Mes soucis étant à présent en grande partie envolés, je reviens dans mon grenier pour ce billet que j'avais promis et que je dédie à Cergie, en réponse à son Oiseau Noir du mois de février dernier.
En 2013, pour l'anniversaire de mon cher époux, nous sommes allés à Paris. Après un excellent déjeuner au restaurant du Musée d'Orsay, nous avons longuement visité les collections : peintures, sculptures et arts décoratifs.
En sortant, nous avons traversé la Seine par la passerelle Léopold-Sédar Senghor afin de passer par le Jardin des Tuileries, avant d'aller rejoindre la ligne 1 du métro.
En raison de la température glaciale de cette journée de février, le passage aux Tuileries a été rapide. J'ai néanmoins pris le temps de mettre en cage (dans mon appareil photo) quelques oiseaux amusants.
Telle cette mouette rieuse chapeautant la statue de César par Coustou :
Mouette bientôt chassée de son piédestal par une corneille :
Un peu plus loin, sur la pelouse de La Grande Musicienne, des corneilles se disputaient une assiette en carton sur laquelle adhéraient encore quelques bribes de nourriture :
Après cette courte promenade, nous nous sommes un peu réchauffés avec les gaufres du marchand posté à la grille du jardin, place de la Concorde.
En 2013, pour l'anniversaire de mon cher époux, nous sommes allés à Paris. Après un excellent déjeuner au restaurant du Musée d'Orsay, nous avons longuement visité les collections : peintures, sculptures et arts décoratifs.
En sortant, nous avons traversé la Seine par la passerelle Léopold-Sédar Senghor afin de passer par le Jardin des Tuileries, avant d'aller rejoindre la ligne 1 du métro.
En raison de la température glaciale de cette journée de février, le passage aux Tuileries a été rapide. J'ai néanmoins pris le temps de mettre en cage (dans mon appareil photo) quelques oiseaux amusants.
Telle cette mouette rieuse chapeautant la statue de César par Coustou :
Mouette bientôt chassée de son piédestal par une corneille :
Un peu plus loin, sur la pelouse de La Grande Musicienne, des corneilles se disputaient une assiette en carton sur laquelle adhéraient encore quelques bribes de nourriture :
Après cette courte promenade, nous nous sommes un peu réchauffés avec les gaufres du marchand posté à la grille du jardin, place de la Concorde.
©VesperTilia, échos-de-mon-grenier 2018
Très heureuse de te retrouver et surtout très contente d'apprendre que tes ennuis ne sont plus que souvenirs pour la plupart, et c'est tant mieux. J'adore regarder les oiseaux et le fait qu'ils se perchent toujours sur les statues, cela m'a toujours fait sourire, surtout les statues de personnages célèbres, cela leur fait perdre un peu de leur superbe, et c'est tellement mignon de la part des oiseaux. Hop un petit peu de guano lol Je trouve les corneilles très belles, très dignes, j'aime bien les corvidés et leur intelligence n'est plus à prouver.
RépondreSupprimerGros bisous Tilia, je suis tellement contente de te retrouver! Bon weekend !
les corbeaux et corneilles , je ne me lasse pas de les observer...et je trouve que l'herbe est déjà verte chez toi...bonne suite! bises
RépondreSupprimerRavie de ton retour avec des soucis de santé passés
RépondreSupprimerJ'aime aussi obeserver ces oiseaux paisibles
Bonne journée
Une mouette et une corneille bien irrespectueuses !
RépondreSupprimerLes corneilles aujourd’hui sont de bon augure : je m’en réjouis.
RépondreSupprimerCésar a l’air peu amène- c’est normal, il ne badine pas avec l’humour -mais les courbes de la grande musicienne sont avenantes.
Un billet plein de charme :un brin de campagne â Paris.
Il est amusant César avec la corneille sur la tête,belle photo.
RépondreSupprimerC'est bien que tes soucis soient terminés, tu vas pouvoir profiter du printemps.
Bisous et bon week-end
Quel soulagement de savoir tes problèmes s'envoler avec l'hiver Tilia !
RépondreSupprimerta volière est très instructive elle permet de constater que les oiseaux s'adaptent parfaitement à l’environnement urbain !
Je te souhaite une belle journée avec une trêve de la pluie !
