Hommage à Maurice-Louis Branger (crédit) |
Petit intermède avant la suite de la biographie d'August Macke
Photo de Maurice-Louis Branger - Calendrier 2014 |
Claude, une aminaute parisienne de naissance à laquelle je dédie ce billet, a récemment publié la photo ci-dessus. Quand je l'ai vue, cette photo m'a également interpellée.
Claude vous le dira elle-même, mais je suppose que la première raison qui a motivé son coup de cœur vient du fait qu'il s'agit d'une vue ancienne de Paris, plus proche de ses souvenirs d'enfance que les photos du Paris contemporain. Les vêtements à la mode des années 1920 y sont peut-être aussi pour quelque chose.
Pour ma part, j'ai au moins une photo de ma mère (ou de sa sœur, il faudrait que je vérifie) habillée et coiffée de la sorte. Oui, même si la chose vous parait bizarre, ma mère avait vingt-cinq ans en 1925.
Et, comme Claude (même si je n'ai jamais habité à Paris) j'aime cette ville. J'ai découvert Paris très jeune (j'avais quatre ans) lors d'un voyage en compagnie de mes parents qui étaient "montés" à la capitale en 1955 pour aller voir ma sœur qui y poursuivait ses études supérieures. Et une autre fois aussi, à peu près à la même époque, pour aller voir mon parrain.
Pour en revenir au café de la photo publiée dernièrement par Claude, deux jours après sa publication Claude ajoute un petit mot à la suite de son Arbre à noix « Rien à voir avec mes noix de coco, mais je crois avoir trouvé où a été prise la photo de mon post "au bistro", il se pourrait que ce soit au Café de Flore à Paris. Elle aurait été prise vers 1925 par Maurice-Louis Branger (1874-1950). »
Curieuse comme je suis, j'avais déjà déniché les deux photos de Maurice-Louis Branger (ci-dessus et ci-dessous).
Claude avait raison, il s'agit bien d'une photographie de Maurice-Louis Branger (notice biographique ici).
Comme Claude, je m'étais demandée où peut bien se situer le café en question. Or, après de nombreuses investigations, je n'avais rien trouvé de précis. Si ce n'est que le café de la photo du calendrier de Claude n'était pas un café de grand renom. Et que ce n'est pas celui de Flore, ni tout autre café rendu célèbre par sa clientèle littéraire.
Et puis, coup de chance (ou fruit de ma persévérance) je trouve deux autres photos des deux élégantes du café mis en boîte par ML Branger
Vous avez peut-être remarqué que sur les photos au jardin des Tuileries nos deux élégantes de 1925 portent exactement les mêmes vêtements que pour leurs photos au mystérieux café "H.RENAUD".
Une déduction s'impose alors : les photos du café et celles du jardin ont été prise le même jour et sans doute dans la même demi-journée. Il est donc permis d'imaginer que le café en question ne devait pas se trouver bien loin des Tuileries. D'autant plus que l'agence du photographe était située tout près du jardin, au n°5 de la rue Cambon, autrement dit à 500 mètres du bassin des Tuileries. J'imagine que ML Branger aura invité les deux jeunes femmes à la terrasse d'un café du quartier où il avait son agence et ses habitudes.
Parmi les photos de cette époque disponibles sur la toile, pour l'instant je n'ai trouvé qu'un seul café dans le périmètre de l'agence Branger.
Le numéro de téléphone indiqué sur la vitrine de la photo de Branger est 25. Sur celle de René-Jacques (ci-dessus) c'est 28-21. Je ne sais pas si les numéros de téléphone des années 20 fonctionnaient comme de nos jours : les numéros situés dans un même périmètre géographique formant des séries. Dans ce cas, il est possible que le mystérieux café de nos deux parisiennes ait été situé rue de la Verrerie, pourquoi pas ici ?..
Pour finir, j'ai découvert deux tableaux d'un peintre russe contemporain dont le grand-père était photographe correspondant de guerre, ce qui expliquerait que son petit-fils ait eu connaissance des photos de Maurice-Louis Branger...
En dehors de ses "peintures rétro", je n'aime pas du tout ce que peint cet artiste russe !
Au fait, si par hasard quelqu'un(e) avait des informations permettant d'identifier le mystérieux café photographié par Maurice-Louis Branger aux alentours de 1925, je l'invite vivement à les communiquer dans les "échos" au bas de ce billet afin que je puisse les ajouter ici.
Claude vous le dira elle-même, mais je suppose que la première raison qui a motivé son coup de cœur vient du fait qu'il s'agit d'une vue ancienne de Paris, plus proche de ses souvenirs d'enfance que les photos du Paris contemporain. Les vêtements à la mode des années 1920 y sont peut-être aussi pour quelque chose.
Pour ma part, j'ai au moins une photo de ma mère (ou de sa sœur, il faudrait que je vérifie) habillée et coiffée de la sorte. Oui, même si la chose vous parait bizarre, ma mère avait vingt-cinq ans en 1925.
Et, comme Claude (même si je n'ai jamais habité à Paris) j'aime cette ville. J'ai découvert Paris très jeune (j'avais quatre ans) lors d'un voyage en compagnie de mes parents qui étaient "montés" à la capitale en 1955 pour aller voir ma sœur qui y poursuivait ses études supérieures. Et une autre fois aussi, à peu près à la même époque, pour aller voir mon parrain.
Parisiennes à la terrasse d'un café vers 1925 photographie de Maurice-Louis Branger (crédit photo) |
Pour en revenir au café de la photo publiée dernièrement par Claude, deux jours après sa publication Claude ajoute un petit mot à la suite de son Arbre à noix « Rien à voir avec mes noix de coco, mais je crois avoir trouvé où a été prise la photo de mon post "au bistro", il se pourrait que ce soit au Café de Flore à Paris. Elle aurait été prise vers 1925 par Maurice-Louis Branger (1874-1950). »
Curieuse comme je suis, j'avais déjà déniché les deux photos de Maurice-Louis Branger (ci-dessus et ci-dessous).
Jeunes femmes à la terrasse d'un café. Paris, vers 1925 photographie de Maurice-Louis Branger (crédit photo) |
Claude avait raison, il s'agit bien d'une photographie de Maurice-Louis Branger (notice biographique ici).
