Le petit prince ne parvenait pas à s’expliquer à quoi pouvaient servir, quelque part dans le ciel, sur une planète sans maison ni population, un réverbère et un allumeur de réverbères.
Dans les feux de l'Automne |
À partir de la fin Septembre, la durée du jour diminue à vue d'œil.
Dans les rues les lampadaires s'allument de plus en plus tôt.
À sa manière,
l'Automne est un allumeur de réverbères.
Pensif |
L'automne est une saison propice à la méditation
Ombre lumineuse |
Petit intermède en attendant la suite d'Avignon vue par les peintres.
À bientôt
©VesperTilia, échos-de-mon-grenier 2011
le réverbère pensif ..victime d'un camion..! :)
RépondreSupprimer@ ELFI
RépondreSupprimerPeu de camions passent par là. Par contre, il y a un bus qui emprunte cette rue étroite (et en pente) plusieurs fois par jour... ;-)
L'image que vous avez choisie pour vous représenter montre un certain attachement pour les réverbères...ou pour Magritte?
RépondreSupprimerIci, nous avons de surcroît récemment changé l'heure avec le résultat qu'il fait nuit dès 16h30! Les lumières de Noël viendront bientôt peupler l'obscurité, mais, pour le moment, c'est plutôt lugubre...
Bon dimanche à vous!
@ MARIE-JOSÉE
RépondreSupprimerLes deux ! mais le réverbère gagnant d'une bonne longueur. J'ignore d'où me vient cet amour pour les lanternes et les réverbères. En y réfléchissant, je pense qu'il a pris naissance lors d'un petit séjour à Paris "la ville lumière", quand j'avais quatre ou cinq ans.
Dans nos rues, les décorations de fin d'année sont déjà accrochées aux lampadaires. Dès le 1er décembre elles seront allumées.
Bonne soirée et bon dimanche à vous aussi
Certains sont de vrais ornements de ville...
RépondreSupprimerBon dimanche. Bises x 2
J´aime bien "l´automne est à sa façon, un allumeur de réverbères." Nous t´attendons pour la suite "Avignon".
RépondreSupprimerIl est vrai, c´est une ville avec un passé très riche.
Des colombages, un réverbère, son ombre lumineuse, ta dernière image a tout me plaire. Elle me permettra d'attendre le prochain billet à la lumière d'Avignon.
RépondreSupprimerSujet plaisant ! On se prend à imaginer en trouver d'autres légendés tels le "pensif" : hautain, ombrageux, ténébreux, timide, malade, etc.
RépondreSupprimerÀ suivre donc !
Un billet plein de poésie .. en attendant Avignon!
RépondreSupprimerEst-ce qu'il y aurait de la mélancolie dans l'air?
RépondreSupprimer@ PATRIARCH
RépondreSupprimerTu as peut-être connu une des usines Antoine Durenne à Bar-le-Duc, Sommevoire, Wassy ou au Val d'Osne... La fonderie d'Art perdure de nos jours sous le nom de GHM (Générale Hydraulique et Mécanique) et il y a toujours de belles lanternes dans leur catalogue.
Bon lundi et bises
@ ALBA
Il me semble que des quatre saisons, c'est l'automne qui a le plus inspiré les poètes. La suite d'Avignon est en chantier, mais le travail n'avance guère, je me disperse trop !
@ JEANDLER
As-tu remarqué les cabochons de céramique ? il y en a une rangée tout du long sous l'avancée du toit. Il s'agit d'une de ces maisons regroupées sous l'appellation "pittoresque". En plus de ses colombages, elle est dotée d'un pignon gothique charpentier et de lucarnes assorties. Je la publierai un de ces jours, dans le cadre d'un article sur le style en question.
@ │ˉˉˉˉ│∩│ˉˉˉˉ│ AVIGNON │ˉˉˉˉ│∩│ˉˉˉˉ│
Et si tu faisais une série "Avant-Après" sur les éclairages d'Avignon ? ça devrait être possible, je pense...
