Der Maler in Nöten (Le peintre en péril) Johann Friedrich Voltz - 1853 Museum Georg Schäfer, Schweinfur |
L’homme au parasol Portrait de Porphyre Victor Jacquemont, ami d'enfance de Monet Claude Monet - 1868-69 Kunsthaus Zürich |
Sally in our alley George Dunlop Leslie (1835-1921) |
El aficionado a los pájaros (L'amateur d'oiseaux) José Jiménez Aranda - 1878 |
Reading on a Sunny Afternoon (Lire par un après-midi ensoleillé) Charles Edward Perugini (1839-1918) |
Portrait of a woman with umbrella Daniel Ridgway Knight - 1882 |
Le Parapluie Marie Bashkirtseff - 1883 Musée d'état de Russie, Saint-Pétersbourg |
Fósforos (Allumettes) Antônio Firmino Monteiro - 1884 |
Enfants jouant Charles Bertrand d'Entraygues - 1884 |
Dame mit Schirm und Zeichenmappe (Dame avec parapluie et carton à dessins) Karl von Blaas (1815-1894) |
"Décembre" (Enfants sur le chemin de l’école dans la tourmente neigeuse) Albert Anker - 1888 |
Le petit cheval de trait Charles Bertrand d'Entraygues - 1888 |
Interior of the Paris studio (Intérieur de l'atelier de Paris) William MacGregor Paxton - 1890 |
Young Mother in the Garden Mary Cassatt (1844-1926) |
Marchande des rues vendant du maïs École italienne - vers 1900 aquarelle sur papier |
Wind Blown Daniel Ridgway Knight (1839-1924) |
Sans titre Anton Pieck - 1932 |
Le parapluie rouge Avigdor Arikha - 1973 |
Mais où sont passés nos parapluies d'antan ?
Depuis la fin du XXe siècle la société d'hyperconsommation a pris une ampleur telle que les parapluies sont désormais considérés comme des éléments jetables. Produits à bas coût, ils sont de très mauvaise qualité, se retournent au premier coup de vent et cassent ou se détraquent à la moindre fausse manœuvre. En France, ce sont chaque année 10 millions de parapluies qui terminent leur courte vie dans les poubelles publiques. Source.
©VesperTilia, échos-de-mon-grenier 2020
Peut-on appeler "pépin" une ombrelle ?
RépondreSupprimerOù ce terme est-il réservé au parapluie ?
Je ne sais.
Bon, voilà venir les eaux de mars.
(Pars à "pluie" et reviens à "soleil".)
Non, une ombrelle n'est pas un pépin, pas plus qu'un pébroque ou un riflard.
SupprimerQuoique... il est vrai qu'en France il fut un temps où le mot "parasol" désignait aussi bien une ombrelle qu'un parapluie, comme le prouve le titre du tableau de Monet "L'Homme au Parasol".
Par ailleurs, curieusement, la langue anglaise n'a pas de mot spécifique pour désigner le parapluie. Les britanniques emploient le mot "umbrella" pour parapluie, et "parasol" pour désigner l'ombrelle, un peu comme s'ils refusaient de reconnaître le caractère humide de leurs îles ;-))
Bien d'accord avec la qualité des parapluies. Celui que nous avons acheté en Normandie, supposé ne pas se retourner, ne tient pas vraiment le choc. Il branle de partout et ne rassure guère lorsque nous le sortons.
RépondreSupprimerÉtonnée par le choix que A. Monteiro a fait pour la couleur blanche du parapluie porté par le vendeur!
La luminosité du cellier par A. Pieck est attirante et la simple scène me plaît.
J'espère que ce n'est pas un vrai "parapluie de Cherbourg"!
SupprimerILs sont réputés inusables et solides! J'en ai acheté dont je n'ose pas me servir, car, vu le prix, j'ai peur de le perdre, de l'oublier quelque part :
absurde, n'est-ce pas !
Je ne suis pas fan des parapluies, préférant vestes et chapeaux! Mais en tant qu'objet, c'est esthétique! Ta collection nous le prouve bien...
RépondreSupprimerBon weekend.
