuses en action |
Tout à mon affaire pour photographier les bernaches, je n'ai pas vraiment remarqué le tableau exposé sur la péniche se trouvant en arrière plan des tondeuses. Sans doute la demeure d'un peintre, professionnel ou amateur, je ne sais...
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| Deux tondeuses de choc ! |
Ces oies sont issues du croisement entre nos oies domestiques et l'Oie Cygnoïde. Elles sont répertoriées sous l’appellation Oie de Guinée ou Oie de Chine.
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| On me surveille ! |
Pas trouvé (mais je n'ai guère cherché) d'informations sur la bosse frontale, colorée ou non, de ces oies. Je sais juste qu'elle porte le curieux nom de caroncule.
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| Le pas de l'oie |
À la réflexion, l'oie à la caroncule orange me semble être le mâle de ce couple qui ne se quitte pas d'un pas (ou pas plus de trois).
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| Attention à moi !... |
Madame se remplit le jabot pendant que Monsieur joue les gardes du corps auprès de sa compagne.
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| Sommation (incitation sonore à reculer, sinon gare à moi !...) |
Message reçu 5 sur 5 ! j'arrête de les mitrailler et je les laisse continuer à tondre en paix.
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| Last but not least |
Le dernier bateau au bout du chemin m'a tout l'air d'une belle vedette... Approchons nous un peu pour la voir de plus près...
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| Un rêve |
Pas de doute, c'est une belle vedette habitable. Ah si j'étais riche ! (air connu).
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| Derrière la belle vedette |
Nous sommes arrivés au bout de ce chemin de halage, il nous faut faire demi-tour.
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| Le rouge et le noir entre ciel et eau |
En rebroussant chemin, on découvre de nouvelles choses intéressantes. Comme le panneau ci-dessous, dont l'objet n'est visible que dans un seul sens.
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| Derrière le panneau le paysage a bien changé ! |
Camille Pissarro, Alfred Sisley et Maurice de Vlaminck ont tous les trois posé leurs chevalets à Le Port-Marly
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| La Seine à Port-Marly, le lavoir Camille Pissarro - 1872 Musée d'Orsay (voir la notice) |
Il y a un bel article de Wikipédia sur ce tableau, en voici le lien.
À la fin du XIXe siècle la cheminée d'usine, visible à la fois sur le tableau de Pissarro et sur la carte postale ci-dessus, était celle d'une usine à papier. D'autres vues de la Seine à cet endroit et à cette période en cliquant ici.
 |
| Zoom sur la Seine |
Ce coup de zoom a été pris depuis l'escalier qui mène au square Louis Bourgeois. On voit au premier plan la passerelle et une partie de la Fledermauss. Amarrées à gauche, on devine à travers les branches Emc2 suivie de Vagues à Lames, puis plus nettement, la maison barge.
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| Détail de Fledermauss |
Fledermauss
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| Un nom qui me parle |
En tant que résidente d'un grenier, toutes les chauve-souris sont mes amies.
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| Noter le cercle au-dessus du portail |
Pas remarquée lors de mes photos, je n'ai découvert cette décoration qu'en examinant mes photos. Serait-ce un capteur de rêves ?
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| Attrape-rêves ? |
Si vous avez une idée concernant la nature de la décoration ci-dessus, faites m'en part dans les échos au bas de ce billet. Pour ma part j'ignore ce dont il s'agit. Elle me fait vaguement penser au logo de Kokopelli...
 |
| La liberté pour demeure |
Cette Liberté là a de bien belles couleurs.
Comme promis, voici le lien vers le site de l'artisan ébéniste, propriétaire de la péniche ci-contre. Ce site semble avoir eu un problème. S'il ne fonctionne pas cliquez sur ce lien.
Nous voici arrivé au terme de notre promenade printanière
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| Le Printemps de Charles d’Orléans |
Bon et beau Printemps à toutes et à tous
20 MARS 2015 - EDIT DE MIDI
Grisaille persistante en région parisienne, comme en janvier 2011, l'éclipse s'est éclipsée derrière les nuages !
EDIT du 23 MARS au soir :
Le mystère demeure concernant l'objet qui orne le portail de l'une des péniches. Pour celles ou ceux qui seraient intéressé(e)s par la question, voici la partie concernée de ma photo d'origine dans sa pleine résolution :
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| Cliquer sur la photo, puis faire un clic avec le bouton droit de la souris pour Afficher l'image en très grand |
©VesperTilia, échos-de-mon-grenier 2015
Merci pour cette belle promenade au fil de l'eau, et pour la découverte de l'inventivité de ceux qui vivent sur dans ces maisons flottantes.
RépondreSupprimerMerci à toi pour ta visite et ton écho .
SupprimerBon printemps, Françoise
Quelle jolie balade! J'en suis sorti hâlé... :-)
RépondreSupprimerAllez... je le crois pas, té !
SupprimerUn super sujet, une super lumière, de super photos, une exposition quand ???