Les sept nains en réverbères, par contre, ça risque de ne pas être fastoche pour moi ;-)
@ CLAUDIALUCIA
Encore un peu de patience, mon réverbère est en panne de gaz !
@DÉTAILS
Mélancolie ? non. Mais flemmardise, un peu :D
La lumière au bout du chemin ...
RépondreSupprimerTu me fais penser à mon Papa, Tilia.
RépondreSupprimerIl travaillait en usine sur une machine et cela ne se passait pas comme il voulait. Il en dormait très mal et un soir décida de prendre du belladénalde pour dormir. Seulement il a pris 7 cachet d'un coup. Ce que mamère saura seulement le lendemain.
Dans la nuit il allume sa lampe de chevet et ma mère le trouve assis en train de regarder le mur au pied du lit.
Ma mère : " Qu'est-ce-tu fais ?"
Mon Père : "Je regarde".
Ma mère : "Tu regardes quoi ?"
Mon Père : "La petite patte".
Ma mère, Quelle petite patte ?"
Mon père : La petite patte de l'allumeur"
Ma mère : "Quel allumeur ?"
Et là, mon père lui répond en se fichant à moitié d'elle alors qu'il était complètement dans le potage :
"Pas l'allumeur de réverbères, bien sûr !"
Plein de poésie qui me parle...Les couleurs d'automne, le ciel, une jolie façade et l'ombre du réverbère
RépondreSupprimerqui rappelle en plein jour qu'il sera protecteur à la tombée de la nuit.
Vaincre la peur du noir, de l'ombre, en accrochant son regard aux possibles lumières comme l'éclairage des réverbères et garder l'espoir comme le petit prince.
C'est beau!
Je connais celle de Bar-le-Duc, puisque je suis de Verdun et j'ai travaillé plusieurs fois à Bar-le- Duc en 48-49 Pour une entreprise de bâtiment de Verdun.
RépondreSupprimerMais je n'ai pas visiter...Bises
Quel joli métier que celui d'allumeur de rêves d'Herbert.
RépondreSupprimer@ PAT
RépondreSupprimerQuand j'étais enfant, le seul réverbère digne de ce nom se trouvait à l'entrée de l'impasse où j'habitais. Depuis ma fenêtre, je l'apercevais effectivement brillant au bout de la ruelle
@ CLAUDE
Rétrospectivement inquiétante ton anecdote familiale : le belladénal (mélange de belladone et de phénobarbital) est un barbiturique qui, à pareille dose, aurait pu endormir définitivement quelqu'un de moins résistant que ton Papa !
Ton souvenir me touche et je te remercie de me l'avoir confié. Je trouve "la petite patte de l'allumeur" aussi poétique, car aussi décalée par rapport à la réalité, que l'histoire de l'allumeur de réverbère du Petit Prince.
Mais quand j'y réfléchi, je pense que ce décalage n'est qu'une apparence. En fait, il n'était pas tellement "dans le potage", ton Papa. Après avoir "digéré" ses 7 cachets, il s'était réveillé et repensait encore à son travail. Nul doute que c'est la petite patte de l'allumeur qui posait réellement un problème sur sa machine.
@ CHEMINEZENLAIR
Oui, tu as mille fois raisons. Sauvegardons l'espoir qui brille dans la nuit comme un prémice du retour de la lumière diurne. La poésie du quotidien fait partie de ces petites lueurs qui nous aide à vivre. Merci pour ce gentil message.
@ CHRI
RépondreSupprimerLe seul Herbert de ma connaissance n'était pas un rêveur, mais quel beau métier, tout de même !
Vous avez posté votre message, pile au moment où je cliquais sur "publier commentaire" :-)
Tu as oublié un autre Herbert...
RépondreSupprimer@ AVIGNON
RépondreSupprimerSincèrement, je préfère le message de cet Herbert là :)
Merci de ton com sur ma petite histoire. Il parait que mon Papa avait répondu à Maman, pour la chute, sur un ton très ironique.