Il est vrai qu'avec un parapluie dans une main on se sent un peu manchot(e) :-)
SupprimerMagnifique exposition de pébrocs ! Avec l'intitulé sur les pépins je m'attendais au pire )))
RépondreSupprimerL'allusion est voulue... en espérant que la tourmente ne dure pas trop longtemps.
Supprimerune série superbe, de choix! la jeune fille russe est ma préféré ... bises
RépondreSupprimerLe Parapluie de Marie Bashkirtseff abrite une jeune femme visiblement inquiète. Elle n'est pas la seule par les temps qui courent...
SupprimerBises itou
Tu as toujours de bonnes idées ! Réunir toutes ces oeuvres autour du pépin, il fallait y penser !
RépondreSupprimerMa préférence est celui de Mary Cassat, pour la beauté du blanc et la femme peintre, pour la journée de la femme !
C'est vrai que demain c'est la Journée internationale des Femmes ! Tu as raison de préférer le tableau tellement paisible de Mary Cassat. Celui de Marie Bashkirtseff est moins rassurant...
SupprimerCoucou. Je suis bien d'accord, les parapluies que l'on trouve maintenant dans le commerce sont bien fragiles et ne durent pas. J'ai toujours un parapluie dans la voiture, au cas où. Autrement, quand je fais de la randonnée par temps un peu incertain, j'ai un super K-way. Mais je n'ai jamais utilisé d'ombrelle pour me protéger du soleil!
RépondreSupprimerLe titre de ton billet m'a fait un peu peur... mais ouf, il y est question de parapluies et d'ombrelles. Si je devais choisir un tableau, je choisirai le Anker, j'aime ce déchaînement des éléments sur les enfants et le chien en arrière-plan. Et puis je choisirai ensuite le premier tableau avec la vache folle. :-))
Bises alpines et abrite-toi bien sous ton pépin.
La parapluie est tout de même bien utile pour se protéger le visage, surtout les yeux c'est primordial. Ce que ne peut faire un K-Way, à moins qu'il soit équipé d'un capuchon avec rabat transparent. J'ignore si ce genre d'équipement existe, sinon il serait à inventer ;-)
SupprimerContrairement à toi je suis allergique au soleil et j'ai un parapluie spécial pour me servir d'ombrelle !
Bises en retour et toi aussi prends bien soin de toi
La question du jour: est-ce que les parapluies protègent des méchants virus? Un peu comme des boucliers? :-))
RépondreSupprimerLe meilleur bouclier en l’occurrence, c'est le bon sens. Le mien m'incite à rester le plus souvent chez moi et à ne sortir de la voiture que pour aller en pleine nature.
SupprimerTu sais quelle est l'expression favorite de Johann Friedrich Voltz? => "Ah! la vache!". :-))
RépondreSupprimerÀ mes yeux ce serait plutôt un taureau. Mais je peux me tromper...
SupprimerLe titre m'a inquiétée!
RépondreSupprimer2, 7,13, 14, 17 et le dernier me plaisent particulièrement, pour leur force et leur expressivité.
Les parapluies semblent y acquérir une vie propre.
Il est vrai que le tableau des deux Maries (ou Mary)sont à l'opposé, l'un oppressant, l'autre gracieux et serein, très beaux tous les deux.
Interior of the Paris studio (Intérieur de l'atelier de Paris)
RépondreSupprimerWilliam MacGregor Paxton - 1890
Ce tableau me fait penser à ceux de Van Gogh,
la chaise et les souliers (mais est-ce bien de Van Gogh ? Ne serait-ce pas de Magritte ?J'ai un doute)
qui sont comme des autoportraits de l'artiste.
Objets d'une grande banalité dans un intérieur misérable...un thème repris par plusieurs peintres ?
Comme ça, de tête, je dirais que les deux artiste que tu cites ont peint des chaussures.
SupprimerVan Gogh, de vieux souliers très fatigués, simplement abandonnés sur le sol, sans décor autour. La chaise se trouve dans le célèbre tableau de sa chambre à Arles.
Quant à Magritte, en bon surréaliste, il a représenté une paire de bottines à lacets dont toute la partie avant est remplacée par des pieds nus.
