Tel ce pigeon perdu dans la ramure du pin voisin, je rame à terminer mon nouveau billet annoncé précédemment.
Des ramifications documentaires, rencontrées lors de sa rédaction, m'ont engagée dans différentes pistes, ce qui amène un retard de publication.
Veuillez m'en excuser et patienter en attendant, j'espère qu'il n'y en a plus pour très longtemps !
EDIT DU 6 NOVEMBRE 2020
Merci de bien vouloir patienter encore quelques jours
Non seulement je rame toujours dans mes compléments d'informations, mais depuis deux jours mon ordinateur s'y met aussi. Ce qui fait que maintenant nous sommes deux à ramer !
😒
©VesperTilia, échos-de-mon-grenier 2020
Ça fait monter notre tension !
RépondreSupprimerCourage...
Merci, merci !
SupprimerLa consultation en ligne des anciens annuaires du commerce n'est pas des plus aisée :-/
Celle du guide Fanot 1868 sur Gallica est très confortable, malgré qu'ils aient changé la mise en pages. Malheureusement, je n'y ai pas (encore) trouvé d'autre annuaire avignonnais !
SupprimerBon courage à toi
RépondreSupprimerBises
Merci Claudine
SupprimerBises (un peu frisquettes aujourd'hui !)
"Never complain, never explain, never apology"....
RépondreSupprimerBises.
Tu me surestimes, avec cette devise des services secrets britanniques, je n'en suis pas là !!
SupprimerBises et bonne fin de journée
Coucou Tila.
RépondreSupprimerTu es sortie de ton grenier pour parcourir la nature, cela fait du bien la verdure de temps en temps...
Passe une agréable semaine, A +
Non, pas sortie le jour de cette photo : le pin est à deux pas de mon balcon !
SupprimerSuis allée faire un petit tour en forêt samedi dernier, mais pas vu de champignons :-(
Bonne et belle semaine pour toi aussi
Tu es perfectionniste ! Ne te mets pas trop de pression quand même. Qu'importe "la piste" que tu prendras, elle sera intéressante.
RépondreSupprimer"Tous les chemines mènent à Rome" ou ailleurs :-)
Bises rafraîchies et encourageantes.
De toutes façons, quand plusieurs pistes s'offrent à moi, comme les enquêteurs professionnels, je dois toutes les explorer.
SupprimerEnsuite il faut faire le tri, puis élaguer, c'est ce qui prend le plus de temps !
Le sujet qui m'occupe actuellement me fait davantage voyager dans le temps que dans l'espace.
Bises aussi fraîches que les tiennes mais néanmoins chaleureuses.
Merci pour les encouragements, j'en ai bien besoin pour faire face à la crise sanitaire qui nous menace dès qu'il faut sortir de chez soi
Je t'imagine avec une loupe, penchée sur des documents accumulés depuis des semaines. :-) Bises alpines.
RépondreSupprimerCoucou Dédé,
SupprimerC'est presque ça !
Je n'utilise pas une loupe, mais la roulette de ma souris afin de zoomer sur mon écran pour grossir les petites lettres des ouvrages consultés en ligne.
Et, oui, j'ai une grande quantité de documents sous le coude : des marque-pages entassés dans mon navigateur (le renard de feu, pour ne pas le citer ;-))
Bises des Yvelines, sous la bruine
Oh là là tu sembles t être lancée dans une tâche titanesque ou plutôt digne des travaux d'Hercule. Celui-ci avait toujours un subterfuge pour arriver à ses fins, celle que j'ai apprécié le plus est celle de détourner une rivière pour nettoyer les écuries d'Augias à la place de ce propriétaire négligent qui ne l'avait pas fait au fur et à mesure. Et puis Hercule était un demi-dieu, fils de Jupiter. Tes recherches ont l'air de bien te passionner et au fond c'est cela l'essentiel. On a toujours le temps et l'énergie à consacrer à ce qu'on aime.
RépondreSupprimerCe ramier dans la ramure quant à lui ne se pose pas tant de questions, nous en avons eu un couple qui s'est activé pour bâtir un nid dans notre liquidambar à un moment que nous trouvions un peu tardif en saison. Puis nous nous sommes inquiétés car la petite chatte bleue sait grimper à la cîme de cet arbre et aller au bout de la moindre branche et qu'elle est chasseresse. Mais je crois que ce sont les pies dont nous sommes assourdis cette année qui ont mis fin au beau projet d'élever une famille. Le nid a été abandonné et les ramiers sont partis.... Mais les mésanges sont de retour, mon mari a revu le rouge-gorge, la roue tourne et le printemps reviendra après l'automne et l'hiver venus.
Grosses bises d'encouragement à toi, Tilia !
j'essaie de laisser des commentaires, mais avec la nouvelle interface... espérons que cette fois ci... bises
RépondreSupprimeryouppiiii!
RépondreSupprimerTu rames?
RépondreSupprimerPrendre de la hauteur, à deux pas de chez toi , voilà de quoi méditer.
RépondreSupprimerBonsoir Tilia je profite du bon vouloir de l'ordi pour passer te lire !