RépondreSupprimerLe lendemain, il ne se rappelait plus de rien.
Merci aussi pour tes explications sur l'architecture des belles maisons de Mer-les-Bains. Malheureusement ce n'est plus l'architecture de maintenant.
Bonne journée !
Bonjour Tilia !
RépondreSupprimerPour la "lampe à pétrole", on veut la changer, mettre qq chose de plus moderne et qui éclaire mieux.
La plaque de cuisson a été momentanément enlevée pour éviter de marcher dessus pour enlever la hotte.
Il y avait des allumeurs à Avignon ! 200 environs. Je ne retrouve plus cette carte postale de la place Carnot qui nous montre un de ces personnages la longue perche à la main, à côté de l'horloge qui avait remplacé la "Vénus" de Charpentier exilée au Rocher des Doms. A trouver dans nos archives ?
RépondreSupprimer@ CLAUDE
RépondreSupprimerSi vous changez la suspension, vous changez aussi la tapisserie, je pense ;-)
@ LOU RAVI
RépondreSupprimerOui, je me souviens parfaitement de cette carte postale, mais la recherche dans les Archives municipales ne donne rien... Pas trop le temps de creuser plus avant
A moins que ce ne soit allumeur de vrais berbères...
RépondreSupprimerPardon!
@ CHRI
RépondreSupprimerou allumeur de raies vers Berre !...
Ou de revers de bear...
RépondreSupprimerLes cheveux commencent à être salement étirés.
Bonjour Tilia.
RépondreSupprimerMerci pour le lien qui me transporte au temps om les femmes n'avait point ni de machine à laver, ni à sécher.
Ce sont de bien jolies peintures dont une, qui n'est pas de lui, me fait penser aux oeuvres de Julien Dupré.
Tu sais, la bouilloire et le fourneau, quel beau et si réel poème, me font penser au fourneau de mon arrière Grand-Mère, planté au milieu de la pièce commune.
Je recherche mon billet, comme dit Nathalie, que j'avais fait sur les lavoirs.
Le lavoir de la petite rivière consistait en seulement une planche de bois, point de mur, point de toit.
Le cherche aussi celui, le billet, sur le village de Beaulieu sur Loir, où il y a un beau lavoir restauré.
A plus tard donc et encore merci de m'avoir fait entrer dans ton grenier.
Pour répondre à ta question sur ma suspension de la cuisine et la tapisserie, je pense qu'on ne va pas la changer de suite. Mon Chéri veut faire autres travaux avant.
Je lui ai dit qu'elle te plaisait( pas la tapisserie mais la suspension), il m'a répondu, taka lui donner, Je lui ai répondu que tu habitais à Avignon.
Malgré que plusieurs amis blogueurs ont tenté de m'expliquer comment mettre un lien dans un commentaire, je n'y arrive toujours pas. Je dois être un peu nunuche sur les bords.
RépondreSupprimerLavoirs sarthois
http://du-four-au-jardin-et-mes-dix-doigts.blogspot.com/2010/04/l-comme.html
Lavoir du Berry
http://du-four-au-jardin-et-mes-dix-doigts.blogspot.com/2010/09/berry-5.html
Julien Dupré
http://du-four-au-jardin-et-mes-dix-doigts.blogspot.com/2011/08/httpwww.html
Tiens, puisque j'ai du temps, je m'en va essayer encore une fois.
mot vérificateur : horlog
C'est rigolo !
Claude , tu as fait des progrès depuis, moi, toujours pas !
SupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerJ'ai fais deux essais qui n'ont pas marché. Je me suis creusé la cervelle et j'ai enfin trouvé.
RépondreSupprimerLavoirs Sarthois
Lavoir du Berry
Julien Dupré
Et la lumière fut....
RépondreSupprimerUn billet simplement éclairé et j'aime....
Bon week-end !