Pas d'accord pour qualifier de misérable intérieur l'atelier parisien de William MacGregor Paxton. Le poêle et les chaussures sont propres, presque sans traces d'usure, et le broc le pépin et la chaise sont comme neufs.
Malgré leur banalité les objets tels qu'ils sont disposés forment une mise en scène dont l'acteur est hors champ : il pleut dehors, le peintre vient de rentrer et après avoir posé son parapluie contre la chaise, il a rallumé le feu afin de se réchauffer, mais aussi de faire sécher le parapluie dégoulinant sur le sol, ainsi que ses chaussures sans doute elles aussi bien humides.
J'adore la pluie et les parapluies ! Tu as trouvé de bien jolies oeuvres pour illustrer ton thème ! Mon préféré est le parapluie rouge, en plus, c'est le plus gai, tel que j'entends un jour de pluie et à fortiori, un parapluie. C'est toi, je crois qui m'avait fait découvrir cette oeuvre il y a quelques temps déjà, j'avais tout de suite flashé dessus car elle m'avait beaucoup plu, je ne l'ai pas oubliée ! Je vois que tu n'as pas inséré dans ton billet le Pauvre Poète de Spitzweg, une des plus célèbres peintures allemandes. Tu nous fait découvrir toujours de nouvelles oeuvres et c'est super. J'aime bien "In the Park" de Jeffrey Smart, une oeuvre très sympa que j'aime beaucoup aussi, ainsi que la Vitrine de Chapeaux de Macke.
RépondreSupprimerMerci Tilia pour ces parapluies, les tristes et les gais !
Bisous et prend soin de toi.
Merci à toi pour ton écho, mais j'ai eu beau chercher dans mon grenier ton parapluie rouge ne venait pas de chez moi ;-)
SupprimerQuestion "pépins" ça ne s'arrange pas, va falloir trouver un grand parapluie de golf pour éviter les postillons et tenir les gens à distance !
Toi aussi Nathanaëlle, fais bien attention à toi et bon courage pour la suite.
Bises (virtuelles donc sans danger :-))
Tous ces tableaux sont vraiment superbes ..j'ai encore un parapluie grand format ...et en ce moment qui me sert bien souvent en ce moment
RépondreSupprimerMerci pour ta page !
Bonne journée à toi
"parapluie grand format".. comme je le dis dans mon commentaire juste au-dessus, c'est l'idéal pour tenir les gens à distance !
SupprimerMerci pour ta fidélité
Bises (aseptisées) et bonne confination
Je possède aussi un grand parapluie du pays basque, acheté là-bas !
RépondreSupprimerJ'ai lu une biographie très intéressante deMarie Bashkirtseff
RépondreSupprimerpar Raoul Mille
RépondreSupprimer"E lle a la fraîcheur de ses vingt ans et l’impétuosité de l’artiste : exilée à Nice, Marie a gardé de sa Russie natale la sensibilité exacerbée, la mélancolie, et une intense envie de vivre. Avec fièvre, elle peint, elle sculpte. Elle s’enthousiasme pour des hommes de tous bords, littéraires, artistiques et politiques. La «vierge slave » se rêve entre les bras de Guy de Maupassant, viveur sceptique et désespéré. À rebours de toutes les conventions, Marie Bashkirtseff va vivre sa vie comme on vit un roman. Mais elle n’aura pas le temps de l’écrire, emportée à l’âge de vingt-quatre ans par la phtisie. Pour la première fois, un auteur s’attache à rendre la dimension romanesque du destin de Marie Bashkirtseff (1860-1884). La tendresse de Raoul Mille pour son héroïne et la reconstitution minutieuse de la société de l’époque donnent à ce roman une sincérité et une émotion particulières."
La photographie de Marie, sur la couverture allie charme et caractère.
Merci pour cet extrait. Les femmes peintres ne sont malheureusement pas assez connues, ni reconnues.
SupprimerCoucou Tilia.
RépondreSupprimerUn pépin,
Un riflard,
Est bien d'autres appellations je suppose ?
Nous avons des parapluies à la maison, l’ennui est que sur le littoral avec les fréquentes bourrasques mieux vaux ne pas trop les sortir.