Comme Claude, je m'étais demandée où peut bien se situer le café en question. Or, après de nombreuses investigations, je n'avais rien trouvé de précis. Si ce n'est que le café de la photo du calendrier de Claude n'était pas un café de grand renom. Et que ce n'est pas celui de Flore, ni tout autre café rendu célèbre par sa clientèle littéraire.
Et puis, coup de chance (ou fruit de ma persévérance) je trouve deux autres photos des deux élégantes du café mis en boîte par ML Branger
Paris. Bassin des Tuileries. Vers 1925 photographie de Maurice-Louis Branger (crédit photo) |
Jeunes femmes au bassin du jardin des Tuileries. Paris (Ier arr.), vers 1925 photographie de Maurice-Louis Branger (crédit photo) |
Vous avez peut-être remarqué que sur les photos au jardin des Tuileries nos deux élégantes de 1925 portent exactement les mêmes vêtements que pour leurs photos au mystérieux café "H.RENAUD".
Une déduction s'impose alors : les photos du café et celles du jardin ont été prise le même jour et sans doute dans la même demi-journée. Il est donc permis d'imaginer que le café en question ne devait pas se trouver bien loin des Tuileries. D'autant plus que l'agence du photographe était située tout près du jardin, au n°5 de la rue Cambon, autrement dit à 500 mètres du bassin des Tuileries. J'imagine que ML Branger aura invité les deux jeunes femmes à la terrasse d'un café du quartier où il avait son agence et ses habitudes.
Parmi les photos de cette époque disponibles sur la toile, pour l'instant je n'ai trouvé qu'un seul café dans le périmètre de l'agence Branger.
Rue de la Verrerie, Paris 1932 photographie de René Giton ( ) dit René-Jacques (crédit photo) |
Le numéro de téléphone indiqué sur la vitrine de la photo de Branger est 25. Sur celle de René-Jacques (ci-dessus) c'est 28-21. Je ne sais pas si les numéros de téléphone des années 20 fonctionnaient comme de nos jours : les numéros situés dans un même périmètre géographique formant des séries. Dans ce cas, il est possible que le mystérieux café de nos deux parisiennes ait été situé rue de la Verrerie, pourquoi pas ici ?..
Pour finir, j'ai découvert deux tableaux d'un peintre russe contemporain dont le grand-père était photographe correspondant de guerre, ce qui expliquerait que son petit-fils ait eu connaissance des photos de Maurice-Louis Branger...
Café matinal 1 Денис Евтихиев (Denis Evtikhiev) - E. Denis 2008 |
Café matinal 2 Денис Евтихиев (Denis Evtikhiev) - E. Denis 2008 |
En dehors de ses "peintures rétro", je n'aime pas du tout ce que peint cet artiste russe !
Au fait, si par hasard quelqu'un(e) avait des informations permettant d'identifier le mystérieux café photographié par Maurice-Louis Branger aux alentours de 1925, je l'invite vivement à les communiquer dans les "échos" au bas de ce billet afin que je puisse les ajouter ici.
©VesperTilia, échos-de-mon-grenier 2015
Adorable billet sur la mode et le jeu de jambes des belles élégantes , je pensais aussi au Flore ou au Deux Magots ( à cause des chaises ) et du Bld St Germain ,
RépondreSupprimerMais ne sais pas, trop tout a tant changé
Merci j'aime beaucoup et dois avoir aussi quelques images semblables de ma mère et de son amie,du même style aux Tuileries
Autre élégant jeu de jambes :-)
SupprimerBon dimanche, Arlette
tu es la meilleure détective que je connais!!!
RépondreSupprimerMerciiiiiiiiiiiii ! Elfi
Supprimer⌢✿♥✿⌢
Moi aussi hier j'ai passé du temps à chercher où avait été prise cette fameuse photo et ce matin en cherchant encore j'ai vu que tu avais posté sur ce sujet.
RépondreSupprimerElfi a raison, tu es un Sherlock Homes en jupon.
On pouvait penser que la Photo étant relativement célèbre, le café l'était aussi.
Tu a sans doute raison, il s'agirait bien du Renard, ancien café H.RENAUD.
Belles illustrations, Tilia pour compléter cet énigme qui n'en est plus une.
Merci de parler de la passion que j'ai pour ma ville de naissance, de cette ville que j'aime tant et qui me manque. Il faudra qu'on aille un café à la terrasse du Renard.
Concernant les chapeaux "cloche", suite aux coms de belle maman et celui de Miss Yves j'ai dit à cette dernière qu'il fallait mieux avoir une belle tête sous un chapeau cloche qu'une tête de cloche sous un beau chapeau.
En 1955, je créchait au 129 avenue Parrmentier dans le 12è, j'avais 7ans.
Merci Tilia pour ce beau billet.
Je file, mon boss vient d'appeler il faut que je tape ce matin, alors que je devais le faire que ce tantôt, le devis qu'il m'a apporté hier soir. Faut dire qu'en ce moment c'est une affaire qui roule !
Ma poule !
Bises
"Sherlock Homes en jupon" ;-)
SupprimerComme je l'explique à "Bichel" un peu plus bas, je ne crois plus guerre qu'il s'agisse réellement du "Renard". En y réfléchissant davantage, j'ai réalisé qu'en plus de la configuration des lieux qui ne colle pas, il est trop éloigné des Tuileries.
Quitte à s'installer à la terrasse d'un café quelconque, je pense que le trio, photographe + les deux (top) modèles, en auront trouvé un plus près des Tuileries et de l'agence Branger...
D'autre chapeaux cloche dans le lien donné en réponse à Arlettart (premier commentaire).
Encore merci pour tes souvenirs parisiens, je ne m'en lasse pas.
Bises du soir
Me revoilà !
RépondreSupprimerCela me rappelle les moment passés, quand j'ai quitté ma Sarthe adoptive pour aller travailler à la Capitale en 67/68, au café du Dôme avec ma cousine Nanou ou à la Coupole avec mon ami Maurice et son amie Odette.
En face il y avait la Rotonde et de l'autre côté du bld Raspail un autre café qui est maintenant à bar à huître. C'est dans celui-ci qu'un soir j'y ai vu Marcel Cerdan avec sacré coquard vu qu'il venait de faire un match. J'habitais au 9de ma rue, ma cousine au 17. C'était le bon temps de ma vie à Montparnasse.