RépondreSupprimerMerci pour cette avalanche de super, voila qui me fait carburer ;-)
SupprimerL'exposition a déjà lieu, ici même en ce grenier !
Pour une fois que j'avais trouvé la solution de la devinette tu donnes la réponse avant.
RépondreSupprimerC'est une bien joie promenade. Les bateaux sont plus beaux les uns que les autres. Dommage pour les petits jardinets fleuris. Les gens n'ont plus de respect. Tels maîtres, tels chiens.
D'après ce que je viens de lire, Kokopelli n'a rien à voir avec les dreamcatchers et le contraire est vrai aussi.Pour moi la déco en question n'est ni un kokopelli ni un attrapeur de rêves, dont l'origine, d'après une légende huronne qui n'en est peut être pas une, viendrait d'une toile d’araignée perlée de rosée.
Belle journée de printemps !
Ici elle est toute grise. Ni Lune, ni Soleil.
Bises
Tu avais trouvé grâce à quoi ? l'indice sans doute.. ce gros tas ne pouvait pas t'échapper ;-))
SupprimerDire que j'ai failli l'éjecter de mon cadrage pour non conformité à l'idée que je me fais d'une belle photo ! La prochaine fois j'essaierai de réfléchir au pourquoi de la chose avant d'exclure un détail qui peut, comme c'est le cas ici, s'avérer primordial.
Mais j'ai toujours eu du mal à faire deux choses en même temps. Réfléchir pour analyser la situation tout en recherchant le meilleur angle pour faire la photo, ce n'est pas inscrit dans mon programme de base. Va falloir l'upgrader :-))
Belle fin de semaine, davantage printanière, bisous
Ni Kokopelli qui lui se promène avec une flûte et refuse de se faire enfermer ni un capteur de rêves... je pencherais plutôt à un accouplement de coléoptères ou autres spécimens ... :-)))
SupprimerLes caroncules? Pour faire peur?
De bien belles images au bord de l'eau avec ombres et lumières propices à la rêverie.
Coup de cœur pour les trois tondeuses.
Hello Thérèse !
SupprimerConcernant la mystérieuse amulette accrochée au portillon d'accès d'une péniche, je t'invite à aller lire plus bas ma réponse à Claude (datée du 21 mars à 16:58).
Pour les caroncules, je ne sais pas si elles sont destinées à effrayer. Sur les photos vues ici, mise à part une seule, colorée en orange seulement en partie, toutes les autres caroncules sont noires...
Les tondeuses animales me plaisent infiniment, vu que j’exècre les tondeuses mécaniques en raison du bruit infernal et de la toxicité de leurs gaz d'échappement (tant pour mes poumons que pour l'environnement).
Ouf la notre est electrique... :-)
SupprimerUn but de balade au bord de l'eau... je ne connais pas du tout ce lieu qui m'a charmé... autant la vie en "roulotte" ne m'attire guère autant cette vie "barge" me séduit !
RépondreSupprimerje reviendrai pour les liens Tilia
je m'éclipse en ce moment !
bises que j'aimerai plus printanières
La vie "barge" est un voyage immobile à la manière de celui de Xavier de Maistre. Aucune péripétie majeure, comme celles que peuvent rencontrer les gens du voyage en cheminant sur les routes, ne vient troubler la rêverie de ce promeneur en chambre. Entre l'inconfort de l'expérience vécue et la quiétude d'une vie vouée à la réflexion, mon choix est fait. Je n'ai pas la fibre aventurière et le miracle internet suffit à combler mon insatiable curiosité !
SupprimerBises feutrées, comme la promenade nocturne d'une souris dans le grenier
Quelle jolie balade printanière ! Quel charme ! Merci d'avoir partagé cette promenade ici. Pour le métier, je n'avais pas trouvé, car je n'ai pas vu l'indice, et je ne le vois toujours pas lol
RépondreSupprimerJe suis devenue gaga devant les bernaches, comme elles sont belles ! Les oies sont plus sur le qui-vive, en tout cas, Monsieur Jars lol
Trop mignonnes ces "tondeuses" lol
J'ai bien aimé la toile fleurie aussi, sur le pont.
Gros bisous Tilia et doux printemps à toi
L'indice se trouve là, au premier plan sur la droite ;-)
SupprimerCes tondeuses sont très efficaces. Ici, à Bougival, leurs consœurs entretiennent toute l'allée piétonnière entre la Seine et la route nationale (ex-nationale devrais-je dire puisque qu'il n'y a plus que des routes départementales !).
Pour le tableau sur la péniche, ne m'étant pas approchée suffisamment, je ne sais pas s'il s'agit réellement d'une toile sur un châssis de grand format mise à sécher là, ou si c'est une peinture sur un panneau destiné à faire écran pour protéger le pont des regards des promeneurs...
Bises, rafraîchies par la nuit, et belle journée de printemps dans ta jolie contrée, Nathanaëlle
Tu vas dire que je suis "dure de la comprenelle" lol, je ne vois pas du tout quel est l'indice, le détail qui fait dire "tiens, ici vit un ébéniste" lol
SupprimerTôle rouillée, cabanon de bois verni, il y a des trucs et des machins entre les deux, et à coté, mais je ne vois pas quoi...