RépondreSupprimerje ne sais pas répondre avec le téléphone !
gros bisous
Pas de problème, prend ton temps, on sait que cela va être génial, comme d'hab quand tu concoctes un billet qui prend du temps, même si on a hâte de te lire ! A bientôt Tilia, bisous 💖
RépondreSupprimerj'essaie de laisser des messages , une fois sur deux...impossible ..et répondre sur mon blog c'est la galère... bises
RépondreSupprimerBises pour un bon dodo :-)
RépondreSupprimerNous ramons tous dans notre tête pour garder le moral ces temps-ci, tu t'en doutes. Mais les actualités ce soir nous donnent du tonus et tu vas contaminer ton ordinateur.
RépondreSupprimerA bientôt au pays de tes merveilles.
Merci pour ton commentaire sous la photo de l'élégant balayeur. Nous avons un voisin qui ne peut pas voir une feuille morte sur son gazon, son trottoir, dans la rue devant sa maison. Alors je te comprends mille fois quant à ta détestation, chaque matin :-)
RépondreSupprimerCoucou. Si vous êtes deux à ramer, cela va aller plus vite. :-) Bises alpines et bon courage.
RépondreSupprimerExcellent ;-) merci pour les encouragements
SupprimerCela fait belle lurette que je n'ai plus vu les ramiers, le nid avorté dans le liquidambar a dégringolé et est tout avachi sur une branche intermédiaire tout en tant plus basse. Un des chênes chevelus du bas de mon impasse a révélé en se défoliant une belle boule luisante qui est sans doute un nid de frelon asiatique. Le temps passe, les saisons aussi et pas de nouveau message chez toi. J'espère que tu ne vas pas te décourager ou pire, te lasser...
RépondreSupprimerBises Tilia
Rien ne sert de courir, Tilia mais parfois il est bon de se forcer un peu. C'est ce que j'ai fait ce matin, comme je me suis réveillée vers 5 heures je me suis levée et j'ai terminé mon message, j'en suis bien débarrassée
RépondreSupprimer;-)
Franchement je t'avoue qu'à la fois blogguer me prend la tête et en même temps cela me fait plaisir de mettre en forme mes idées tout en les élaguant pas mal. Cela change de la cuisine, de faire les lits et la vaisselle... Je sais que tu aimes la nuit et bien moi cela me met en hibernation ! Je me sens fatiguée !!!
Mais non je ne me souciais pas (pas cette fois) de la possibilité que tu t'arrêtes de publier mais que tu te lasses de ce message que tu prépares
Je cherchais "Macke" dans tes libellés et je me suis fait avoir, il fallait trouver "Auguste Macke" et ne pas chercher dans les "M". Souviens toi, tu nous as laissés sur notre faim. Mais au fond tu nous en avais déjà dit pas mal n'est ce pas ?
SupprimerBises de la nuit, Tilia
Ah j'ai oublié Tilia à propos du camélia sasanqua. Il appartient à la famille des théiers et son feuillage est pérenne. J'ai remarqué que ses pétales ou même ses fleurs tombent facilement et j'ai trouvé en effet que cela était constaté. Il peut même joncher le sol en tapis comme au Japon le font les cerisiers. Le mien est loin d'arriver à cet effet de masse
SupprimerEncore bonne nuit, Tilia !
Tu as raison, Cergie, de me secouer un peu et je comprends ton impatience. August Macke attendra son tour, ce n'est pas lui qui moccupe en ce moment. Pourtant, tu n'es pas la seule à avoir remarqué que je n'ai pas terminé sa biographie illustrée entreprise en 2014 et abandonnée au bout du 4e billet.
SupprimerL'an dernier, une lectrice m'a écrit à ce sujet et j'avais bien l'intention de satisfaire sa demande. Mais à présent, les billets au long cours me fatiguent car j'ai de plus en plus de mal à me concentrer. Ce qui prenait trois jours il y a dix ans, me prend maintenant dix fois plus de temps qu'avant.
Les eaux dans lesquelles je dérive depuis plus d'un an ont fait de ma vie tout autre chose qu'un long fleuve tranquille et je dois ramer davantage qu'il ne serait nécessaire en temps normal. Malgré tout, le goût de la recherche ne m'a pas quittée et le plaisir, voir la jubilation, de la découverte est resté intacte. C'est le travail de mise en forme qui me prend un temps fou !
Bises, passe une douce soirée, Cergie, j'espère ne plus trop tarder à publier le compte-rendu de mes découvertes
Je passe juste pour te faire un coucou et te souhaiter bonne chance pour ton billet. Bises
RépondreSupprimerC'est très gentil, Nadezda, merci beaucoup d'être passée. Moi aussi je t'embrasse
SupprimerBen mince alors, où est passé mon com ?
RépondreSupprimerJ'ai quand même bien commenter ou deviens-je zinzin ?
Tu sais moi aussi je rame.
Bises
Tu as heureusement l'air d'avoir de la patience, de la bonne humeur et de la constance. Cela paye toujours. Bon courage pour ce billet sur lequel nous nous pencherons avec tant de plaisir. Les oiseaux et habitants du jardin (hérisson toujours debout, rouge-gorge, étourneaux, salamandre et le reste) se joignent à moi pour t'encourager.
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