Toi aussi tu as fait 36 métiers ? On aura des choses à se raconter quand on se rencontrera ;-))
SupprimerJ'ai peut-être mal tourné ma première phrase, on pourrait croire que je travaillais au Dôme. J'aimais y manger une tranche de gruyère moutardée et poivrée avec mousse fraîche. J'étais sténo dactylo dans une Société de Crédit qui prêtait des tunes à, entre autres, à que Johnny et Jacques Anquetil. Les bureaux de cette Sté était dans un ancien hôtel particulier dans le coin d'une cour au n° 5 d'une rue qui est devenue célèbre à cause des frasques de notre président.
Supprimerma Ville
RépondreSupprimerma Rue
J'y retourne !
SupprimerJ'adore !
RépondreSupprimerBar-tabac Le Renard 6 rue Renard.
Le Renaud devenu Renard ! (Suivez mon regard !)
Bar-tabac célèbre d'ailleurs.
Décidément, une histoire de femmes ce bar-tabac !
:D)
Le lien de situation que tu donnes ici, c'est le même que celui que j'ai indiqué dans le corps du billet (que tu as dû survoler ;-))
Supprimer"Le Renaud devenu Renard"... Oui, c'est bien tentant, mais je n'en suis pas du tout persuadée : le pan coupé de l'immeuble ne correspond pas à la seconde photo de Branger (celle sur laquelle le client en arrière-plan est parti).
Tu aurais dû être détective...
RépondreSupprimerEn attendant, ou pour compenser ,tu devrais écrire des romans !
"nos deux élégantes de 1925 portent exactement les mêmes vêtements que pour leurs photos au mystérieux café "H.RENAUD".
"Une déduction s'impose alors : les photos du café et celles du jardin ont été prise le même jour et sans doute dans la même demi-journée."
Autre déduction:les élégantes sont certainement des modèles, et non de jolies inconnues photographiées par hasard
Cela semble évident quand on voit la pose biscornue_ qui se veut naturelle _de celle qui met le pied sur le bassin !
Détective ? c'est justement ce que je rêvais de devenir quand j'étais gamine, après avoir lu les premiers romans de la série des aventure d'Alice Roy :-))
SupprimerQuant à écrire des romans, ce n'est pas vraiment dans mes cordes. Quoique... comme je te l'ai promis l'an passé, dès que j'en aurai terminé avec August Macke, je vais entamer la biographie romancée de Mme X. Et là, ce sera un tout autre travail ! Le fruit d'une très looooongue et patiente collecte d'informations de toutes sortes, recoupées et mises en corrélation.
Modèles, les deux nanas de 1925 ? Oui, sans aucun doute.
Ce qui explique la pose tarabiscotée de celle qui pose le pied sur le bord du bassin. Il s'agit de bien faire voir le dessin du bas de sa robe !
Dommage que le format des photos ne soit plus grand, j'aurais pu déchiffrer le titre de la revue qu'elle était en train de lire avant d'apercevoir... quoi donc, de si fantastique à la surface du bassin ? :-)
Un peu plus loin, un petit voilier comme en faisaient voguer les garçonnets dans ce merveilleux jardin!
SupprimerSi elle était plus penchée, on pourrait penser qu''elle admire son propre reflet, comme Narcisse
moi aussi je pense que se sont des mannequins
RépondreSupprimerreprésentant des modéles de haute couture pour une revue
tout ce que je peux dire c'est qu'elles consomment
un " rouge limé " après leurs cafés
derrière elles il y a une bouteille de rouge et un siphon
j'ai des photos de ma mère également sur un champs de course
mèmes vêtements
bonne journée
edith (iris)
Merci Iris, pour le rouge limé. Ainsi je viens d'apprendre qu'il s'agit d'un mélange de deux tiers de vin rouge auxquels on ajoute un tiers de limonade.
SupprimerEn fait, c'est E. Denis, l'artiste russe qui s'est spécialisé dans la représentation des bouteilles de vin, qui a rajouté une bouteille de rouge sur la table du café dans son tableau.
Sur la photo de Maurice-Louis Branger, il n'y a pas de bouteille de vin, seulement celle d'eau de Seltz.
La bouteille de vin sur une table de café, c'est pur fantaisie de la part de ce peintre !
En réalité, un serveur de bistrot n'apporte jamais la bouteille de vin auprès du client. Il apporte le verre déjà rempli, posé sur son plateau avec les autres consommations.
Belle fin de journée, Iris, merci d'être venue au grenier
Voilà à quoi me fait penser ton enquête:
RépondreSupprimerhttp://www.laprocure.com/biographies/Izner-Claude/0-140136.html
Une belle collection de tableaux, les couvertures de ces romans ! Merci pour le lien.
SupprimerDeux titres m'ont intriguée :
"Minuit, impasse du cadran" dont le scénario m'a aussitôt fait penser à L'Étoile Mystérieuse.
Et "Rendez-vous passage d'Enfer" dont j'ai parlé à Claude, un peu plus bas.
Le lien vers l'Étoile Mystérieuse est mort.
SupprimerEn voici un d'actualité
et ça fait froid dans le dos !...
Tu es franchement incroyable!
RépondreSupprimerTu mets la marche bien haute pour nous, heureusement vous avez deja tout demystifie...
Bravo encore, comme c'est amusant!
:-))
SupprimerJe suis allée sur le lien de Miss Yves qui me fait découvrir l'écrivain Claude Izner. Il a écrit un livre qui s'appelle "rendez-vous passage d'Enfer" ; ça a fait tilt de suite car dans ma rue de Paris il y a un
RépondreSupprimerpassage d'Enfer
Il ressort boulevard Raspail.
Quelle coïncidence ! j'ai justement "tilté" sur ce roman, mais pour une autre raison : je pensais qu'il avait à voir avec le cabaret de l'Enfer.
SupprimerTon passage de l'Enfer n'a rien d'effrayant, c'est juste comme pour le Paradis, il faut les clés pour y entrer ;-))
Quel merveilleux billet encore ! Tout le monde te reconnait avec raison, les qualités d'un grand détective, enfin d'une grande détective ! Tu as la patience et la persévérance que requiert des travaux de recherche.