Très bonne semaine, A +
"bien d'autres" ? pas tant que ça finalement. On peut ajouter "pébroc" évidemment. Et puis, le tom-pouce des années soixante, si petit qu'il pouvait se glisser dans une poche !
SupprimerBonne journée Daniel, à tantôt
Moi aussi j'ai tout d'abord pensé à tout ce que le ciel nous fait tomber sur la tête en ce moment, par Toutatis ! Et puis j'ai cherché pourquoi on utilise pépin pour parapluie. Il semblerait que ce ne soit pas très flatteur à l'origine. Le pébroke je dis aussi. Je vais vérifier si c'est répertorié
RépondreSupprimerPépin pourrait également provenir "du nom d'un personnage du vaudeville Romainville ou la Promenade du dimanche (joué aux Variétés en 1807), qui entrait en scène armé d'un énorme parapluie". Source : voir Pépin2
SupprimerEt bien oui pébroque cela se dit aussi, nous employons tant de mots qui sont du cercle familial ou régional en général...
RépondreSupprimerLorsque nous avons séjourné une année dans les Pyrénées nous avons acheté un beau parapluie de berger J'aurais mieux fait de prendre un simple parapluie de campagne (même page) avec le pommeau courbe et non pas rond donc malaisé à accrocher au bras. Ce parapluie qui peut servir à deux offre une prise au vent énorme en plus d'être lourd et encombrant. Les bergers ont besoin de s'abriter de la pluie pendant longtemps et peuvent rester au même endroit. Je pense aussi à la cape dans laquelle s'enroulait Stevenson pour dormir dehors (ce qui lui est arrivé très peu finalement) pendant son périple dans les Cévennes avec son ânesse.
RépondreSupprimerMerci pour la référence à Stevenson, je vais le relire (m'en souviens plus du tout !)
SupprimerEt bien figure toi que j'avais prêté mon livre à ma tante religieuse lorsque je suis passée la voir à Lyon dans sa communauté. Elle n'avait aucun sens de la propriété aussi ne me l'a t elle jamais rendu. Elle l'a sans doute donné et je ne lui en ai pas parlé. Cela ne serait pas compliqué que je le rachète, car j'ai souvent envie de le relire et il doit toujours être réédité
SupprimerUn parapluie dans une image (peinture et photo) c'est un substitut à l'être humain. Je trouve cela très intéressant. J'aime beaucoup l'amateur d'oiseaux.
RépondreSupprimerBonne fin de journée et de semaine, Tilia, bisous... virtuels !
Oui Cergie, le parapluie, au même titre que la canne ou le chapeau, indique une présence humaine.
SupprimerUn billet de saison, j'ai l'impression qu'il ne va jamais s'arrêter de pleuvoir.
RépondreSupprimerJ'aime les parapluies surtout les italiens qui sont beaux et solides.
Mon tableau préféré c'est celui de l'artiste russe. L'adolescente semble inquiète comme nous tous.
Bisous !
De + en + inquiets Nadezda, vu l'évolution de la situation. J'espère qu'on va tous réussir à passer entre les gouttes...
SupprimerBisous (de loin :-))
Ben mince, je ne vois mon com d'hier !
RépondreSupprimerComme je ne sais plus ce que j'ai écrit je vais passer à ce que je voulais te dire ce jour. J'aime pratiquement tous ces tableaux à l'exception du premier et de ceux des hommes.
Ceux des femmes me plaisent mieux. J'aime bien aussi ceux des enfants et le parapluie sur la chaise, je le trouve d'un réalisme fou. Dans tout j'ai quand même une préférence, SALLY IN OUR ALLEY.
Ah si ça me revient, je parlais de parapluies.
Bises campagnardes !
Comme toi j'aime beaucoup l'atelier parisien de William MacGregor Paxton. J'en parle plus en détails dans mon commentaire en réponse à celui de Miss Yves du 7 mars 2020 à 22:39
SupprimerBises, confinées dans l'appartement :-(
Je crois savoir ce que j'ai boutiqué hier, j'ai tapé sur la touche entrée au lieu de cliquer sur publier. Un peu fada la fille !