Oups... lol
Elles sont mignonnes ces petites oies...
Gros bisous Tilia
Le détail en question, c'est l'énorme tas de sciure dans le grand baquet en tôle rouillée. Quand tu vas sur le site de Raymond Boutin tu découvres qu'il y a tout un atelier de menuiserie dans les flancs de sa péniche, ce qui produit évidemment beaucoup de sciure.
SupprimerJe suppose que le tas disposé dehors est mis à la disposition des gens qui préfèrent utiliser de la sciure gratuite (plutôt que de la litière minérale achetée dans le commerce) pour le bac de leur animal de compagnie...
À propos de chat, au retour de notre promenade, sur ce même chemin de halage, nous avons rencontré un beau rouquin très câlin. J'en ai fait une bonne demi-douzaine de photos.
Belle fin de journée et bisous itou, Nathanaëlle
Oops, merci Tilia ! Je ne voyais pas la sciure dans le truc rouillé ! lol
SupprimerLe lien vers le site du menuisier ne fonctionne pas, et dans ton billet non plus, celui-ci fonctionnait pourtant la semaine passée, puisque j'avais cliqué dessus...
Oui la sciure est plus naturelle que les grains absorbants, et plus écolo aussi, mais les litières en grains sont bien utiles lol
J'ai hâte d'admirer ce beau kikinou tout roux lol J'adore les kikinous roux, j'ai des petits voisins qui viennent me voir, et faire des galipettes dans le jardin, il y a 2 noirs (dont Cachou) 1 tigré, un gris et 2 roux (dont Pilou) et Kiwi, mon filleul des Chats du Maquis est roux !
Gros bisous Tilia, (et pardon d'avoir une poutre dans l'oeil ! lol Roo pas vu la sciure ! lol)
PS : Tu crois qu'il s'agit d'un attrape rêves ? Ils ont tous des filets, (la maman d'une de mes connaissance vendait des articles indiens, canadiens et country américaine, et tous les attrapes rêves de la boutique étaient tous, quelque soit le modèle, à base de trame, de filet, pour capturer les mauvais rêves justement lol) et là, absence de filet (ou sont-ce encore mes yeux qui, à l'instar de leur difficulté à repérer la sciure, zappent le filet lol)
SupprimerVu que l'oiseau sur cette sculpture n'est pas une oie, ce n'est donc pas un hommage aux jolies petites habitantes de la rive, on dirait plutôt un oiseau style grue, un échassier avec un long bec. La sculpture a peut-être un rapport avec le nom de la péniche ?
Gros bisous Tilia et douce nuit
Coucou Nathanaëlle !
SupprimerTu as raison pour le site de l’ébéniste, il est inaccessible alors que Google l'a toujours en mémoire quand on fait une recherche. Il a du y avoir un problème quelconque... J'ai trouvé une page concernant cet artisan sur un autre site, je vais changer le lien dans le corps de mon billet. Merci de m'avoir signalé la chose.
D'accord avec toi pour reconnaitre que la litière agglomérante est plus hygiénique :-)
Vu que je suis toujours à la bourre, le chat roux n'aura peut-être pas l'occasion de se faufiler par la porte du grenier d'ici un bon bout de temps. Si c'est le cas, je t'enverrai quelques photos par courriel.
Pour le "bidule" accroché au-dessus du portillon de la péniche, je n'ai jamais vraiment cru que ce soit un capteur de rêves. J'ai seulement dit que ça m'y faisait penser, vu que ça a l'air d'être une sorte d'amulette destinée à éloigner les mauvais esprit.
À la réflexion, je pense que c'est une sculpture en rapport avec le vécu du propriétaire, comme j'en ai parlé avec Claude, suggérant à tout hasard une représentation de l'oiseau emblématique de la Nouvelle-Calédonie, le Cagou (ou kagou). Une chance sur cent que ce soit le cas !
À l'occasion, je poserai la question à l'occupant(e) si j'ai la chance de le (la) rencontrer.
Le nom de la péniche est "Liberté", c'est écrit dessus (comme le Port-Salut :-))
Bisous itou et belle journée Nathanaëlle
Des couleurs qui se reflètent si joliment sur la Seine... Une belle balade qui nous ouvre les portes sur un printemps débutant avec originalité et un art de vivre au fil de l'eau sans bouger ! Ces péniches sont à demeure ?
RépondreSupprimerVive le printemps sur l'eau et ailleurs !
Bises que j'aimerais aussi plus printanières comme le dit si bien Josette
Les reflets sur ce bras "mort" du fleuve sont magiques. Impossible de faire des photos banales dans un tel cadre, surtout l'après-midi, quand le soleil illumine la scène, et la Seine :-)
SupprimerOui, ces péniches sont là à longueur d'années. Il est exceptionnel que l'une d'entre elles prennent des vacances ! Surtout que certaines n'ont plus de moteur et ne peuvent être manœuvrées qu'accouplées.