RépondreSupprimerCes photos, ces peintures me touchent, tout simplement parce que comme toi, j'ai des photos de ma mère avec des vêtements de cette époque. Elle n'était pas parisienne mais issue de la Lorraine profonde, ce qui n'empêchait pas la coquetterie. :-)
Merci Fifi. C'est vrai que la patience et la persévérance font partie du versant capricornien de mon caractère. Mais c'est surtout mon insatiable curiosité, comparable à celle de l'enfant d'éléphant, qui me pousse ;-)
SupprimerMa mère n'était pas parisienne non plus ! son berceau d'origine c'est Liverdun. Et comme tu dis, ça n'empêchait pas la coquetterie.
Ha ! Ha ! Capricorne aussi :-)
SupprimerC'est un club ..super
SupprimerJe remarque que le peintre russe a peint les deux versions de la photo que j'avais remarquées dans mes recherches.
RépondreSupprimerJe remarque que sa peinture vue de face ne correspond pas tout à fait à la photo, le fond n'est pas le même et il y a une bouteille de vin rouge sur la table sur laquelle est accoudée une des Dames. Il manque un verre de vin sur la table.
Le tableau vu de côté est relativement semblable, sauf qu'il y a deux verres de vin sur la table et toujours la bouteille. Sans doute n'a-t-il pas osé peindre une bouteille de vodka.
Je remarque que les vêtements ne sont pas de la même couleur.
J'avoue que les peintures ne sont pas mal mais je préfère quand même les originaux.
Bises de fin d'aprèm'
Par contre le premier tableau ressemble bien à la photo prise de face.
SupprimerJe me régale avec ce billet, Tilia. Merci !
Au sujet de la bouteille de vin de E. Denis, j'ai donné mon avis dans ma réponse à Iris (un peu plus haut). Ce peintre s'est spécialisé, entre autres, dans la représentation hyper réaliste des bouteilles de vin Ô_ô
SupprimerMoi aussi je préfère les photos !
✽ ✽ ✽
RépondreSupprimerC'est très beau et très émouvant ! J'aime ce retour dans le passé !
MERCI chère Tilia pour ce magnifique partage !
GROS BISOUS D'ASIE et bon dimanche !!!!! ܓܓ✿ܓ✿ܓ✿ܓ
Merci pour le fleurs et bienvenue au grenier, Nancy d'Asie
SupprimerUn très joli prénom, Nancy, aussi beau que la ville de l'Art Nouveau est belle !
Wooooo la super enquête ! Tu aurais travaillé dans la police, tu aurais été un fin limier Tilia !
RépondreSupprimerTon idée du 69 rue de la Verrerie est tout de même bien vue, sur le coup j'y ai cru comme toi, mais la rue est un peu plus large et et l'angle diffère un peu par rapport à la photo, bien que le café en question soit en angle de rue.
Et si il s'agissait de l'actuel Welcome Café ? Le photographe a peut-être "évité" la colonne (il est sous les arcades de la rue de Rivoli, à l'angle de la rue du 29 juillet, juste en face des Tuileries) Qu'en penses tu ?
J'ai lu le comm de Claude, et je suis allée sur son blog, Ah la rue Parmentier...les grands parents de mon mari y habitaient. En plus, elle n'était pas loin de mon école de dessin. (je descendais souvent à Goncourt le matin lol mais le soir je reprenais mon métro à République) et sa rue actuelle est très jolie.
Je vais suivre la suite de ton enquête, si tu trouves "LE" fameux café ! lol Mais je n'en doute pas, c'est élémentaire chez toi, chère Scherlock ! lol
Gros bisous Tilia et bon dimanche
Suite à ce que je t'ai dit pas courrier, je suis de nouveau en pleine incertitude.
SupprimerDu point de vue de la pure logique, un café proche des Tuileries, tel La Rotonde des Tuileries, est une bonne hypothèse.
J'imagine que la photo de Branger aurait pu être prise sur la partie centrale de la terrasse, au pied du pan coupé de l'immeuble.
Évidemment, les vitrines n'ont plus la même apparence. C'est le cas de la plupart des cafés de cette époque-là, tous (ou presque) se sont "modernisés". Mais la porte d'entrée à gauche des deux rangées de trois guéridon, l'une devant l'autre, correspond. Pareil pour l'angle de la façade.
L'hypothèse Montparnasse me plait moins, cependant j'en parlerai dans le prochain billet.
Bisous, Nathanaëlle, bonne nuit et belle semaine
ça se précise on dirait.
SupprimerJe suis plus encline à) penser qu'il s'agit de La Rotondes des Tuileries que le Café Renard. Por que ?
la marche pour entrer dans le café est là et on voit le bord du comptoir comme sur la photo de face de Branger.
Affaire à suivre !
Bises frisquettes et brumeuses.
Bonjour Nathanaëlle
SupprimerJe l'ai pris plus d'une fois le métro à Goncourt.
Hier avec google map, j'ai même revu mon école et c'est là que nous allions, ma soeur et moi, au cours de danse rythmique et le dimanche après la messe à l'Eglise Saint-Joseph, nous allions au cours de piano.
Oui, c'était vraiment l'hypothèse la + plausible. Malheureusement La Rotonde des Tuileries n'existait pas encore à cette époque là, j'ai déniché une photo et des infos qui le prouve :-((
SupprimerPS : je viens de regarder l'adresse complète : le Welcome café est au 210 rue de Rivoli
RépondreSupprimerElle est Géniale la poire qui se fend la poire !
RépondreSupprimerGros schmoutzy de merci, Tilia ! !!!
Ravie que mon bricolage te plaise :-)
SupprimerBisous et belle semaine, Fifi
Ce billiet devrait être renommer:le Grenier de Herlock Holmes ou le Grenier de Leuitenant Columbo.Tillia je suis certaine que tu possède un ou deux magnifying glass dans ton tiroir.Tillia tu a une façon de remuer le grenier de ma mémoire.Je me souviens du Grenier de notre voisine etant gamine d,avoir feuilleter des revues de mode (années 20 ?) les pages étaient grandes.