Coucou ma chère Tilia. Contente de ton retour et contente que les soucis soient derrière. Tu nous a manqué! Les statues sont souvent l'endroit que choisissent les oiseaux pour regarder les passants un peu plus bas. Je ne sais si la corneille et la mouette étaient conscientes d'être sur la tête d'une forte tête de notre grande Histoire. Bises alpines et j'espère que le printemps qui arrive va effacer tous les restes de tes soucis.
RépondreSupprimerLes corneilles que nous avons repérées au Rocher des Doms sont manifestement des "choucas des tours", dits aussi corneilles des clochers. (Je n'en ai pas photographié.)
RépondreSupprimerPar contre, fréquentation dans notre jardin d'un rouge-gorge (rare malheureusement, car les pigeons sont un peu envahissants...)
Le rouge-gorge :
RépondreSupprimerÇa va marcher, oui ?
RépondreSupprimerLe rouge-gorge :
https://scontent-cdg2-1.xx.fbcdn.net/v/t1.0-9/28471860_10214939393699347_8793730930341848252_n.jpg?oh=46fa0623da8dce210c6b84942b97a199&oe=5B0A1F0F
Mince, ça prend plus les codes html dans les commentaires ?
RépondreSupprimerContente que le printemps soit déjà rentré dans ta maison, de quoi savourer la suite...
RépondreSupprimerAutant de buses le long des autoroutes vers la Normandie que les corbeaux à Paris (ou à TOulouse) sur les têtes de statues. Mais toi tu fais mieux, tu fais d'une pierre deux coups, et surtout avec les courbes à la Botero en arrière plan.
Coucou Tila !
RépondreSupprimerTu fais dans les bêtes à plumes toi aussi !
Le musée d'Orsay et la passerelle, ça me rappelle quelque chose, n'est-ce pas !
Il y a oiseau et oiseau noir. On ne peut pas dire que le corbeau ou la corneille soit un bel oiseau, je leur préfère le merle.
Sur ce bisous pluvieux et ensoleillés.
Ah les voici ces oiseaux que je trouve romantiques (coa coa !) Il faut dire qu'ils savent se mettre en scène en des endroits improbables (cimetières, vieilles tours etc). Je me demande pourquoi il n'y a pas comme au jardin du Luxembourg ces affreuses piques en ferrailles qui protègent les statues des oiseaux. Sans doute parce qu'il s'agit d'un moulage, l'originale étant au Louvre ?
RépondreSupprimerhttp://www.paristoric.com/index.php/paris-d-hier/statues/statues-des-tuileries/2184-les-statues-des-tuileries-la-statue-jules-cesar?tmpl=component
Je viens de trouver dans le bureau de mon mari et de m'emparer d'un petit livre récent sur le jardin des Tuileries >
Supprimerhttp://www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=55001
A première vue j'ai cru que ces photos étaient de cette année puis j'ai lu 2013 lors je me suis demandé ce que j'ai fait à cette époque, le blog étant d'una ide précieuse comme aide-mémoire : j'avais le 20 février visité l'expo Dali au musée Pompidou avec une amie. Cette même amie était avec moi cette année lorsque nous avons quitté le musée d'Orsay par la passerelle afin de prendre le métro à Concorde après avoir traversé le jardin ; c'est à cette occasion que j'avais photographié la corneille sur son banc...
SupprimerLa Seine était encore bien haute et on ne pouvait passer par le tablier bas de la passerelle, inondé...
(Merci pour cette adorable dédicace, Tilia, contente de savoir que tout s'est éclairé pour vous et bises)
Ravie de revoir ton blog plus ailé que jamais !! Je ne peux qu'apprécier cette promenade parisienne !
RépondreSupprimerTrès bonne soirée à toi ! Bises
et moi contente d'avoir trouvé le chemin grâce à Corot et Michel
RépondreSupprimerCoucou Tilia. Nous avons pausé. Nous revoilà. Contente de te retrouver.
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup ta manière de tourner autour du grand homme. Tu as pu saisir ainsi quelque chose qui semble être une protestation :-) On ne peut s'empêcher d'imaginer les volatiles en train de "fertiliser" la tête couronnée de César. Une manière un peu familière d'honorer son génie ou sa gloire.
Les corneilles se sont attroupées autour de la Grande Musicienne,il y a comme un air de famille :-)
Il neigeote, les forsythias éclos semblent un peu paumés.
RépondreSupprimerBonne semaine, Tilia. Bises neigeuses et très amicales :-)