Bises de presque printemps (ici on attend avec impatience la fin de l'alerte à la pollution)
je regarderai avec plus de plaisir tes belles maisons...quand le wifi veut bien...bises
RépondreSupprimerLe wifi..oui, bien fol est qui s'y fie ;-)
SupprimerJe croise les doigts pour qu'il arrête ses sautes d'humeur et te permette de naviguer à ta guise, ici ou ailleurs.
Bises et belle journée ensoleillée (enfin, j'espère !)
Une promenade peu ordinaire pour moi. Je me suis régalée mais comme elle est très riche ta promenade, je reviendrai demain. Coup de coeur tout particulier pour tes photos animées par une touche de rouge comme celle du "couple peu farouche" et d'autres.!!!
RépondreSupprimerBisous de bonne nuit, Tilia !
Oui, ma promenade a été riche en images, je n'ai publié que les péniches et les oies, faisant l'impasse sur le chemin lui-même et les installations qui le bordent du côté opposé à la Seine, ainsi que sur les rencontres avec les animaux, tel un beau chat roux que je publierai peut-être un de ces jours.
SupprimerBises de belle journée, Fifi, à bientôt !
Mais dis moi ton kokopelli à toi n'a rien à voir avec le
RépondreSupprimerle mien.
On dirait qu'il y a une guirlande électrique.
En général les capteurs de rêves ont des plumes. Remarque facile à faire avec les oies !
J'avais le gros tas sciure.
Même temps qu'hier ici donc bises tristounettes.
Bien sûr que ce n'est pas un capteur de rêves, mais je pense que c'est peut-être un objet du même genre, c'est-à-dire destiné à éloigner des forces mauvaises. Tout comme l'attrape-rêves, Kokopelli fait partie de la mythologie amérindienne et il possède lui aussi des facultés magiques pour protéger les gens et semer des graines de vie.
SupprimerDans l'article de Wikipédia que tu mets en lien, on peut lire que dans certains mythes, Kokopelli "possède un phallus proéminent, voire détachable, qui flotte en aval et qui, non détecté, imbibe les demoiselles se baignant dans le fleuve. C’était un grand honneur pour une femme de l’avoir comme « compagnon d’un temps de rêve » lors de sa venue dans un village."
La longue trompe de l'insecte (on dirait bien un insecte) m'a fait à penser à Kokopelli, mais sans plus :-))
Ainsi disposé au-dessus de l'entrée, je suis persuadée que ce n'est pas une simple décoration et que cet objet est là pour refouler quelque chose, mais quoi ? je n'en sais rien.
De plus, tu l'auras peut-être remarqué, il y a un autre objet énigmatique suspendu à cette même barre dans une espèce de spirale en métal...
Ce truc m'intrigue fort et je sens que je ne vais pas tarder à retourner sur ce chemin pour voir ça de plus près. Et que je vais sans doute me payer le culot d'aller interroger l'habitant de cette péniche.
D'ici là, je vais publier prochainement un agrandissement de ce détail de ma photo, afin que chacun puisse donner son avis.
Bises itou (ici, la pollution continue à nous asphyxier, du coup on ne sors pas de chez nous !)
Le phallus de ce Kokopelli (un peu dieu du soleil) a ete supprime par le "lobbying" de l’époque des évangélisateurs blancs... :-)
SupprimerLa spirale en métal est un bidule pour mettre les boules de graisses pour les ti zozios.
RépondreSupprimerEn agrandissant ta photo au max c'est bien une une guirlande électrique qui entoure, quoi ? Là je ne sais pas. Je ne sais pas non plus à quoi ressemble le machin au centre.
Tu as peut-être raison un truc pour chasser les mauvais esprits.
Bon c'est pas le tout mais j'ai des trucs à taper pour mon boss.
Le soleil a fait une très courte apparition.
Bises du samedi.
Le bidule au milieu, on dirait une vilaine bête qui tient sa deuxième patte à la main, si je puis dire ; en dessous un perchoir à moineaux vu les boules de graisses à côté.
SupprimerOk, je file !
Bises fraîches mais ensoleillées
Coucou Claude !
SupprimerOn dirait que cette mystérieuse bête t'intrigue autant que moi ;-)
Je viens d'ajouter une vue au maximum au bas du billet. Pour moi, ce qu'il y a dans la spirale métallique ne ressemble guère à des boules de graisses. Va voir et dis-moi ce que tu en penses...
Bises et belle semaine, malgré la pluie qui est annoncée
Bonjour Tilia
SupprimerAh que si la spîrale enferme 2 boules de graisse ! Et les boules et les spirales tu trouves ça en jardinerie, Les boules sont dans de petits filets en plastique vert que tu peux accrocher où tu veux.
Quand au machin truc que j'ai agrandi encore plus grand que toi ( control + molette de la souris) je ne vois vraiment pas ce que c'est. Un grigri, un repousse chose, en tous les cas ce n'est pas très esthétique sauf peut-être quand la guirlande est allumée.