RépondreSupprimerNotre voisine était une élégante.Elle se faisait faire des chapeaux chez la Modiste.Et oui même en Bretagne dans une petite ville il y avait un tel métier.
Ce métier est parti en Angleterre.
Le fashion show annuel est la course de cheveux a Ascot.Le chapeau est presque obligatoire.Il est possible de louer des chapeaux pour cet occation.
Merci pour ce bel écho et bienvenue au grenier chère Anonyme :-)
SupprimerTes souvenirs aussi sont les bienvenus, car ils ravivent les miens.
À propos de chapeaux et de courses de chevaux, le photographe des dames du café (dont je vais révéler l'identité dans le prochain billet) Maurice-Louis Branger, donc, a fait beaucoup de photos de mode sur, et autour, des hippodromes de Longchamp et d'Auteuil. Tu en verras plusieurs dans cette page et dans les suivantes. La plupart de ces dames étaient loin de répondre aux critères actuels de la taille mannequin :-))
Même si j'aime bien certains modèles des Années folles, finalement j'ai une préférence pour la mode d'avant-guerre !
tes parisiennes ont beaucoup de classe
RépondreSupprimerCelles de Branger, tu veux dire ;-)
SupprimerJe vais en reparler dans le prochain billet et ça va être une sacrée surprise pour pas mal de gens, je pense !...
Et que boivent-elles ? Parfois deux tasses, parfois un tasse et un verre (rouge), parfois deux verres rouges avec un siphon et même une bouteille qui apparait sur les tableaux du peintre russe.
RépondreSupprimerPour les consommations de ces deux élégantes, voir l'écho posté par Iris (icône rose) et ma réponse un peu plus haut dans les commentaires. Le peintre russe n'a pas fait de "copies conformes" il s'est inspiré des photos pour faire des tableaux à "sa sauce".. au vin rouge :-))
SupprimerIl est vrai qu'en peinture, vouloir être conforme à une photo est "casse-gueule". Il appartient au peintre d'équilibrer l'image selon son ressenti ou désir d'encanailler les belles. :-)
SupprimerElles ont gagnées en douceur et vitalité les jolies parisiennes sur les tableaux du peintre russe ; l'éternelle opposition du n&b et de la couleur.
Et pourquoi pas e Dôme et pourquoi pas le bassin du jardin du Luxembourg ?
RépondreSupprimerBises
Parce que le bassin des Tuileries est précisé sur le site d'origine des deux photos. En cliquant sur "crédit photo" (dans les légendes de mes images) tu arrives sur "Parisienne de Photographie".
SupprimerBisous (bien grisounets une fois de + !)
Pas facile pour les recherches tu tapes cafés de paris en 1925 et tu retrouves partout la photo de Branger.
RépondreSupprimerHier je suis allée faire un tour à Paris et j'ai fait des photos de tous les cafés autour de Vavin, ce qui n'apporte aucun élément concordant avec les photos de Branger.
SupprimerEn outre, l'hypothèse du Select de Montparnasse ne tient pas la route, j'ai lu que la photo date de 1922 mais selon Wikipédia, le Select n'a ouvert qu'en 1923.
Du coup, tout en rédigeant la suite de ce billet, j'examine attentivement des photos de cafés parisien de cette époque, ceux qui présentent des similitudes avec le H.Renaud, notamment le décor d’arabesques peint (ou gravé) au bas des vitrines...
Pas sûr qu'on arrive un jour à trouver le bon, car il se pourrait qu'il ait disparu, tout comme Le "Select", bar américain. 100, avenue des Champs-Elysées aujourd'hui remplacé par un magasin Marks & Spencer. De toutes façons, celui-là je l'ai exclu en raison l'allure des façades du côté droit de la rue qui ne cadre pas avec celles que l'on voit sur la photo de Branger (là où passent des"tacots").
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
SupprimerJe viens de me relire et j'ai vu une grosse fote
SupprimerCe matin j'ai passé du temps à chercher. Ce ne peut pas être le Select de Montparnasse la rue sur le côté est plus petite que le bld qu'on voit sur la photo de Branger.
Tu as raison il se peut que le bistrot en question ait disparu ou qu'il ait tellement changé qu'on ne puisse le reconnaître.
Je continue mes recherches.
Bises
Je crois que je vais faire un break parce que cela me prend le chou. Y a tant de bistrots brasserie qui font l'angle de deux rues dans la ville....
Purée ! Je viens d'en faire une autre !
SupprimerHihi ! tu me fais rire avec tes fotes :D
Supprimerje ne l'avais même pas remarquée.
Moi aussi j'ai stoppé les recherches, sinon je n'aurai jamais le temps de préparer le second billet. Mais je n'ai pas dit mon dernier mot. Dans les banques d'images, telle la "Parisienne de Photographie", il y a encore beaucoup de vieilles photos à visionner en les examinant attentivement, pour voir si des fois il n'y aurait pas un élément concordant avec ce sacré café !
Bises et belle journée, Claude
(ici à l'heure qu'il est, on est encore dans le brouillard !)
J'ai encore cherché un peu hier tantôt puis j'ai laissé tomber.
SupprimerDe toute façon ce ne peut pas être le Dôme, le trottoir à droite n'est pas assez large
Je ne sais si c'est mon imagination qui divague mais on dirait que les deux "Nanas" se ressemblent.
Je crois que je vais attendre ton prochain post.
Bises d'hiver.
Tes "graines d'or mises à sécher" vont illuminer ma journée !
RépondreSupprimerMerci chère poète !
Ce sont celles de Robert Louis Stevenson qui m'ont inspirée :-))
SupprimerMerci à toi pour tes magnifiques photos
J'ai connu en son temps, les Bd Saint-Germain, la rue de Rennes, et passée devant le Flore ou les Deux Magots, me payant une fois le luxe de m'y installer pour boire un café ! Mais de là à reconnaître les lieux... ! Je ne suis pas aussi fine limière que toi !
RépondreSupprimerAllez, on va se reprendre un p'tit caf' !
Biseeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeeeeeeeeee
Merci pour le café, Christineeeee, c'est avec plaisir que je le bois en ta compagnie, en espérant qu'un de ces quatre ce sera "pour de vrai" ! Bien que dans la réalité virtuelle, le café n'a pas l'inconvénient de me faire coucher à pas d'heure :-))
SupprimerPas eu encore l'occasion de me payer le luxe de tester les "grands cafés" parisiens (j'ai vu des critiques concernant Le Select du carrefour Vavin, ce n'est guère encourageant (plutôt rageant tout court !)