@ CLAUDE
RépondreSupprimerMerci pour ton échange de souvenirs fort sympathique. Je suis heureuse de voir que nous avons en commun l'amour des arts, traditions et métiers d'antan.
Bravo pour ta persévérance ! tu as fini par réussir, preuve que l'opiniâtreté n'est pas forcément un défaut ;-)
Merci aussi pour les liens vers les lavoirs de Sarthe. Ils ne sont pas encore répertoriés dans Les Lavoirs de France ni dans Passion des Lavoirs.
Julien Dupré, je me souviens de ton billet, j'y ai même laissé un commentaire (ou plutôt 2 : j'avais cliqué 2 fois !).
Bises et bon dimanche, Claude, à bientôt
@ ENITRAM
RépondreSupprimerMerci, je suis fascinée par les lumières nocturnes !
Bel et bon dimanche chez toi
Bisous
votre citation du petit prince et vos photos romantiques de réverbères sont tellement poétiques....inspirantes même..
RépondreSupprimerPuis-je,à mon tour, vous présenter
un extraordinaire allumeur de rêve du Québec, Canada
par la scène, poète-conteur...
véritable réberbère sur deux pattes en plein jour:)))
ENTRE MONTREAL ET PARIS
SIMON GAUTHIER
LE VAGABOND CELESTE
courriel de Simon Gauthier
du 3 avril 2013
le lendemain de son spectacle
LE VAGABOND CELESTE
à la maison de la culture
cote des neiges, montreal
Salut Pierrot,
Tu dormais mon cher,
sur ta paillasse
hier au soir
tu dormais sur la plancher
de ton ami chansonnier
tu dors dans les draps de ton doctorat
pendant que je conte
l’histoire de cet homme vagabond
de cet écho de ta vie
de cet inspirant récit
d’un homme voyageur
vêtu de lumière
Pendant que le vagabond céleste marche
parmi les étoiles
tu peux dormir mon ami
tu peux dormir
dans l’esprit des gens
réunis,
tinte tinte les clefs
tinte
tinte
le rêve
Le vagabond céleste
habille de chaleur
le corps désir de ceux qui rêvent et de ceux qui pleurent
ceux qui rêvent et de ceux qui pleurent
Bonne journée Pierrot
Simon
——
réponse de Pierrot
Cher Simon
Oui, hier soir, je dormais avec, dans mes bras, la biographie de Cervantes
de Jean Canavaggio. Ce Cervantes qui a écrit Don Quichotte à 53 ans alors qu’il était en prison et qu’il lui manquait un bras.Qui aujourd’hui ferait confiance à un homme de 53 ans en prison à qui il manque un bras?:))))) Seul un impossible rêve permet un tel surgissement d’impossible réalité.
On m’a rapporté l’immense délicatesse artistique avec laquelle tu redonnes
espoir à ceux et celles qui écoutent le conteur-poète de la Côte nord.Autant Mon ami Woodart que mon compère de bibliothèque Raymond le philosophe ont été invités par ta passion de passeur de rêves à naviguer vers leur rêve personnel. Tu as fait de ma démarche un conte post-moderne qui risque d’enflammer les humains comme des lampadaires. Tu es vraiment devenu un allumeur de coeurs-réverbères. Woodart a été plus qu’épaté. Lui qui me connait à l’usure depuis 40 ans, il a noté ta force à coudre des tableaux de mots par de la lumière de rêve dans laquelle il a reconnu ta signature d’une très grande maturité créatrice.
Une vie d’artiste, c’est une longue marche
et je te vois enjamber des continents
un flambeau à la main.
Mes 64 ans bien au calme
dans leurs bottines
qui se préparent à repartir le 15 juin
saouls de liberté, te souhaitent
Bonne route internationale camarade, car,
comme Félix Leclerc, un jour, le succès t’attendra
ici au Québec à un de tes retours d’Europe.