Bisous mouillés
Tu as l'âme (j'ai pas dit "vagues à lames" d'un détective, le sens du détail qui fait imaginer et une volonté farouche de trouver. Une de mes amies conteuse a le réflexe d'imaginer la vie des personnes qu'elle croise et qu'elle ne connais pas, dans une salle d'attente ou à la caisse d'un super marché. Tu me semble dotée d'une faculté semblable. Et tu nous caches ton autre blog où tu te livres à une passion coupable écrire des polars ?? :-))
RépondreSupprimerL'écriture d'un polar est plus difficile qu'il n'y parait. J'aimerais bien avoir le talent de Camilla Läckberg.. ça donnerait un peu de tonus à mon compte en banque :-))
SupprimerCoup de coeur encore pour le trio des tondeuses écologiques de la 28, pour le rouge et le noir de la 38 et la belle vedette, évidemment :-)
RépondreSupprimerMerci Tilia pour ta fidélité poétique et ton commentaire élogieux !
Chez nous aussi il fait froid, gris et venteux. Rien de tel pour s'attarder devant l'écran bien au chaud.
En réexaminant mes photos je me suis aperçue que "le rouge et le noir" c'est la proue de la "Péniche Rosa", celle qui expose une peinture dont j'ignore la nature exacte (comme j'en ai parlé à Nathanaëlle). Les péniches ayant en moyenne 38,5 mètres de long, en raison de la végétation qui couvre la rive et fait obstacle entre les passerelles d'accès, pour la plupart il n'est souvent pas possible d'avoir une vue d'ensemble.
SupprimerTon cœur de coquerelle mérite amplement des compliments et les miens sont toujours sincères.
Bises chaleureuses et beau temps sur ta contrée, chère Fifi
Beaucoup de charme et tu as du soleil en prime, tes volatils sont des stars très "pro"et cet habitat est parait-il un luxe très convoité ,ton aventure fluviale rejoint mon rêve d'évasion avec mon "Bus de mer "tout au bout du pays le printemps nous titille en aventures
RépondreSupprimerBravo et Merci Bien Amicalement
Joli clin d'oeil avec les peintres à suivre
Le soleil n'a, hélas ! pas duré longtemps. Dès le surlendemain de notre promenade, la température printanière est redescendue et la grisaille s'est installée.
SupprimerLe Port-Marly est en plein sur le Chemin des Impressionnistes. Un fil à suivre pour de prochains billets, mais quand !...
Merci à toi, Arlette pour ta visite, amitiés
Un genre de talisman qui protège diable ou porte chance celui qui le porte ou éventuellement dans le cas présent qui l'installe.
RépondreSupprimerSubitement, cette étrange bestiole m'a fait penser à un phasme, tel le Chouval bon dié que tu connais certainement.
SupprimerMalgré quelques recherches, je n'ai pas trouvé de phasme doté d'un rostre semblable à celui de cette sculpture enigmatique.
Mais comme la nature a pondu tellement d'insectes bizarres, il n'est pas dit que ce genre de bestiole n'existe pas...
Bises (pin)sonnantes ;-)
Pour tout te dire, je ne sais pas. Je m'interroge.
SupprimerJe cherche aussi ce que peut-être la chose ronde qui est entourée de la guirlande et qui a des picots.
Super mal dormi, j'ai la tête dans le sac.
Bises ensoleillées mais fraîches.
Comme j'avais repéré la patte (genre patte de poulet) sur laquelle repose la bestiole, l'idée de Cergie comme quoi il pourrait s'agir d'un oiseau avec un long bec (courlis, bécasse ou autre..) m'avait effleurée.
SupprimerMais je ne vois pas ce que peux représenter le truc bleu en dessous de son corps. Serait-ce une femelle en train de couver ? !...
Bisous, je te souhaite une meilleure nuit que la précédente et de beaux rêves (surtout pas de drôles de bestioles !)
On dirait un bidule en cuivre avec du vert de gris. Si c'est un échassier, il se tient sur une patte légèrement pliée et l'autre toute droite il la tiendrait avec son bec ou avec le bout d'une aile.
SupprimerCe qui m'intrigue aussi ce sont les striures des pattes, on dirait du fer à béton. Je remarque aussi sur la "patte" en l'air que cela pourrait aussi être le bec avec les deux yeux, mais pourquoi les doigts ou ergots ensuite.
Bizarre cette bestiole !
Si c'est un capteurs de rêves ce machin, c'est un vrai cauchemar. Peut-être l’œuvre de quelqu'un tourmenté.
Mieux dormi.
Bises humides
Coucou avant le départ pour qq jours
RépondreSupprimerTilia je suis tout à fait d'accord avec toi entre escroquerie et art il y a un grand saut ! quand nous voyons certaines galeries au cours d'escapades vacancières je me demande le culot qu'il faut pour appeler de l'art ces "toiles" peintes à la chaîne !
bises froides et mouillées.