Biiiiiiiiises et belle fin de journée
Je ne cherche plus. En plus je n'ai pas le temps, même pas le temps de répondre aux commentaires.
RépondreSupprimerRemarque, cette nuit j'aurais eu le temps, mais j'ai passé mon temps à essayer de dormir tout en pensant à autre chose que j'ai écrit ce matin quand je me suis levée à 5h et demi. Encore une fois, c'est grâce à Miss Yves, suite à son post poème de vélo.
Bises trempées et venteuses.
Moi aussi je dors très mal en ce moment. J'ai répondu dans tes "Écrits".
SupprimerBises, à peine moins trempées et sans ventilateur !
Coucou Tilia, je me suis bien amusée avec ce billet, malheureusement je ne peux t'aider et pourtant je suis Parigote ! Doisneau était plus sympa car j'ai vu une photo prise dans mon quartier (le XIVe) des jeunes filles, coiffeuses prenant le soleil, à la terrasse d'un bistrot, lui portait en libellé la rue !
RépondreSupprimerBien la façade du café semble modeste avec un grand comptoir, proche d'une rue passagère et pourrait être un peu partout mais certainement pas le Flore ou les Deux Magots ! Peut-être malgré tout dans St Germain mais en allant vers la Seine, pour rejoindre les Tuileries, dans la rue de Seine par exemple ?
En tous les cas, tu es toujours une championne de la recherche et tu captes notre curiosité.
Je t'embrasse
Danielle
Coucou Danielle ! j'ignorais que tu sois "parigote" d'origine :-)
SupprimerC'est vrai que si les collaborateurs de la Parisienne de Photographie pouvaient faire des recoupements entre toutes les photos dont ils disposent, il leur serait sans doute possible de préciser plus souvent les lieux des photographies...
Tes hypothèses sont intéressantes, je vais les étudier ;-)
De toutes façons les dernières photos que j'ai découvertes semblent indiquer qu'elles ont toutes été prises dans le même secteur, notamment celle du métro Tuileries, mais chuuut ! tu les découvriras dans le prochain billet. Encore un peu de patience, aujourd'hui je suis occupée à fêter l'anniversaire de mon cher et tendre !
Bises (légèrement humides, vu le temps qu'il fait ici aujourd'hui !)
Et oui je suis née dans le 14e arrondissement et j'ai vécu presque 40 ans dans ce même quartier, avenue du Maine, puis vers Plaisance, rue des Plantes, rue Antoine Chantin ...
SupprimerEn fait on connait surtout son quartier (et encore) mais pas trop les autres coins de Paris, sauf ceux qu'on aime fréquenter, pour moi c'était surtout Montparnasse et St Germain des Près.
Je t'admire dans tes recherches et crois-moi j'adore te suivre, à chaque fois je suis prise au jeu et j'essaie de trouver une trace.
Du coup en cherchant sur le web on trouve des tas de choses super intéressantes, merci à toi pour cette passion que tu sais si bien transmettre.
Je t'embrasse
Danielle
Coucou Tilia, j'ai hâte de connaître la suite de tes recherches.
SupprimerJ'ai peut-être une idée sur la terrasse où sont les 2 copines le Sélect à Montparnasse ???
Bisous
Non, pas le Select de Montparnasse, bien que certains sites le suggèrent (comme ils suggèrent la date 1922, à l'encontre de celle indiquée par La Parisienne de Photographie. Alors que 1926 est beaucoup plus probable, au vu des longueurs de robe (et des coiffes, tel le turban).
SupprimerLundi dernier, je suis allée voir sur place et j'ai même fait des photos du Select et de tous les bars célèbres, du carrefour Vavin à celui de Port Royal. Rien ne colle !
Par contre, ton hypothèse de la rue de Seine tient la route. Grâce à toi j'ai découvert "La Palette" un café classé par les Monuments Historiques. D'après ce que je vois dans Google Maps, ce n'est pas celui-là, mais l'allure générale et surtout la mention "TELEPHONE" en biais sur les vitres font fortement penser à celui des deux photos de ML Branger. Alors il serait peut-être dans ce quartier... Comme il se peut aussi qu'aujourd'hui il ne reste plus rien de ce sacré café mystère !
J'ai donc arrêté les recherches au profit de la rédaction de mon billet. Et, comme tu le fais judicieusement remarquer, vu qu'au fur et à mesure des mes vérifications je trouve au passage des tas de choses intéressantes, le travail d'écriture avance à petite vitesse ;-))
Bises et belle journée dominicale, chère Danielle
Oui j'avais pensé à la Palette mais l'angle de rue ne convenait pas du tout ! Et puis la rue de Seine et ce petit coin, je connais bien, c'est là que Ange avait fait sa première expo !
SupprimerSacré café mystère !
Bisous très pluvieuses et bon dimanche
Solita Solano et Djuna Barnes in Paris (Maurice Branger, Au Café, 1922).
RépondreSupprimerhttp://en.wikipedia.org/wiki/Solita_Solano
http://en.wikipedia.org/wiki/Djuna_Barnes
Bienvenue au grenier JJ Gazette !
SupprimerPour les noms des deux dames du café, j'étais déjà au courant :-))
Quant à la date des photos, sur le site de la Parisienne de Photographie elle est indiquée aux alentours de 1925 et sur d'autres photos que je vais publier dans le billet que je suis en train de rédiger, il est précisé 1926. Ce qui me semble plus probable, vu que les robes tombaient un peu plus bas en 1922...
Voici une piste intéressante.
RépondreSupprimerJ'ai trouvé un café de coin de rue, rue de Fleurus et de la rue d'Assas, café "Georgette"près de chez la Mère l'Oye. Je n'ai plus le temps à cette heure mais j'approfondirai ce tantôt.
Comme tu le sais, j'avais déjà trouvé les informations données par JJ Gazette, c'est d'ailleurs ce qui m'a motivée à préparer un second billet pour faire suite à celui-ci et publier les autres photos de Djuna Barnes que j'ai découvertes avant-hier.
