"Notre maison brûle..." Composition numérique ©VesperTilia Historique de la citation |
En 2004, les médias parlaient-ils aussi souvent que maintenant du réchauffement climatique ?
Pour vous je ne sais pas, mais pour moi je n'en avais pas l'impression.
Pourtant, en retrouvant une de mes anciennes peintures numériques (enregistrée en décembre 2004) je m'aperçois que mon subconscient avait déjà pris conscience que tout n'allait pas pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Or, c'est seulement en 2007 que les membres du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) conjointement avec l'ancien vice-président Al Gore, reçoivent le prix Nobel de la Paix.
Récompense qui leur a été décernée pour avoir tiré le signal d'alarme mondial en orientant les consciences vers les risques que représentent le changement climatique en cours.
Douze ans plus tard, le 17 septembre 2019, en publiant leurs conclusions basées sur le dernier rapport du Giec (2014) les scientifiques du CNRS déclenchent cette fois les sirènes d'alerte générale et leurs échos retentissent immédiatement dans tous les médias.
C'est alors que je reprends mes pinceaux numériques pour actualiser ma vision de 2004 :
Si vous avez un peu de temps (et que le sujet vous intéresse) je vous invite à regarder le documentaire ci-dessous et à donner éventuellement votre avis dans les échos :
Samedi 21 Septembre, nous sommes tous invités à participer à la Marche pour le Climat
Pour vous je ne sais pas, mais pour moi je n'en avais pas l'impression.
Pourtant, en retrouvant une de mes anciennes peintures numériques (enregistrée en décembre 2004) je m'aperçois que mon subconscient avait déjà pris conscience que tout n'allait pas pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Composition
I
2004 ©VesperTilia |
Or, c'est seulement en 2007 que les membres du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) conjointement avec l'ancien vice-président Al Gore, reçoivent le prix Nobel de la Paix.
Récompense qui leur a été décernée pour avoir tiré le signal d'alarme mondial en orientant les consciences vers les risques que représentent le changement climatique en cours.
Douze ans plus tard, le 17 septembre 2019, en publiant leurs conclusions basées sur le dernier rapport du Giec (2014) les scientifiques du CNRS déclenchent cette fois les sirènes d'alerte générale et leurs échos retentissent immédiatement dans tous les médias.
C'est alors que je reprends mes pinceaux numériques pour actualiser ma vision de 2004 :
Composition
II 2019 ©VesperTilia |
Si vous avez un peu de temps (et que le sujet vous intéresse) je vous invite à regarder le documentaire ci-dessous et à donner éventuellement votre avis dans les échos :
Samedi 21 Septembre, nous sommes tous invités à participer à la Marche pour le Climat
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EDIT du Jeudi 26 Septembre 2019 à 18h00 :
Le télescopage de deux fâcheuses nouvelles dans les actualités de ce jour m'a incitée à rédiger une note complémentaire à ce billet. Deux références aux incendies qui menacent l'environnement et qui, par conséquent, menacent notre santé, si ce n'est nos vies...
D'une part, l'annonce aux premières heures de la matinée d'un terrible incendie à Rouen dans une usine hautement classée Séveso.
L'usine Lubrizol, celle-là même qui a connu une énorme fuite de gaz dans la nuit du 20 au 21 janvier 2013. Je m'en souviens parfaitement car les émanations toxiques et nauséabondes s'étaient répandues jusqu'en région parisienne. Elles nous avaient fait tousser une partie de la nuit en ayant pénétré par les colonnes d'aération jusque dans notre appartement. Cette fois-ci, heureusement pour nous, le sens du vent a dirigé les fumées vers le nord-est (pensée compatissante pour les habitants de la Somme).
Et ce n'est pas tout ! La grosse fuite de gaz de 2013 a été précédée d'une autre en 1989 et d'une toute première en 1974. Autrement dit cela fait maintenant 45 ans que cette usine empoisonne les gens et tout l'environnement de Rouen.
D'autre part, la presse a annoncé en fin de matinée le décès de Jacques Chirac - auteur de la célèbre phrase « Notre maison brûle et nous regardons ailleurs » qu'il formula dans son discours lors du Sommet de la Terre de Johannesburg en 2002.
Coïncidence, la disparition de Jacques Chirac intervient au lendemain de la publication du dernier rapport du Giec qui détaille le sinistre état de santé de notre planète et qui propose quelques mesures de première urgence à mettre en chantier sans tarder.
Le télescopage de deux fâcheuses nouvelles dans les actualités de ce jour m'a incitée à rédiger une note complémentaire à ce billet. Deux références aux incendies qui menacent l'environnement et qui, par conséquent, menacent notre santé, si ce n'est nos vies...
D'une part, l'annonce aux premières heures de la matinée d'un terrible incendie à Rouen dans une usine hautement classée Séveso.