Heureuse de te compter parmi les gens sains d'esprit ;-))
SupprimerMais ce n'est pas facile de lutter contre les lobbies, Luc Ferry en a fait l'expérience.
Bises, bon voyage et beau temps là où tu vas, Josette
.
Me voici par un chemin de traverse pour essayer de commenter chez toi, je ne sais pourquoi rien ne va chez moi ce matin, charger les photos, publier les commentaires, rien ne va...
RépondreSupprimerQuand rien ne va plus, je ferme le navigateur (si tu es sous Windows, passer par le Gestionnaire des Tâches pour s'assurer qu'il est réellement fermé peut s'avérer nécessaire) et je vais faire un peu de ménage sur le disque C (nettoyage du disque par suppression des fichiers temporaires, entre autres manip'). Et ensuite je redémarre l'ordinateur. En général ça suffit pour tout remettre en ordre.
SupprimerTa maison sur Seine me rappelle le dernier Thalassa sur la Loire (mon mari est originaire de Nantes et a été élevé à l'estuaire). Nous y avons vu une "oeuvre d'art", une véritable maison flottante seulement habitée par des fantômes qui allument une lampe parfois (je n'ai pas assez de connexion auj pour faire des recherches)
RépondreSupprimerVoici un lien que j'ai trouvé / la maison dans la Loire
Supprimerhttp://www.nantes.fr/home/actualites/ville-de-nantes/culture/estuaire/maison-dans-la-loire.html
Cette "maison sur Seine" me fait penser à la maison que se sont construite les créateurs d'un jardin à Herbignac en Grande Brière (44), le jardin du Marais, merveilleux jardin par ailleurs, autour de la roulotte sur laquelle ils ont longtemps voyagé...
Ta maison fantôme dans la Loire va fatalement en devenir un tôt ou tard, j'ai peur !
SupprimerDans le genre maison flottante fantomatique, j'adore la petite maison de St Cado.
J'ai trouvé ta maison d'Herbignac, c'est ici. Une demeure pleine d'inventivité !
Tu sais, j'avais fait un séjour en Grande Brière, tu avais commenté sur mon message de retour (Don Quichotte, le réverbère) c'est là que Vespertilia avait aluni il me semble.
SupprimerJ'ai deux messages sur Cergipontin / le jardin du Marais mais n'avais pas montré les photos de la maison que j'ai retrouvées pour toi dans mes archives >
http://4.bp.blogspot.com/-04br3LK7iX8/VRVrqcEeCuI/AAAAAAAAROg/-x_nDixa8Po/s1600/HerbignacMaison1.juillet2007.jpg
http://3.bp.blogspot.com/-JUYYBtgAkSM/VRVrqemAUwI/AAAAAAAAROk/0V4_5BXe8qY/s1600/HerbignacMaison2.juillet2007.jpg
Ton message m'avait donné l'envie d'en savoir plus / la maison sur (dans) la Loire, j'avais trouvé une maison antérieure datant de 2002 bâtie sur le St Laurent, elle a fini dans l'océan, cela a été le cas aussi de la première maison dans la Loire qui dataient de 2007 (si mes souvenirs sont bons), celle qui est encore... flottante sur le fleuve subira sans doute le même destin. Sur la toile on trouve un peu toujours les même réponses pas toujours à des questions que l'on se posent. Je voudrais en savoir plus sur la réalisation de cette oeuvre, en quoi elel est faite, comment se fait-il qu'elle dérive, si elle est ancrée etc...
SupprimerMerci, merci ! pour les cloches du jardin d'Herbignac.
SupprimerElles me rappellent celles du potager de Caillebotte à Yerres.
Un souvenir inoubliable ;-)
Pour la Maison dans la Loire, cette page laisse entendre que le mystère est entretenu à dessein par Jean-Luc Courcoult. Il ne sera donc pas facile d'obtenir des informations...
SupprimerDommage ! car je suis aussi curieuse que toi d'en savoir un peu plus sur sa réalisation technique.
"Le lavoir" a donné le bateau lavoir, plus connu de nos jours.
RépondreSupprimerLe kokopelli ressemble plutôt à un foetus de lama dans une couronne de Noël lumineuse, un hybride de toutes les croyances et mythologies?
Horribles, ces coutumes superstitieuses des boliviens et péruviens utilisant des fœtus de lama !
SupprimerJe pense plutôt, comme le suggère Christine, ci-dessous à un oiseau...
Jolie balade au bord de l'eau que tu nous offres ici Tilia, avec des couleurs chaleureuses annonciatrices de printemps.
RépondreSupprimerBeau sujet... avec, cerise sur le gâteau, une drôle de bestiole à découvrir. J'y verrais plutôt un oiseau à long bec, perché, style Courlis, un peu stylisé, en train de se balancer sur son perchoir !
Mais ceci n'engage que moi !
Merci encore...
Biseeeeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeeeeeeee
Bravo Christineeeee ! ton idée a fait tilt.