RépondreSupprimerUne collection de tableaux qui me ravit. Mon préféré La jeune mère au jardin de Mary Cassatt. Toute la scène est enveloppée de lumière, lumière qui tombe du ciel mais aussi prodiguée par le berceau. L'arrondi du parasol/parapluie forme un cercle avec l'arrondi du berceau, comme un ventre maternel reconstitué.
RépondreSupprimerMon numéro deux serait "Décembre" d'Albert Anker. Il me rappelle une illustration d'un de mes premiers livres de lecture,dont une des lectures s'intitulait d'ailleurs : "Le parapluie omnibus." Il était très grand et pouvait abriter quatre ou cinq enfants.
En troisième "Le parapluie" de Marie Bashkirtseff. Il est d'une grande tristesse mais aussi d'une grande force.
Je reviens demain pour la suite de ma visite de ton grenier. Bises pour un bon dodo.
La situation me déprime, c'est pourquoi j'ai tant tardé à venir répondre aux échos.
SupprimerJ'aime beaucoup ton analyse du tableau de Mary Cassatt. Cependant, malgré l'ambiance calme et lumineuse, la jeune mère ne me semble pas très à l’aise...
"Le parapluie omnibus" aussi me plaît bien. Il me fait penser à celui de la petite fille attendant l'autobus dans "Mon voisin Totoro" :-)
Peut être que le visage un peu triste ou inquiet de la jeune mère est dû à la lecture du roman dont laquelle elle semble absorbée, tout en berçant le bébé pour qu'il continue à dormir et à la laisser lire une histoire passionnante :-)
SupprimerJ'aime beaucoup le dessin de la petite fille au parapluie.
SupprimerJ'aimerais tellement retrouver mon livre de lecture de petite fille avec le dessin du "parapluie omnibus". J'ai probablement commencer à aimer lire dans ce livre dont j'adorais lire les extraits.
Plutôt "ombrelle/parapluie" pour le commentaire précédent :-))
RépondreSupprimerCoup de coeur aussi pour la vie autonome des parapluies, celui d'Anton Pieck, le "parapluie rouge" et celui de William MacGregor Paxton.
Chaque tableau a un charme particulier et le thème de la pluie fait penser en même temps la douceur de l'abri.
J'ai moins d'affinité avec le premier tableau qui évoque effectivement le bon geste pour éviter un gros pépin.
En Alsace il pleut. Hier il y avait des gros coups de vent et mon prunus en fleurs s'est bien fait secouer.
Restons à l'abri Tilia, du mauvais temps et des virus.
Je t'embrasse.
Oui, Fifi, "le bon geste pour éviter un gros pépin" c'est de se mettre à l'abri, on nous le répète assez. Pourvu que ça marche !...
SupprimerMon tableau préféré dans ce billet c'est celui d'Anton Pieck. L'artiste montre là l'entrée du logement d'un couple, dont j'imagine qu'il ne doit pas être très vaste. Vu les cocottes sur l'étagère la cuisine doit se situer dans le dos du spectateur.
Tu as raison, restons bien à l'abri dans nos maisons, en espérant que ce soit la bonne solution pour éviter le pire.
Grosses bises et bon courage pour affronter le dehors et ses dangers.
Je l'aime aussi le tableau d'Anton Pieck. J'aime ces nuances ocres qui offrent une ambiance de douce intimité au spectateur, de douceur et de simplicité.
SupprimerTrès belle analyse de Fifi qui a l'oeil, je me demande si je n'ai pas vu une toile de Mary Cassatt lors d'une expo temporaire au musée des impressionnismes à Giverny / les peintres américains
RépondreSupprimerQuant au tableau de Monet, le galure surprend mais pas tant que cela car le parapluie protège aussi du soleil. Le personnage est bien guindé.
Un détail de la toile de Daniel Ridgway Knight m'a suaté aux yeux et n'est pas si étonnant lorsque l'on regarde sa bio : la cruche en grès. J'en ai au moins deux dont une très belle sur mon bureau présentement, qui viennent d'Alsace pour ne pas dire de l'est. Les pots de ce grès sont utilitaires, on y fait fermenter la choucroute
Bonne fin de journée et de semaine, Tilia !
C'est certain, des tableaux de Mary Cassat faisaient partie de l'exposition L'Impressionnisme et les Américains
Supprimeren 2014 à Giverny. J'ai photographié toute la grande chronologie affichée au mur.