L'usine Lubrizol, celle-là même qui a connu une énorme fuite de gaz dans la nuit du 20 au 21 janvier 2013. Je m'en souviens parfaitement car les émanations toxiques et nauséabondes s'étaient répandues jusqu'en région parisienne. Elles nous avaient fait tousser une partie de la nuit en ayant pénétré par les colonnes d'aération jusque dans notre appartement. Cette fois-ci, heureusement pour nous, le sens du vent a dirigé les fumées vers le nord-est (pensée compatissante pour les habitants de la Somme).
Et ce n'est pas tout ! La grosse fuite de gaz de 2013 a été précédée d'une autre en 1989 et d'une toute première en 1974. Autrement dit cela fait maintenant 45 ans que cette usine empoisonne les gens et tout l'environnement de Rouen.
D'autre part, la presse a annoncé en fin de matinée le décès de Jacques Chirac - auteur de la célèbre phrase « Notre maison brûle et nous regardons ailleurs » qu'il formula dans son discours lors du Sommet de la Terre de Johannesburg en 2002.
Coïncidence, la disparition de Jacques Chirac intervient au lendemain de la publication du dernier rapport du Giec qui détaille le sinistre état de santé de notre planète et qui propose quelques mesures de première urgence à mettre en chantier sans tarder.
©VesperTilia, échos-de-mon-grenier 2019
Les politiques refusent d'écouter, trop d'argent est en jeu et pourtant l'argent ne se mange pas, nous assistons impuissant au plus grand génocide que la planète aura connu, nous avons atteint le point de non retour et continuons de regarder ailleurs. Dans les années 1970 déjà je prétendais que nous faisions les mauvais choix et je n'étais pas le seul à le dire, on retrouve des vidéos des différents lanceurs d'alerte, maintenant qu'il est assuré que nous allons vers une extinction de notre société et sans doute une extinction de l'humanité, les médias s'emparent du sujet pour essayer de presser le peu qu'il reste à presser.
RépondreSupprimerAmicalement
Claude
Bonjour, Claude
SupprimerMerci pour votre commentaire conséquent. Hier, toute la presse a fait ses gros titres du coup de semonce donné par les scientifiques du CNRS. La conclusion qui s'impose étant « Seule une coopération internationale permettra de limiter l'impact du processus. » On veut y croire, tout en sachant qu'à moins de gros cataclysmes planétaires il n'en sera rien (gros soupir)
Amitiés
Coucou Tilia.
RépondreSupprimerIl y a le feu chez toi !
Comme dit la Comptine...
"
C'est pas moi qui l'ai brûlée,
C'est la cantinière,
C'est pas moi qui l'ai brûlée,
C'est le cantinier.
"
Passe une bonne journée, bien au chaud.
A +°°°°°
Une comptine dont j'ignore tout...
SupprimerBonne fin de journée, à tantôt
Oui, il y a le feu mais sur ton oeuvre, je vois quand même du vert, le vert de l'espoir. Je ne vais pas dire que je suis climato-sceptique. Cependant, j'ai encore l'espoir que quelque chose va changer. Pour moi, la nature gagnera, d'une manière ou d'une autre. Bises alpines.
RépondreSupprimerP.S. je ne regarde pas le docu maintenant, aujourd'hui, j'y reviendrai plus tard. Bises alpines ma belle.
Dans mes deux compositions, le vert représente ce qui reste des immenses forêts de la planète menacées par les incendies et dont une grande part est d'ores et déjà, hélas ! partie en fumée. Disparition qui, par sa production de CO2, en remet une couche en accélérant l'effet de serre, donc le réchauffement des hautes couches de l'atmosphère.
SupprimerBises tempérées (en attendant la pluie qui ne vient toujours pas)
Tes pinceaux sont inspirés.
RépondreSupprimerCoup de coeur particulier pour la composition 2
Merci pour le compliment
SupprimerTon talentueux pinceau traduit l'apocalypse prévue...à moins...
RépondreSupprimerMerci pour l'attention portée à mes compositions et pour leur appréciation positive.
Supprimer"l'apocalypse prévue".. si je te disais que lorsque j'étais gamine j'étais persuadée que je verrais la fin du monde !
On atteindra tous bientôt notre vitesse de libération. Le cosmos se débrouillera bien pour tourner sans humain !
RépondreSupprimerPas d'avis : c'est la vie.
Ce n'est pas du pessimisme, plutôt du réalisme teinté d'un zeste d'aquoibonisme. Mais nous coloniserons d'autres planètes peut-être !
"Le cosmos se débrouillera bien pour tourner sans humain"... et la musique des sphères retentira seule dans le silence éternel. Adieu Bach et consorts :-(
SupprimerQuant à coloniser d'autres planètes, nous n'en aurons sans doute pas le temps, je le crains.