SupprimerLe long bec évoque effectivemen un oiseau. Pourquoi n'y avais-je pas pensé plus tôt ?!!
Serait-ce une huppe, avec trois plumes sur le crâne ?
Ou bien une version trash de cette belle sculpture...
Merci à toi pour ta visite et ton avis des plus pertinents
Biiiiiiises
La photo que je préfère pour ce que j'en vois est celle sur laquelle tu as écrit le poème "le temps" (je n'ai pas réussi à tout charger)
RépondreSupprimerMon chemin de halage de Conflans Ste Honorine est moins 'classe" que le tien, beaucoup de péniche de bateliers partis à la retraite qui se reposent à l'amarre, certaines sont à vendre. La dernière fois que nous y sommes allés avec mon mari (il y a dix jours) celui-ci a remarqué une drôle de péniche qu'il présume pouvoir naviguer en mer
Passe une bonne journée, Tilia !
Ça fait un bon bout de temps que nous ne sommes pas retournés à Conflans-Ste-Honorine. C'est une bonne idée. Dès que le temps va s'améliorer on va y aller faire un tour. Peu importe s'il y a moins de péniche, à lui seul le musée de la Batellerie vaut le déplacement.
SupprimerBelle journée (soirée) pour toi aussi, Cergie
Je ne voulais pas dire qu'il y a moins de péniches à Conflans, je les trouve juste plus "besogneuses" ; Conflans est tout de même la capitale française de la batellerie. Je serais vraiment curieuse de voir ton point de vue sur cet endroit que je connais très bien...
SupprimerJe voudrai bien trouver l'adresse d'une véritable guinguette de mon coté (ou du tien) sur la Seine*, nous avons déjeuné l'autre midi au bar de la marine à Neuilly-sur-Marne ou j'étais déjà allée
Supprimer* En dehors de la maison Fournaise, un peu trop tralala pour être encore bon enfant
Pour Conflans, promis, je te tiendrai au courant dès que nous irons (faudrait que le printemps se décide à se montrer !)
SupprimerQuestion guinguette dans mon coin, je ne vois que "Le fruit défendu" à Rueil. Jamais testé, car trop classieux pour nous. Je déteste ce genre de resto qui prône "l'esthétisme" des plats et où, moins tu en as dans l'assiette, plus c'est cher !
Pas contre, nous avons un très bon souvenir de la Maison Fournaise. Il est vrai qu'il remonte à 2003, l'année des 60 berges de mon cher et tendre :-)
quelle belle ballade !
RépondreSupprimerles péniches sont toutes plus jolies les unes que les autres
par contre c'est joli sous le soleil mais avec le brouillard ou la pluie ?
Par mauvais temps, promeneurs ou bateliers immobiles, chacun reste chez soi. Entre distractions ludiques (surfer sur internet, par exemple ;-)) lecture, bricolage ou entretien ménager, les occupations d'intérieur ne manquent pas !
SupprimerBon alors, ça t'intéresse pas ce que je t'ai dit !
RépondreSupprimerPlus haut !
Bises grisounnettes
Hello Claude !
SupprimerT'énerve pas, je n'ai vraiment pas compris ce que tu décris dans ton commentaire précédent : "il se tient sur une patte légèrement pliée et l'autre toute droite il la tiendrait avec son bec ou avec le bout d'une aile."
Pour moi, le bec de ce drôle d'oiseau ne touche pas son corps.
Et lorsque tu écris "Je remarque aussi sur la "patte" en l'air que cela pourrait aussi être le bec avec les deux yeux, mais pourquoi les doigts ou ergots ensuite." je ne pige pas non plus...
Ce que je pense à présent de cette sculpture métallique, c'est qu'il doit s'agir, soit d'une libre interprétation du Cagou (ou Kagu),
l'oiseau emblématique de la Nouvelle-Calédonie, vraiment très spécial vu qu'il ne vole pas et que son cri ressemble à l'aboiement d'un chien !
Soit une représentation toute aussi libre d'un oiseau mythique d'une civilisation pré-colombienne...
Ou tout simplement une sculpture d'un oiseau imaginaire dans le genre de celle-ci :-))
Bises (effectivement grisounettes, le soleil se fait désirer !) et bon weekend
Si je comprends bien cela ne me réussi pas de bien dormir.
SupprimerC'est pourtant clair ce que j'ai décrit.. En tous les cas c'est un drôle d'oiseau !
Si c'en est un !
Une autruche ? Un kiwi ?
Bon je file !
Bises, les miennes qu'hier !
Je me réponds à moi-même.
SupprimerUn émeu !
Bises trempées.
une balade comme on aimerait faire souvent!!! avec des photos et commentaires charmants... le bidule rond je le verrais bien comme un capteur de moustiques le gros du milieu monstrueux doit commencer à les avertir et autour du cercle un cordon imbibe d'un produit qui les achève!!!
RépondreSupprimerCoucou Marguerite-Marie !