SupprimerComme tu le sais aussi, je n'ai guère de temps en ce moment et mon billet ne sera pas prêt avant lundi voire mardi ou mercredi ;-))
Je vais aller voir ton café Georgette...
Bon ! je viens d'aller voir Georgette. Alors, en 2008 il y avait là, non pas un café, mais une supérette.
SupprimerPuis, entre Juillet 2012 et Juillet 2014 ce fut le Restaurant de Luxembourg.
Depuis Octobre 2014, on peut visiter l'intérieur de Georgette... qui n'a rien d'ancien :-(
À mon avis, il est très difficile de dire ce qu'il y avait là en 1925...
Face à toi Hercule Poirot doit bien se tenir... je remarque juste que le cannage des chaises est différent mais résiste t il bien aux années ?
RépondreSupprimerj'adore ton enquête Tilia
ma vie parisienne était une vie de village...Vaugirard n'étant annexé à Paris qu'en 1860 ...
Je t'embrasse entre 2 averses
Cergie a répondu (un peu plus bas) à ta question.
SupprimerJ'adore quand les lectrices se passionnent autant que moi ;-)
Bises en retour (entre deux nuages de grisaille !)
Ah nos élégantes seraient bien heureuses de savoir l'énergie déployée pour retrouver les traces de leur splendeur :-)
RépondreSupprimerMerci Tilia pour ton "Bouquet de soleil" !
Douce soirée à toi !!!
Ah ! l'Avenue du Maine, je connais bien ; mon ami Maurice, après avoir quitté le 9 de la rue Campagne (un studio en sous sol) avait acheté un appart avenue du Maine, mais comme il s'est séparé de son amie, il est revenu rue Campagne, mais au 17. Comme Danielle, j'ai beaucoup traîné à Montparnasse. J'ai rêvé de ton café mystère cette nuit.
RépondreSupprimerBises gelées, embrouillardées et ensoleillées.
Pour le soleil, pourvu que ça dure !
Bon Dimanche !
le Pré aux Clercs
RépondreSupprimerLa rue Jacob est trop étroite pour correspondre à celle de la photo de Branger qui présente une lumière dans le fond suggérant un élargissement assez proche. Les portes du café HRenaud ne correspondent pas à celles du Pré-aux-Clercs, ni les façades de la rue Jacob à celles de la photo...
SupprimerCe sacré café passionne beaucoup d'entre nous. Cette nuit j'ai rêvé des autres photos (celles que je vais publier bientôt...
SupprimerBises et belle fin de dimanche (ici le soleil est très fugace)
Il est toujours possible d'acheter des chaises en rotin de bistrot :
RépondreSupprimerhttp://www.leparisien.fr/espace-premium/oise-60/les-chaises-en-rotin-un-savoir-faire-100-manuel-19-05-2014-3851721.php
Lorsque je vois les photos du jardin des Tuileries je pense au jardin de ma grand'mère qui avait ces chaises pliantes qui sont toujours aussi actuelles. Les chaises du jardin du Luxembourg et des Tuileries s'achètent aussi, comme tout le mobilier urbain parisien (bancs etc)
Sur la deuxième image on note que le élégantes sont assises sur une terrasse en angle, comme celle de la Rotonde (j'ai une photo que je devrai publier). Le Balzac de Rodin du métro Vavin est idéal pour se donner Rvous. Je l'ai fait une fois pour une amie de blog et nous avons ri ensuite en déjeunant au Dôme car elle a dit, et je l'avais pensé aussi, que si ma tête ne lui revenait pas elle aurait pu ne pas se manifester
SupprimerJ'aime ces chaises de bistrot tout simplement même si elles sont vides. Voici juste une photo :
Supprimerhttp://cergipontin.blogspot.fr/2007/11/paris-4me-la-terrasse-de-caf.html
Ce message, comme souvent les anciens, est fréquenté par des amis aujourd'hui partis sous d'autres cieux, pas ceux qui flottent au dessus des cimetières heureusement.
Chaque fois que je passe sur cette place comme dernièrement je regarde cette terrasse qui évolue. La dernière fois (tu sais : 1 2 3 soleil) j'ai eu la joie de revoir les chaises mais disposées différemment. C'est l'avantage et l'inconvénient du mobilier mobile...
Richard de Zurich m'avait parlé de couverture à poser sur les genoux... J'en ai vu aussi dans ce quartier cette fois ci. Tout change ! Surtout depuis qu'il est interdit de fumer à l'intérieur !
SupprimerLes deux chaises et la table en fer du jardin de mon enfance avignonnaise étaient semblables à celles du jardin des Tuileries.
SupprimerDans mon jardin, sous le tilleul, il y avait aussi un banc pareil à celui de cette photo.
Trouvée à l'instant, une carte postale montrant La Rotonde à la Belle Époque
SupprimerCoucou, oui peut-être mais La Rotonde se trouve à l'angle du Bld Montparnasse -du Bld Raspail et ce dernier a un trottoir au milieu, une voie qui descend et une qui monte à ce carrefour.
SupprimerBisous
Justement ! la carte postale c'était pour montrer à Cergie (vu qu'elle semble me la suggérer) que ça ne peut pas être La Rotonde ;-)
SupprimerSuis d'accord, ce n'est pas la Rotonde.
RépondreSupprimerBises
Bisous du soir :-)
SupprimerDe quoi avoir envie de s'installer en terrasse avec vous tous!
RépondreSupprimerMerveilleux billet qui nous emmene aux quatre coins de Paris avec l'elegance en tete.
On va revoir une des deux élégantes dans le prochain billet (qui tarde un peu, vue mon humeur vagabonde en ce moment ;-))
Supprimerque penses -tu du café " La Palette " rue de Seine
RépondreSupprimerj'ai été voir aussi avec l'aide de cartes postales
" Le Sélect "
cela m'occupe de chercher
bonne journée
Pour la Palette, j'en parle dans mon commentaire du 21 février 2015 à 22:52. On a également déjà Le Select puisque certains sites l'indique dans la légende de la photo mais c'est une erreur ni les lieux ni la rue adjacente ne correspondent à ce que l'on voit sur les photos de Branger.