"Seule" Tilia ?
SupprimerL'humain est-il vraiment le seule forme de vie capable de culture musicale ?
:D)
Il y a 28 ans des scientifiques s'étaient réunis pour faire le bilan de la Terre et donner des prévisions si rien n'était fait.
RépondreSupprimerRien n'a été fait, que du contraire c'est encore pire.
Le changement doit commencer par nous, nous devons changer notre façon de vivre, de consommer. Ne comptons pas sur les gouvernements nous savons déjà que certains ne feront rien.
"il est plus tard que nous le pensons"
Bravo pour tes compositions numériques, ma préférée : la deuxième.
Bisous et bonne soirée :)
Bien d'accord Nadezda, le changement doit commencer par les consommateurs que nous sommes : acheter moins de produits importés du bout du monde, produire moins de fumées, bannir le plastique, etc. Nous nous porterons mieux et la planète aussi.
SupprimerMerci pour le "bravo"
Gros bisous
J'ai vu des conférences données par des gens qui s'y connaissent un peu beaucoup et qui disaient que c'est cyclique et qu'il se pourrait qu'un jour nous tombions dans une période glaciaire.
RépondreSupprimerJe ne dis pas que la pollution n'y est pas pour quelque chose mais il y a sans des limites. Nos voitures essence et diesel qui partent en Afrique ne polluent plus chez nous mais là-bas. Il y a sûrement à faire.
Bises campagnardes ensoleillées mais fraîches
Pour l'instant ce n'est pas "une période glaciaire" qui nous menace, nous et nos petits-enfants. C'est l'enfer sur terre à brève échéance, à moins de prendre le taureau par les cornes en réduisant notre consommation de produits polluants (voir ce que je dis à Nadezda juste au-dessus)
SupprimerBises semi-citadines et semi-humides ;-)
T'es douée en compos numériques !
RépondreSupprimerMerci :-)
SupprimerCertes, tout ça fonctionne par cycles. Mais la Terre n'a jamais été aussi peuplée (d'humains), et il est grand temps que nous prenions nos responsabilités.
RépondreSupprimerOui, mon époux ne cesse de le répéter que la surpopulation est à la base du problème de la pollution. Que ce soit par les centrales au fuel ou à charbon et les gaz d'échappement des moteur diésel (voitures, camions, bateaux, trains, engins agricoles et de chantier) ainsi que les véhicules à essence et les groupes électrogènes dans les pays dits "émergents". Sans oublier la pollution engendrée par les fumées industrielles et les rejets de kérosène des avions qui polluent autant que le reste.
SupprimerOn en est là parce que plus de la moitié de la population de la planète est idiote, inconsciente et malhonnête, malheureusement, on ne peut plus revenir en arrière, on ne peut que limiter (le mot est fort) des dégâts déjà irréversibles, quand on sait qu'en 2050 le climat de Londres sera celui actuel de Barcelone, adieu chênes verts, érables et autres essences en France, plus de fleuves, la Garonne par exemple et entre autres, va disparaître, c'est plus que triste...
RépondreSupprimerExemple de la stupidité humaine, les gens qui veulent prendre des vacances à la campagne alors qu'ils ne supportent pas les mouches ni l'odeur du crottin de cheval !
SupprimerSans doute les mêmes que ceux qui vont séjourner en Bretagne mais qui se plaignent d'être réveillés par les cris des mouettes et des goélands !!
Bonjour Tilia, pour le crottin de cheval en ce cas cela ne semble pas si simple, les voisins ne sont pas forcément de mauvais bougres, le cheval aurait de la place pour s'installer un peu plus loin. Je me souviens des inséparables de mes voisins, installés dans leur cage dans le jardin, qui poussaient des cris perçants toute la journée d'une façon sporadique, je les entendais fenêtres fermées. C'était insupportable, comme le bruit d'une goutte d'eau, pire même je crois. Heureusement ils ont déménagé
RépondreSupprimerNotre plus jeune fils s'apprête à acheter un terrain qui jouxte dans le fond un terrain avec un chien dont le propriétaire balance les crottes par dessus la haie. Nos enfants espèrent qu'il ne le fera plus lorsqu'ils auront emménagé. Ils espèrent aussi que le chien va s'habituer à leur présence et ne plus aboyer quand ils seront dans leur jardin... Sinon ils auront tout de même 1300 m2 et deux beaux chênes au fond entre eux et le cabot
En 2004 tu avais sans doute été sensibilisée par la canicule de 2003. Depuis nos arbres ont poussé dans notre terrain et ils contribuent à nous fournir un micro climat. Tout le monde dit qu'il faut faire quelque chose mais sommes nous prêts à renoncer à être sur notre ordi, à envoyer des mails, utiliser des portables etc ? A consommer quoi.