SupprimerMoi aussi j'avais pensé aux moustiques ! mais curieusement, lors de nos promenades en bordure de Seine nous n'en avons jamais rencontré. Par contre, il nous est arrivé, vers le soir, de traverser de véritables nuages de minuscules moucherons inoffensifs, dont j'ignore le nom.
Merci tout plein, Tilia pour ta belle trouvaille signée Victor Hugo. Je l'imagine sans difficulté dans la bouche de ma conteuse ! C'est une authentique histoire pour une vraie conteuse :-) Belle fin de semaine à toi avec du soleil, des belles promenades et de belles photos pour nous raconter une histoire comme tu sais si bien le faire toi aussi !
RépondreSupprimerSchmoutzele tout plein !!!
Le prochain billet sera en images, à propos d'une coutume que tu connais sans doute... Je n'en dis pas plus, ce sera la surprise ;-)
SupprimerBises et belle semaine, Fifi
Je t'ai répondu sur mon soleil.
RépondreSupprimerBises du samedi tantôt.
Abandon provisoire des recherches, tant que le soleil ne revient pas franchement. De plus, je suis occupée à préparer mon billet pascal.
SupprimerTa persévérance m'émeut ;-)
Bises (en rafales ! vu les prévisions météo pour cette nuit et la journée de demain)
Bip ! Bip ! The roadrunner !
SupprimerIl s'est fait arracher une patte par Wile E The Coyotte.
Bises ventées.
Un flamant d rose.
SupprimerUn héron.
Merci pour le soleil du Fugain. Ce m'est pas sa chanson de cette époque que je préfère le plus.
C'est celle-là.
Purée ! On a de de ces ventouses ici.
Je déteste les tempêtes.Imagine toi que celle de 1999, je n'ai rien entendu du tout grâce à mes boules Qquies vu que mon Chéri ronfle.
Un peu comme celui de Mado.
Bises de l'après midi.
Merci pour le BipBip roadrunner, j'adore ! Quand j'étais gamine, j'avais un abonnement à Bugs Bunny :-)
SupprimerNe me parle pas de ventouses, pour moi les ventouses c'est ça. Sans doute efficace, mais pas super comme souvenir !
La tempête du 26 décembre 1999, figure-toi que pour moi c'était exactement la même chose que pour toi : rien entendu du tout... jusqu'au moment où, vers 6 heures du matin, mon cher et tendre m'a réveillée et que j'ai retirée mes boules (vu qu'il ronfle lui aussi). Alors, quel choc ! j'ai cru entendre un Airbus passer derrière nos volets fermés. Je m'en souviens d'autant plus que c'était le matin de mon anniversaire !
Merci pour la vidéo de Mado, je ne la connaissais pas et j'en ai les larmes aux yeux d'avoir tant ri :-D
Pour Michel Fugain, je te réponds sur ton blog
Bisou
Je te passe un mail.
SupprimerBises ensoleillées mais frisquettes.
Je sais on ne peut pas tout avoir.
Quelle jolie promenade fort bien documentée ! Cela sent bon le retour des beaux jours.
RépondreSupprimerDes beaux jours, pour l'instant il n'y en pas eu beaucoup en région parisienne. Le soleil est vite caché par les nuages !
SupprimerMerci chère poète ! Nous attendons ton prochain billet...
RépondreSupprimerCoup de coeur en passant pour le bleu éclatant et les réflexions de "Vagues à Lames" et "Liberté" !
Bises venteuses !!
Pour l'instant, "Liberté" garde le mystère quant à la nature de ce qui surmonte son portillon. Mais je n'ai pas dit mon dernier mot !
SupprimerBises venteuses, itou (la pollution est balayée ! jusqu'au prochain épisode..)
Le billet pascal est en train de mijoter, je suis occupée à y inclure les bons ingrédients :-)
Pour sûr que je me rappelle de la petite toto itailana qui n'avait que 3 roues et dans laquelle tu montais en ouvrant le capot.
RépondreSupprimerMon Papa s'était acheté un autre pot de yaourt, la petite Fiat 500 pour aller au boulot m'abandonnant ainsi son Solex avec lequel j'allais au Lycée.
Merci pour tes différents liens sur A bout de Souffle. J'ai cherché par mal mais j'avoue ne pas avoir trouvé la scène du tournage au bout de la rue.
Bises humides
Le pot de yaourth de mon papa à moi, c'était la 4L ;-)
SupprimerBises de Pâques
Merci chère poète !
RépondreSupprimerBelles fêtes de Pâques, Tilia !!!
Je t'embrasse et attend avec impatience ce que tu nous mijotes :-)
Demain je serai vouée ou dévouée à l'intendance pour toute la journée
Alors sûrement à lundi pour ton billet pascal ? :-)
Tu es passée une demi-heure trop tôt !
SupprimerÇa y est maintenant tu peux aller voir mon "roulement à billes"... si "l'intendance" t'en laisse le temps ;-)
Bises, bon courage pour le boulot, Fifi, et bonnes fêtes parmi les tiens