La cruche en grès figure presque telle quelle dans le Café au jardin Daniel Ridgway Knight.
Bonne journée à toi aussi, Cergie, et à bientôt (je vais tâcher sous peu de rattraper mon retard de lecture chez toi :-))
Dans le premier tableau pépin peut être interprété au sens propre et au sens figuré. De très belles images. Je ne sais celle que je préfère !
RépondreSupprimerTout-à-fait ! Le parapluie s'est fait malmener par le taureau en folie, et voir tout son matériel renversé c'est un vrai pépin pour ce pauvre peintre qui l'a échappé belle.
SupprimerMerci pour ta visite ClaudiaLucia, à bientôt
J'aime beaucoup le tableau de Marie Bashkirtseff et le parapluie rouge aussi de Arikha... Je trouve amusant les mêmes enfants dans un décor différent de Charles Bertrand d'Antraygues, comme une sorte de paintoshop avant l'heure!
RépondreSupprimerOu un sac comme sur ce message que j'ai fait et que tu n'avais pas vu. Les balais également
RépondreSupprimerCelui ci n'ont plus tu ne l'avais pas vu. Ces accessoires sont toujours un plus dans une image lorsqu'ils ont été fraîchement utilisés
(Je n'ai pas réussi à poster cette réponse plus haut.
Une autre / Stevenson a disparu sans que j'y prête attention)
Ah oui, il est parfait ce parapluie rose et violet accroché à la porte d'entrée
SupprimerLe lien vers le sac (je le remets) n'est pas passé et l'autre sur Stevenson a réapparu. Ce grenier doit être habité par un esprit facétieux.
RépondreSupprimerA propos de l'expo au musée des Impressionnismes, je devrais me tourner vers mes archives et les photos que j'ai prises alors
Dans le tableau que tu de Mary Cassatt que tu me mets en lien dans ta réponse les personnages ont une position saisie dans le mouvement. J'aime ces cadrages serrés également
RépondreSupprimerBonne fin de semaine Tilia !
Merci ! Merci Tilia pour "Les vents de mars" en mots et en chansons ♥♥
RépondreSupprimerJ'aime Moustaki depuis mes vingt ans et j'aime beaucoup la version brésilienne pétillante, joyeuse...
Je vais l'envoyer à une jeune amie brésilienne qui a vécu quelques années en France et que j'ai accompagnée pour l'apprentissage du français.
Je t'embrasse ♥
Coucou Tilia, un petit passage pour te répondre : je n'ose demander à mon fils si le store de la boutique romaine était si laid mais je le ferais à l'occasion. En y regardant de plus près il semble que la partie bleu colvert en haut et à gauche a été conservée
RépondreSupprimerMon mari était en pâmoison devant l'architecture de la gare de Valence, renouvelant les prouesses des débuts du chemin de fer avec les techniques et matériaux modernes
Tu as sans doute rasion, peut-être la buraliste a t elle un odorat très sensible et elle n'aime pas l'odeur des engins au travail (les tronçonneuses). Mais elle n'a rien dit du bruit.
C'est drôle, ce petit village de 2500 âmes est soumis au couvre feu depuis deux nuits, s’alignant sur Valence. Pauvre Miss Zouzou été réveillée le premier soir par le bruit de la sirène.
On a le droit de faire une petite promenade d'une heure en famille près de son domicile. Mon fils, qui est très scrupuleux, est très content de pouvoir ne pas raser les murs dans les ruelles désertes (tu as vu comment elles peuvent être sur Cergipontin) pour sortir sa fille
Bonne fin de journée, Tilia, profite un peu du soleil (indirect) sur ton balcon. Bises
Bonjour Tilia, j'ai réalisé que nous sommes arrivés sans nous en rendre compte à la fin du mois de mars et que tu ne nous a pas concocté ton traditionnel message de printemps. La nature continue d'avancer mais c'est comme si nous étions sidérés et que nous restions sur place
RépondreSupprimerBonne semaine à toi dans ton ermitage perché !
Le printemps et le 1er Avril ça faisait trop pour moi en ce moment. Alors j'ai chois :-)
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