RépondreSupprimerDéjà grand progrès pour moi, nous buvons de l'eau du robinet au lieu d'eau en bouteille, il suffit de la faire décanter pour éliminer le chlore. Il y a le... pinard aussi, mais bon on n'abuse pas
:-)
De toute façon nous allons disparaitre, nous avons frôlé l'extinction il y a 70 000 ans lorsqu'il n'y avait que 2000 humains sur terre (voir ICI message sur Cergipontin)
RépondreSupprimerJe crois que nous visons trop longtemps, j'ai lu un édito dans l'obs de la semaine dernière qui dit qu'autrefois on vivait 35 ans au plus et qu'on accomplissait sa vie. Bien sûr c'est agréable de vivre, aller à des expos, s'occuper de ses petits enfants mais au bout du compte, ces années gagnées sont elles utiles à l'humanité ?
RépondreSupprimerLa plupart des petits-enfants adorent leurs grands-parents. Ce serait trop triste de les en priver prématurément.
SupprimerLe problème, ce n'est pas la longévité.
Ce qui fait que la planète est en train d'étouffer sous le réchauffement engendré par la pollution, c'est la surpopulation.
Nous avons de nos jours des moyens contraceptifs efficaces pour limiter les naissances, il faudra les employer. Sinon des catastrophes de grandes ampleur, ou le retour des guerres, s'en chargeront...
Mais oui, commencer par dépeupler par la contraception... Personne n'en parle, on se demande pourquoi... tant que le monde sera régi par la consommation nous n'arriverons à rien.
SupprimerEn attendant faisons ce que nous pouvons chez nous et autour de nous pour avoir une conscience un peu plus tranquille quoique... il me reste bien des choses à améliorer comme les voyages en avion pour voir les enfants, la voiture etc...
A quel âge est décédée Berthe Morisot ? Et Van Gogh et Géricault ?
RépondreSupprimerBon, chère Tilia, j'arrête de spammer ton message qui ne laisse pas indifférent...
Contaminée par son mari malade de la syphilis, Berthe Morisot est décédée à 54 ans, trois ans après Eugène Manet mort à 58 ans.
SupprimerLa lune et le soleil brillent sur ta composition, gardons les bien en vue. Bravo pour cette composition.
RépondreSupprimerJ'ai du retard par rapport à ton billet mais pas au niveau du souci climatique dont nous mesurons l'angoissante réalité tous les jours.
RépondreSupprimerJ'admire tes créations ! Coup de coeur tout particulier pour les deux premières. Très différentes, elles traduisent, la première avec des lignes sagement organisées, la deuxième "en flammes", l'angoissant avenir climatique qui ne cesse de se préciser.
Malgré la bonne volonté de beaucoup, le sentiment d'impuissance face à l'attrait et à la puissance de l'argent laisse désemparés. La surpopulation bien-sûr mais l'appât du gain est bien l'autre énergie destructrice à l'oeuvre.
Je reviens plus tard pour la vidéo....
Bonne soirée, Tilia.
Je t'embrasse ! ♥
Bien-sûr, nous constatons déjà les répercussions du changement climatique !
RépondreSupprimerJe t'avoue que le sentiment d'impuissance me gagne très souvent. Faire ce qu'il y a à faire : réduire nos consommations, la consommation de viande et toutes les autres...Changer nos habitudes il est grand temps...Mais face à l'argent-roi la soif de profits qui mènent le monde...qui l'emportera ?
Nous avons de enfants et des petits enfants, c'est pour eux qu'il importe de changer radicalement.
Bonjour Tilia, à l'exposition du musée d'Orsay il est dit que Berthe Morisot est décédée après avoir soigné sa fille des suites d'une grippe. Pudiquement on ne parle pas de son état de santé général. C'est un fait que l'on ne meurt pas d'une maladie chronique mais des maladies opportunes pour lesquelles elle sape les résistances.
RépondreSupprimerTa remarque à propos des arrondissements où les logements sociaux s'implante est sans doute pertinente mais il se trouve que notre Monsieur O avait un meilleur amli qui vivait avec sa mère seule en foyer dans le 19ème et qu'ils ont déménagé à la rentrée pour un appartement social dans le 16ème. Je me souviens que nous avions visité un appartement dans le 16ème qui nous avait semblé peu chaleureux dans son environnement. Cependant les établissements scolaires de secteur dans ce coin de Paris sont sans doute... plus favorisés
Je te parlais de Géricault car j'ai découvert avec effarement à la récente exposition au Petit Palais sur le Paris Romantique qu'il est mort à 33 ans !
Supprimercoucou, le climat me donne une excuse 'avoir laissé les blogs en rade... mais la pluie est revenue :)))) bises
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