Pierrot
www.enracontantpierrot.blogspot.com
www.reveursequitables.com
www.simongauthier.com
sur youtube
simon gauthier conteur video vagabond celeste
longue vie à vous
et à votre blogue :)))
Pierrot
Merci, Pierrot, pour votre appréciation positive de ce modeste grenier, où je suis heureuse de vous accueillir.
SupprimerJe viens de voir la vidéo de Simon.
Votre histoire fait effectivement rêver. J'admire le courage de celui qui décide du jour au lendemain de tout quitter pour chausser ses bottes et se mettre en chemin pour aller à la rencontre des rêves des autres tout en poursuivant le sien.
Que la providence vous accompagne tout au long de vos périples et vous garde de tout danger.
Longue vie à vous et à vos rêves
Cordialement
Tilia
Ps : le Don Quichotte de Cervantès fait partie de mes livres préférés
p.s.
RépondreSupprimerpeut-être aurez-vous l'occasion
d'assister à sa prestation
PARIS
SIMON GAUTHIER
CONTEUR INTERNATIONAL DU QUEBEC
SPECTACLE "LE VAGABOND CELESTE"
25 MAI 2013,
21 H À 22H 30
LE PETIT NEY
10 AVENUE PORTE-MONTMARTRE
PARIS
-------
puis-je aussi me permettre de vous partager
son courriel du 1ER MARS 2013
--------
Allo Pierrot, je suis en France.
Je rentre demain au Québec.
Il fait froid et humide partout, même dans les lieux publics. Il fait gris et un brin de soleil redonnerait du tonus à tout le monde!
Je voulais te dire que j'ai raconté (ou plutôt) le vagabond céleste est passé et a été entendu
à Quévin (près de LOrient en Bretagne)
Il a été entendu à la prison de Béthune (Nord de la France) et pas un prisonnier ne s'est levé durant le spectacle (comme il est de coutume) les
gardiens mon dit que c'est la première fois qu'ils voyaient ca!)
et le Vagabond à passé à Lille avec son et éclairage, 3 rappels!
Les gens sont restés longtemps
et plusieurs larmes d'espoir brillaient dans le noir.
Plusieurs messages me sont parvenus pour te dire merci!
Merci!
Merci!
++++
Autrement la tournée me rentre dans le corps. Un bon brin de fatigue et de
grippe à la gorge.
De bonnes tisanes et des amis pour guérir
+
+++
J'espère que tu vas bien et que ton travail de vulgarisateur âme, société,
gens et pays oeuvre d'art
va bien!
On se voit sous-peu
en mars, si la vie le veut!
pour aller plus loin!
Bonne journée
Simon :+)
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REPONSE DE PIERROT
A SIMON GAUTHIER
CONTEUR INTERNATIONAL DU QUEBEC
Cher Simon
Je te prédis un succès international
parce que tu es un poète-passeur:)))
Bravo Simon
longue vie à ta vie d'artiste
et de conteur international
Bonjour Tilia, de nos jours plus modernes mais comme les anciens bien utiles pour y voir de nuit... Merci, bises de jll
RépondreSupprimerMerci!
RépondreSupprimerBelles photos aux légendes pleine de charme et de fantaisie.
Je ne connaissais pas, ton "grenier," en ce temps là.
Le réverbère, c'est ton logo, ton avatar, ton dada, ton grigi, ton doudou, ton chouchou...
Et pourtant, il ne semble pas figurer dans les libellés.
En as-tu fait d'autres photos ?
Il y a eu une époque où je "collectionnais" girouettes et boîtes aux lettres, les lanternes et les réverbères sont sans doute plus rares: à VOIR !
Tu as bien raison, MissY, de me faire remarquer l'absence de libellé "Réverbères". J'y ai pensé hier en recherchant cet ancien billet. Je vais donc de ce pas ajouter à la liste "Réverbères et Lanternes" (pour moi les deux sont indissociables) et j'en publierai certainement d'autres à l'occasion.
SupprimerIdée à suivre-dans tous les sens du terme!
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