SupprimerMerci Iris, de participer activement aux recherches. Mais sans autre indice (à moins d'un coup de chance incroyable) il y a gros à parier que nous n'aurons jamais la solution... Cela dit, j'espère un coup de chance ;-))
Tu déchaines des passions, Tilia !!!
RépondreSupprimerDu fond de ma campagne, me sens bien incompétente pour t'aider. :-)
Merci tout plein pour ma biquette !
qui elle non plus ne s'y retrouverait pas à Paris :-)
Me réjouis pour la suite !
RépondreSupprimerSchmoutzele de bonne journée !!
Apparemment la photo aurait ete prise en 1922
RépondreSupprimerla photo est a la Librairie du Congres de Washington
"Apparemment"..
SupprimerJe viens de fouiller dans le site et je n'ai rien trouvé !
Comme je comprends fort mal l'anglais, tu auras peut-être plus de chance que moi...
rien à voir mais en fouinant, j'ai trouvé ça
RépondreSupprimerc'est magnifique !
Bises fleuries
Merci pour les fleurs, elles sont effectivement magnifiques et La place de l'Opéra n'est pas du tout hors sujet, les chapeaux cloches le confirment ;-))
SupprimerBises ravies
Je suis bien contente que mes recherchent m'aient fait découvrir ce peintre et ses chapeaux cloches de la place de l'Opéra.
RépondreSupprimerAlors t'en es où parce que je vois bien que tu vas publier quand je ne vais pas être là. J'aurais quand même bien voulu être au courant dans les premières, vu que c'est grâce à moi que tu t'es lancée la dedans.
Bises pleines de soleil !
Si je n'ai pas encore publié la suite de ton mystérieux café parisien, c'est pour plusieurs raisons. La première étant qu'au début de mon billet j'ai commencé par me tromper de personne : la légende de la photo (sur les sites qui l'indiquent) étant "Solita Solano et Djuna Barnes", avec la petite logique qui me caractérise, puisque on écrit de gauche à droite j'ai pensé que ces deux noms étaient inscrits dans l'ordre où les femmes se présentent sur la photo.
SupprimerJ'ai donc cru pendant un certain temps que Djuna Barnes était la femme assise à droite (celle au turban blanc).
Mais en confrontant les photos des deux dames du café, disponibles sur la toile (il y en a pas mal et ça m'a pris du temps pour les rassembler et les mettre en forme) je me suis aperçue de mon erreur. Celle de droite c'est Solano.
Et attention ! tout ceci est à mettre au conditionnel, car jusqu'ici il m'a été impossible de trouver un site sérieux (genre banque d'images ou musée) pour confirmer que les deux femmes photographiées par Maurice-Louis Branger sont bien Djuna Barnes et Solita Solano... Tu vois le problème !
Si je prends autant de temps pour écrire mes billets, c'est que par principe je me refuses à publier des informations non vérifiées.
En outre, malgré que je sache le problème quasiment insoluble et que je n'arrête pas de me dire qu'il vaudrait mieux stopper, je ne peux m'empêcher de perdre beaucoup de temps à visionner des photos de Paris datant des années vingt, dans l'espoir de tomber sur le fameux carrefour où se trouve (trouvait ?) ce sacré café !
Remarque, plus tu cherches, plus tu trouves d'informations intéressantes au passage ;-)
Bises de pleine lune (ah non, zut ! c'est le 1er quartier en ce moment :-))
Tu as raison, il ne faut pas raconter n'importe quoi. Je suis comme Thérèse, je cherche et je viens de lire que les deux Nanas se sont rencontrées au café de Flore.
SupprimerIl se pourrait que l'une d'elles soit Djuna Barnes mais que l'autre ne soit pas Solita Solano à cause du nez.
En cherchant une photo de Solita, tu tombes sur une photo de Djuna. C'est un vrai méli mélo.
Bises d'un samedi tristounet.
Réponse par courriel, ici ça devient vraiment surchargé :D
SupprimerBises idem
Impossible de revenir sur l'image dans la librairie du Congres... il y avait seulement la date 1922.
RépondreSupprimerPar contre je viens de trouver un site italien (malheureusement je ne le comprends pour ainsi dire pas) qui dirait que la scene se passe au Select! Voir ici.
Je continue ma recherche avant le diner...
Merci pour ton aide sur le site de la Librairie du Congrès.
SupprimerComme je l'explique ci-dessus dans ma réponse à Claude, j'aurais bien aimé que tu parviennes à dénicher une confirmation officielle comme quoi les dames du café photographié par Branger sont bien Djuna Barnes et Solita Solano.
Quant au site italien dont tu parles j'y suis passée il y a un certain temps et c'est même pour ça que le lundi 16 février je suis allée faire des photos de tous les cafés aux alentours du carrefour Vavin - et donc du Select en particulier - mais rien ne correspond à la photo de Branger.
Du coup j'ai pensé qu'il pouvait s'agir du Select des Champs-Élysées, mais là aussi ça ne colle pas. De plus, le Select des Champs-Élysées a été détruit et maintenant il y a un Marks & Spencer à la place, j'en ai parlé plus haut (dans mon commentaire du 21 février à 22:52).
Maintenant il devient urgent que je publie la suite pour expliquer tout ça, car ici la liste des échos commence à être plus longue qu'un rouleau de papyrus de l'Égypte Antique :-))
Super billet, je vous laisse causer les filles qui connaissent Paris comme leur poche !!!
RépondreSupprimerAh l'élégance des parisiennes installées aux terrasses des cafés !!!
Bravo Tilia !!!
Bises ensoleillées
https://fr.pinterest.com/pin/532058143456176621/
RépondreSupprimerVoilà, j'ai suivi toute votre recherche car je viens de peindre une aquarelle de cette photo, il semblerai que ce soit le PURE CAFE... d'après cette photo trouvée sur Pinterest.... mais vous l'avez peut etre trouvée depuis.... Bravo pour votre site !
Désolée d'avoir publié en anonyme... je n'ai pas su comment faire autrement !
RépondreSupprimerOooops, il doit s'agir d'un photo-montage.... en y regardant mieux.... désolée !
RépondreSupprimerJ'ai vu sur un autre site que le Café H.Renaud serait actuellement le Café Mademoiselle
RépondreSupprimerAdresse : 21 Rue Duphot, 75001 Paris